Amour Tragique

est rempli de digression (ex :l.17-l.18) ; il fait beaucoup de répétitions (ex : «dire») et des commentaires sur ce qu’il dit. Il essaye de bous rapporté son expérience personnelle, celle-ci lui a donné l’idée d‘une loi universelle : « Joie et Amour » l.25. Il a découvert cette loi en vivant le contraire. Il utilise de métaphores,(porche, foulard et bégonias ) pour mieux nous expliqué cependant ces métaphores sont tellement obscures que l’on comprend encore moins ce qu’il veut nous dire. Dans

Alceste, qui, irrité, reproche à son ami Philinte son hypocrisie. Dans la première scène de Les Caprices de Marianne, pièce créée par Musset en 1833, Coelio fait part à Octave de son amour impossible pour Marianne, ce que lui vaut la proposition d’aide de son fidèle ami. Enfin, on assiste à une scène à la fois comique et tragique dans En attendant Godot, écrit par Beckett en 1952, dans laquelle une discussion tendue entre Estragon et Vladimir nous apporte peu d’éléments sur l’intrigue principale.

Perdican en lui faisant avouer ses sentiments envers elle alors que Rosette est caché, celle ci ayant été courtisé par Perdican plus tôt dans la pièce dans le but d'agacer Camille. Nous allons nous demander si cette scène n'est pas à la fois ironique et tragique? Afin de répondre nous verons tout d'abord qu'il y a un duel entre Camille et Perdican, puis qu'il n'y à pas d''échappatoires pour les personnages et enfin que Camille fait preuve d'une grande cruauté lors de cette scène. On assiste à un

tenter par les délices de la passion et de l'amour profane. Manon qui n'est que peu discrédité devient pour lui à tors une figure angélique de l'amour, un symbole et une promesse de bonheur. PARTIE 2 : LA MISE EN DISTANCE REVELATRICE DU CARACTERE TRAGIQUE DE LA PASSION : A) La mise à distance : Le récit est fait après la mort de Manon de la sorte, ce recul dans le temps permet au narrateur un regard lucide et critique sur cette première rencontre.La mise à distance se traduit par des remarques

Ce monologue tragique est souligné par l’expression d’une passion douloureuse. Tout d’abord, Hermione ressent passion mais aussi en colère. En effet, tout au long du texte, Hermione change plusieurs fois d’avis sur ses sentiments. Elle utilise une série d’exclamations comme «le cruel !» qui confirme la haine puis il y a un retournement exprimer par «mon lâche cœur s’intéresse pour lui» (vers 12), ou l’amour est donc encore présent. Puis à nouveau, elle exprime la fermeté de sa résolution «ne révoquons

cette fin tragique est la lettre de Camille qu'intercepte Perdican. Tout s'enchène ensuite : l'orgueuil de Perdican s'exclame en prenant Rosette à parti , les personnages comiques disparaissent. A la fin, une innocente meurt, et deux jeunes gens trouvant le bonheur vont être séparés définitivement. C'est un drame abominable, dont l'orgueuil est la cause majeure ; drame des amours d'enfance qu'ils ne parviennent pas à reconstituer. On a bien ici un basculement du comique au tragique avec un drame

Oreste: -fr�re d'Electre -aurait �t� lach� des bras de sa m�re �tant petit puis s'est exil� -il revient ici pour ressentir la tendresse et le bonheur familial -facilement manipul�, Eletre recr�er un nouvel Oreste, il est pris dans l'engrenage tragique -c'est en sa pr�sence que la haine d'Electre se r�velle. -les deux femmes essayent de le convertir � leur cause. -son r�le est �tabli par les Eum�nides, il est une arme -son retour d�clanche le renouveau de la trag�die chez les Atrides Clytemnestre:

plus tôt. J'aurais porté chez mon père toute mon innocence. La force du destin est marqué : la répétition du verbe marquer : malgré la reprise du sujet « je », le destin échappe à l’individu l’interjection Hélas ! qui préfigure le destin tragique, prolepse de l’aventure l’utilisation de l’irréel du passé « aurais porté » le rappel insistant du moment la veille même de celui que je devais quitter cette ville montre l’ironie du destin : il suffit de bien peu de choses pour modifier le cours

fait apparaître une violence tragique. Racine est un auteur du 17° siecle qui est célèbre pour avoir écrit des tragédies dont Phèdre qui la présente amoureuse de son beau fils. Cette scène est la première où apparaît Phèdre. C'est une scène d'aveu où elle avoue à Oeunone son amour coupable. L'extrait est un long monologue de Phèdre au cour du quel nous vairons comment sa révélation fait appéraitre une violence tragique. Nous étudirons les manifestations de son amour, les facilités de celui ci et

par sa passion, elle en arrive, elle aussi à déclarer son amour. Il la repousse avec horreur. Elle demande à mourir de la main d'Hippolyte mais cette demande n'est qu'un prétexte pour éprouver le jeune prince. Le refus implicite d' Hippolyte peut lui donner de l'espoir. Phèdre prend son épée pour se suicider mais Oenone survient, lui demandant de fuir pour éviter les témoins. Le dramaturge veut montrer par cette scène tout l’instant tragique de la pièce en mettant en œuvre plusieurs procédés théâtral