Amour Immaculé

domaine du visible et du physique, Pascal pousse son raisonnement sur ce qui pourrait caractériser le moi dans le domaine de l’esprit, du jugement, de la mémoire en se demandant si l’amour qu’on porte aux qualités de l’esprit d’un individu traduit un amour de son moi, son être profond. Si tel en est le cas, le moi résiderait alors dans l’âme de la personne. Mais là encore, il dément cette idée affirmant que ces qualités morales et intellectuelles ne sont pas ancrées indéfiniment dans l’être, mettant

partent à chaque coup de vent et de tous les côtés. Vers : «Tomber, tomber en amour» (Vers 16) Procédés formels : Répétition, Redoublement Explication : Une façon que l’émetteur montre une sorte de désespoir d’être tombé en amour. Vers : «vie» (vers 14) «meurt» (vers 15) «vivre à deux» (vers 18) «devient vieux» (vers 19) Procédés formels : Champ lexical Explication : Le champ lexical de la vie Vers : «amour» (vers 16) «cœur» (vers 17) «charme» (vers 29) Procédés formels : Champ lexical

vitalité, de courage et d’une remarquable force du caractère. En effet, Esther est pleine d’amour pour la vie, pour son père, pour Elisabeth, Jacques et pour leur fils Michel qu’elle appelle « l’enfant du soleil », ainsi que pour Philipp, son mari. Cet amour lui donne la force de surmonter les difficultés, la perte de son père et de Jacques, d’aller à Montréal toute seule, d’élever son fils, de faire des études de médecine et devenir pédiatre. Esther réussit à guérir des blessures de la guerre, à retrouver

idéalise comme étant inconnue, Verlaine semble dire que cette charmante demoiselle n’existe que dans ses rêves. Il s’exerce donc à l’imaginer et à aimer cette personne sans même déjà l’avoir rencontré. Tout bien considéré, ces deux poètes sont en amour avec des femmes inaccessibles et c’est ce qui les rapproche de l’idéologie qu’ils ont à propos de l’amour. Par contre, l’amour éprouvé par les deux poètes n’est pas tout à fait semblable puisque Baudelaire ne cherche pas l’amour. En fait, il l’a déjà

Tu crois vraiment être capable d'aimer quelqu'un plus qu'il ne t'aime ? D'aimer quelqu'un qui ne pense qu'à toi, qui ne demande que toi. Tu crois que c'est possible ? Alors à ce compte là, ce n'est plus de l'amour que tu éprouves, c'est un sentiment beaucoup plus puissant. Tu disais toujours que mon bonheur ne serait pas avec toi, détrompe toi, tu me rend heureuse, depuis peu, je suis heureuse. Avec toi, c'est différent, les autres, ils sont pas pareils, d'ailleurs je les déteste tous, il n'y que

distinction, ici la différence est physique, mais aussi sociale. Le rejet : En lien avec la différence il y à le rejet, souvent du à la peur de l'autre, ici la peur de ce qui peut paraître différent à l'œil mais qui pour autant n'a rien de différent. Amour : A la différence de la haine il y a l'amour qui règne également, l'amour de ces parents qui le soutiennent à tout moment, mais également l'amour que lui porte son frère tout le temps en admiration devant lui. Haine : Tout le long du livre les élèves

été reproduite à Orléans), qu‘on pourrait administré au « rêve», les vivants et les morts cohabitent: « l‘Homme », « la femme » se sont désirés sans jamais se connaitrent puis se retrouvent, devant nous, et apprennent à se connaitre et cultive un amour fusionnel. Pourtant, ils sont en total désaccord et ne savent jamais ce que l’autre veux réellement. C’est donc cette dur réalité qu’est l’amour, que Jon Fosse veux nous montrer à travers ce qu’est la mort est aussi. Rêve d’Automne se voit comme une

parodie ici les méditations cartésiennes, dont il s’inspire aussi en faisant de son personnage central un malin génie qui prend plaisir à tromper tout ce qui tombe sous son regard. Le point culminant du roman est la découverte de l’amour véritable, amour maternel qui était sur le point de la faire naître à elle-même lorsque le stratagème monté par Firmin fait s’effondrer le sol sous ses pieds pour la mener aux enfers. Cette trajectoire, qui va d’une perversité ludiquement mise au point pour tromper

Spleen et Idéal Baudelaire invente lui même le mot de "spleen" qui dérive du mot anglais "spleen" signifiant "raté" et évoquant le sentiment de dépression. Ce mot rend compte d'un mal métaphysique très complexe qui s'exprime chez Baudelaire dans nombres de ses poèmes. Les principaux thèmes qui s'y rapportent sont: la fuite du temps, la tentation du Mal, la notion d'enfermement, la peur ou la hantise de la mort, le regret de ses souvenirs ... Ce mal le ronge effectivement de l'intérieur car

Aleman, ny Espagnol, il est Citoyen du monde, et sa patrie est par tout. » De plus, « ...le peu d'esperance qu'il avoit d'estre considéré, faute d'un patron aupres de qui son genie tout libre le rendoit incapable de s'assujettir, et enfin le grand amour qu'il avoit pour l'estude, le firent entierement renoncer au mestier de la guerre... » Savinien arrêta là sa carrière militaire. Un libertin Cyrano faisait partie de ces intellectuels érudits que l'on désignait à l'époque par ce mot: « libertin