Amour éternel

La princesse de Clèves, extrait page 274 Propositions pour un commentaire composé Cette scène d’aveu de son amour est, pour la Princesse de Clèves, le prélude à un renoncement d’autant plus paradoxal et cruel qu’il concerne une passion partagée à laquelle plus rien ne s’oppose. Propositions de PROBLEMATIQUE : I. Quelles visions de l’existence révèlent les propos que tiennent les personnages dans cette scène ? II. Que révèle l’opposition des propos de Mr de Nemours et de Mme de Clèves

s'aimer, tel était leur or, Mais elle aimait la vie et il aimait la mort... Si différents et pourtant plus proches que tout, Se comprenant pour protéger un amour fou, L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler, L'autre d'une vie avec lui, loin des atrocités... Fin de l'histoire : obligés de se séparer, Ils s'étaient promis leur éternelle fidélité. Aujourd'hui, le garçon torturé vit pour elle, Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes... Il aimait la mort, elle aimait la vie, Il vivait

Rupture amoureuse du poète. a) Amour perdu du poète. Le poète commence par se souvenir de son histoire avec Marie Laurencin : « Et nos amours, faut-il qu’il m’en souvienne » (vers 2 et 3). Les strophes montrent l’histoire successive de son amour envers cette peintre. D’après lui, l’amour est éternel et, en plus, comme indiqué dans la strophe 2, ils forment un pont stable ensemble : « Tandis que sous le pont de nos bras » (vers 8 et 9). Mais l’amour n’est pas si éternel que ça dans ce poème : « L’amour

sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désœuvrés incertains Dites ces mots Ma vie et retenez vos larmes           Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent           Il n'y a pas d'amour heureux

mémoire ♥ L'amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut et souvent, ça fait pas mal de dégâts ♥ Quand je serai plus vieille et que mes petits-enfants me demanderont : "Mamie, qui c'était ton premier amour ?" je ne veux pas avoir besoin de sortir de vieilles photos, je veux juste montrer de la main l'autre bout de la pièce et leur dire : " il est juste assis la". ♥ Quelqu'un a dit un jour "C'est dur de voir les personnes que l'on connait devenir des

un temps immobile et circulaire, éternel et passager. II. LE TEMPS QUI FUIT 1) Un présent éternel - « Sous le pont Mirabeau coule la Seine » : Vérité générale, présent immuable. Répétition du vers comme un refrain : rassurant, immuable. - Certains adverbes renforcent cette éternité : « toujours » ; les deux négations « Ni temps passé ni les amours reviennent » jouent le même rôle. Rien ne revient, tout s’échappe. Enfin nous avons les « éternels regards ».    _ Le pont est immuable

bras » (v.9). Dans la première strophe, l'auteur cite « le Pont Mirabeau » (v.1) car ce lieu lui évoque le souvenir d'un amour : « Et nos amours faut-il qu'il m'en souvienne » (v.2-3). Dans la troisième strophe, Apollinaire est plongé dans le passé afin de se remémorer tous les instants qu'il a passés à l'époque où cet amour existait encore : « Tandis que sous nos bras passe des éternels regards » (v.8 à 10) . Puis dans la cinquième strophe, Apollinaire nous montre la fuite de l'amour, celui-ci comparé

augmentent leur force et la tristesse. . "Dans ces lieux habités par la seule innocence, Où régne, avec la paix, un éternel silence, Où les cœurs, asservis à de sévères lois, Vertueux par devoir, le sont aussi par choix ; Quelle tempête affreuse, à mon repos fatale, S' élève dans les sens d' une faible vestale ? De mes feux, mal éteints, qui ranime l' ardeur ? Amour, cruel amour, renais-tu dans mon cœur ? Hélas, je me trompais ! J' aime, je brûle encore ! Ô mon cher et fatal ! ... Abailard

latin ou en français, de quelques tragédies de Sophocle et d'Euripide. Si pendant le XVIe siècle, le théâtre supposait une maîtrise des passions, le XVIIe siècle introduit une hiérarchie entre les trois grandes passions dramatiques : l`avarice, l`amour et l`ambition. On réserve l'avarice à la comédie, et à la tragédie l'ambition qui domine les « faiblesses » de l'amour. La tragédie commence, du Cid à Phèdre, au moment où l'homme doit prendre une décision où ses ambitions et ses intérêts se trouvent

ne nous donnait pas la possibilité de refuser de l’aimer? Dieu aurait pu faire de nous des robots qui n’auraient qu’à répéter sans cesse : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime. » Mais nous serions contraints à le dire, et ce n’est pas là le vrai amour. L’amour véritable est un choix. Mais pour que ce choix existe, nous devons avoir la possibilité de choisir de ne pas aimer : c’est la définition même du mal. Lorsque Dieu nous a dotés du libre arbitre, il nous a offert la plus grande des bénédictions