Amour Tragique

antique, tels que Héraclès ou Achille. Petit à petit le statut du héros a évolué; c'est aujourd'hui le personnage principal, humain ou demi-dieu, d'une œuvre et il est plus précisément mis en valeur dans les récits tragique. Dans le registre tragique le héros est au centre de la situation tragique qui sont les conflits de l'homme avec les dieux, entre les hommes eux-mêmes, ou encore le conflit intérieur du héros. La question est de savoir quels sont les spécificités d'un tel personnage qui se distingue

Registre tragique , lyrisme…. Expressions de phèdre , (cris ) , bcp de tristesse , termes utilisé qui relève du tragique Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant pour son propre malheur  Ce feu qui brûle son corps

une perte complète de soi-même. Aussi remarquons-nous que les couleurs du visage (v.273) s'opposent, la rougeur et la pâleur évoquant à la fois la honte, et la pudeur de la jeune femme émue à la vue de d'Hyppolite, et la mort, qui annonce déjà un amour malheureux. L'assonance en « i », le crescendo des deux hémistiches, l'insistance sur le pronom « je » contribuent à renforcer le désordre que subit Phèdre. L'aspect physique est aussi mis en évidence par la prépondérance du champ lexical de la sensation

trouver la solution b) Une progression chaotique  Ponctuation : traduit un désordre intérieur par exclamations et points virgules  Médée change constamment d’avis : répétition du connecteur « mais »  Antithèses entre désir de vengeance et amour pour ses enfants. (l-18)  Brutalité des changements d’humeur de Médée : « Tout à coup », « aussitôt »  Fin du monologue, M semble avoir pris une décision mais une nouvelle objection survient c) Une héroïne furieuse  Démesure et folie M.

Bérénice de Jean Racine Marie Guillotin Résumé de la pièce : La pièce se passe à Rome, Titus est empereur de Rome. Il aime la reine Bérénice, son amour est réciproque. Antiochus, un ami de Titus l’aime aussi secrètement depuis 5 ans. Antiochus apprend que Titus et Bérénice vont se marier, il décide alors d’avouer son amour à Bérénice. Seulement Titus est empereur romain et ne peut finalement pas épouser Bérénice car elle n'est pas Romaine. Les lois de Rome l’interdisent. Il décide

princesse de Clèves réalise que la veille elle s’est reprochée un sentiment innocent alors qu’aujourd hui elle s’est laissée aller à un comportement plus révélateur de son amour (mise en valeur par la construction binaire de la phrase). L.11-15 : Elle réalise qu’elle s’est trahie auprès de Nemours puisqu’elle lui a largement révélé son amour. On a 5 propositions qui sont disposées selon une gradation. L.15-17 : Elle aboutit alors à un jugement très négatifs pour elle. Plusieurs sentiments se dégagent de

paradoxal : 1. Un poème lyrique → Expression d'un amour paradoxal - 1ère personne du singulier + 3e personne du singulier (avec « je » du poète). - verbe de sentiment amour + 2 fois décliné → circularité du poème→ AMOUR mot-clé du poème - ponctuation expressive + interjections lyriques - sentiment : la haine (v.2) → antithèse par rapport au mot « aime » (paradoxe lyrique,redondance) → antagonisme (=opposition) beauté/laideur ou amour/haine ← alliance des contraires (hugolien) + mètre utilisé

actes, comme la nourrice de Juliette, avec ses anecdotes grivoises ou ses impropriétés d'expression (lire page 64), et Mercutio, l'ami de Roméo, qui, à l'aide de plaisanteries à caractère obscène, tourne en ridicule les tourments de son ami et son amour pour Rosaline, où il évoque la reine Mab. Cependant, d'autres ingrédients que ces personnages comiques interviennent, qui font de ces deux premiers actes une comédie. En effet, la naissance de l'histoire d'amour entre Roméo et Juliette ainsi que leur

son cousin, mais ne parvient pas à lui dire qu’elle tient à lui. Au début de la scène 8, on la voit se jeter au pied de l’autel d’un oratoire (= chapelle). Elle pense trouver réconfort auprès de Dieu, seulement il lui est impossible de prier: son amour pour Perdican a eu raison de sa vocation religieuse. Dans le bref monologue qui précède l'extrait à étudier, elle se lamente sur son sort : « Pourquoi suis-je si faible ? » C’est alors que Perdican, qui l'a suivie, paraît sur scène. Problématique

plébéien, il ne peut pas imaginer être amoureux de cette femme. Donc la seule chose qu’il puisse espérer c’est éventuellement de la séduire. Ce qui lui permettra de prendre sa revanche sur Mr de Rênal et sur sa condition de plébéien. C’est donc un amour d’ambition, de vanité. Tout cela débouche sur un paradoxe, pourquoi Stendhal ne l’a pas montré au début du roman avec un trouble pour Mme de Rênal ? Si ça aurait été le cas, vu la société, politiquement, cela aurait été invraisemblable, car amoureux