Amour Néfaste Destructeur

une prompte mort, elle cherchait à s’étrangler avec son châle. ». Ainsi la mort et le suicide sont alors des symboles de destruction. Ensuite, le désir en lui même est destructeur dans le roman. C’est la peau de chagrin qui symbolise en elle même le désir en étant une allégorie de la vie, le désir qui est alors néfaste puisque il conduit à la mort de Raphaël. C’est le désir dévastateur qui engendre la maladie du protagoniste puisque il a fait le choix du « vouloir et du pouvoir », des énergies

« les passions n’y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause. » Nous montrerons donc en quoi l'auteur nous dissuade de la passion en cherchant à provoquer la catharsis chez le spectateur en montrant les effets néfastes de la passion puis nous réfléchirons sur la visée didactique du théâtre grecque et classique. Tout d’abord, les tragédies grecques ou classiques présentes des passions exacerbées qui mènent les personnages souvent jusqu'à la folie et la mort

politiques, religieux et culturels, un ordre doit être établi en respectant des règles strictes qui condamnent les vices du cœur et prônent la maîtrise de la raison. Néanmoins, dans cet extrait de Phèdre, la passion prend le dessus et l’amour devient néfaste. En effet, Phèdre vit un réel bouleversement tant moral qu’affectif : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue » (v.5), « un trouble s’éleva dans mon âme éperdue » (v. 6). Ainsi cette gradation et l’emploi d’un champs lexical tragique montre l’état

Introduction Plan : La prise de conscience de Pauline sur le Talisman Le sacrifice Pauline pour Raphaël Le retournement de situation qui est la mort de Raphaël Problématiques possibles : Comment Balzac montre que l’amour passionnel est destructeur ? Comment Balzac rend ce passage tragique ? Comment Balzac met en scène la passion amoureuse et l’agonie de Raphaël ? Carte d’identité Titre : La « Peau de Chagrin » appartenant à la Comédie humaine Auteur : Honoré de Balzac

population, des êtres qui résistent en apprenant par cœur des livres entier, c’est le monde totalitaire de ceroman. Ici, l’auteur s’insurge contre toutes les formes de censure et clame son amour de la littérature. Considérés comme destructeur par cette société totalitaire où règne l’audiovisuel, les livres sontjugés néfastes. Ils amènent trop de questions et perturbent les gens dans leur quête du bonheur. Ceux qui possèdent des livres sont dénoncés et les pompiers viennent brûler leur maison. Les honnêtescitoyens

Rencontres de hasard sur fond d'égocentrisme. Vibrations douloureuses d'une voix sans écho. On parle peu de ce mal, que les médias amplifient de leur intarissable monologue, de leur impérieux et vain discours-spectacle. Et pourtant il est destructeur: solitude dans la foule, solitude chez soi, solitude face au monde, solitude face à rien, puisque le sacré même nous échappe, faute de ne plus nous envahir. Mais il y a aussi grave. Et c'est l'intolérance. Elle n'est pas refus de la solidarité

plutôt les conduites morbides et dangereuses qui en découlent souvent. Un sentiment qui devient une forme de paranoïa Parmi les ressentis qui influencent notre psychologie, la jalousie est sans doute l’un des plus communs, mais aussi l’un des plus néfastes. Elle touche tous les membres d’un même environnement sans distinction de sexe, d’âge ou de milieu social, à différentes échelles. « La jalousie relève d’une forme de paranoïa, explique Alain Krotenberg, psychiatre spécialiste de la thérapie comportementale

tragédie est écrite sous forme de pièce de théâtre. Ces tragédies se veulent thérapeutiques. Elles dénoncent les perversités de l’être humain qui s’opposent à leurs vertus. Les exagérations servent à dénoncer d’une manière caricaturale les passions néfastes de l’homme et ainsi amener l’auditeur à réfléchir sur certaines de ses propres attitudes. Le mot « passion » vient du grec « pathos » qui signifie «ce que l’on subit, le fait de subir quelque chose » ; cela donnera le mot « pathologie » qui est

population, des êtres qui résistent en apprenant par cœur des livres entier, c’est le monde totalitaire de ce roman. Ici, l’auteur s’insurge contre toutes les formes de censure et clame son amour de la littérature. Considérés comme destructeur par cette société totalitaire où règne l’audiovisuel, les livres sont jugés néfastes. Ils amènent trop de questions et perturbent les gens dans leur quête du bonheur. Ceux qui possèdent des livres sont dénoncés et les pompiers viennent brûler leur maison. Les honnêtes

une autre question : « Et que me direz-vous qui ne cède, grand dieux ! / A l’horreur de vous voir expirer à mes yeux ? ». Leur agitation est soulignée par le champ lexical de la passion (« fureur », «affreux dessein », « colère », « j’aime » (x3), « amour » (x3), « trouble », «cruelle », « violence », « horreur ») et une ponctuation expressive (points d’interrogation, d’exclamation, apostrophes (« O haine de Vénus ! O fatale colère »). B – Le rôle d’Oenone Traditionnellement, les serviteurs jouent un rôle