Amour Immaculé

n’a tout bonnement aucun sens et n’admet aucune réponse unique. 2. Le désir vise le plaisir Il y aurait pourtant bien une première manière de dépasser cette multiplicité : simplement en remarquant qu’à travers toutes ces choses – nourriture, amour, etc. – nous désirons et obtenons toujours une satisfaction, un plaisir. Tous les hommes (voire tous les animaux, et même tous les êtres vivants) ne cherchent-ils pas le plaisir et le bonheur ? Mais cette réponse sonne creux : les concepts de plaisir

lecteur une conception paradoxale de l’amour qu lie bonheur et souffrance. Nous retrouvons l’emploi de la première personne aux vers 7, 11, et 13 ; vocabulaire du sentiment, « l’âme », « j’aime, j’adore », « l’heur est plaisir » ; phrases expressives, « amour la flamme autour du cœur éprise, », « Forts sont les nœuds, âpre et vive la flamme, » ; figures d’insistances, « Ces yeux le trait qui me transperce l’âme, ». Pierre de Marbeuf, Recueil des vers de Monsieur de Marbeuf 1628, est également un poème

Ce texte est tiré du roman d'Emile Zola Au Bonheur des Dames, il en constitue la dernière page. Denise employée du magasin d'Octave Mouret s'est rendue compte que son patron l'aimait. Persuadée de l'impossibilité de cet amour, elle désire quitter le magasin. Le soir d'une vente exceptionnelle qui a dépassé le million, Mouret propose à Denise de l'épouser. Zola utilise les discours direct, indirect et indirect libre pour traduire la pensée de ses héros. Pour Octave, tout se traduit en termes

supportant pas Heathcliff se met en conflit avec lui dès le début, à la mort de M Earnshaw, Hindley nouveau maître de maison, fait de Heathcliff un domestique. Catherine et Heathcliff malgré cela s’aiment et passent beaucoup de temps ensemble. Leur amour ne cesse de grandir. Qu’elle année plus tard en se promenant avec Heathcliff, ils pénètrent dans le domaine des Linton, Catherine est poursuivie par un chien et se fait mordre. Elle passera plusieurs moi chez eux en attendant que sa blessure guérisse

peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants, Met toutes les pauvres mères Et tous les petits enfants. Notre bonheur est farouche ; C'est de dire : Allons ! mourons

Alcools : 1913 Genre : Poésie Époque : Début XXème, juste avant la Première Guerre Mondiale Contexte : Rupture avec Marie Laurencin 2) Idée : Eternité de l’Homme (du pont) Thèmes : Amour et temps qui passent Problématique : Quel est dans ce poème le lien entre l’éternité et l’amour/le temps qui passent ? 3) Plan : I. Un poème élégiaque 1/ L’amour qui fuit 2/Le temps

qu’il l’est en lui-même, mais parce qu’il est désiré. En tant que le désir le constitue comme désirable. Si tel n’était pas le cas, le monde manquerait de diversité, car on désirerait tous la même personne et les mêmes objets. Or, ne serait-ce qu’en amour, bien heureusement, chacun est désirable pour un autre, ou il y a toujours quelqu’un pour nous désirer –non pas que nous soyons intrinsèquement désirables, mais parce que l’autre, par son désir, nous constitue comme désirable pour lui. En ce sens

de Zeus ( chant V ). représente une femme idéalisée « merveilleuse», vivant dans un espèce de paradis terrestre & capable de donner l'immortalité à un homme par amour & possessivité. & même si Ulysse lui accorde une dernière nuit d'amour ( chant V, v.226-227 ), il ne veut toujours pas d'elle, cette femme idéale, immortelle, & cet cet amour qui semble trop parfait ( chant V, v.153-155 ). Ce choix frustre beaucoup Calypso, qui se contraint à aider Ulysse pour repartir, encore parce qu'elle l'aime. ≠

La médiocrité des opprimées * Les médiocres En tant que femme, Marguerite Yourcenar ne cherche pas à bonifier de manière systématique ses consœurs et s'autorise quelques portraits tâchés de médiocrité. Ainsi dans « Le Dernier Amour du Prince Genghi », une ancienne maîtresse du personnage éponyme est décrite dans toute la laideur de la vieillesse ; quant à la malheureuse Dame-du-village-des-fleurs-qui-tombent, son vieil amant n'a pas de souvenir de celle qui fut une concubine des plus banales

celle-ci présente une double particularité, c’est une scène d’amour très courte dans laquelle le héros va jusqu’au suicide tandis qu’il se trouve sur scène. C’est lors de cette issue fatale que la reine qui dans un premier temps ne peut pas accepter cet amour (« un ver de terre amoureux d’une étoile »), va finir par lui pardonner et le reconnaître sous le nom de Ruy Blas. C’est donc sur ce duo sublime et pathétique à la fois que va se clore le drame. On peut alors constater la manière dont Hugo dramatise