Amour éternel

Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente          Vienne la

Le Misanthrope Je vous présente une leçon dont le sujet est Amour et Amour de soi, facteur tragique et comique, dans le Misanthrope de Molière. Parmi les incohérences de l’amour traité par Molière, Aimer ce qui ne convient pas est le ressort le plus souvent utilisé, car il contient un impact dramatique, éternel et pose la douloureuse question de, la difficulté d’aimer. Aimer ce qui ne convient pas, source d’erreur et de conflit, pousse les personnages au choix crucial de l’Amour, le choix entre

« L’amour est comme le vent, nous ne savons pas d’où il vient ». Comme l’a écrit Honoré de Balzac, l’amour est une source d’inspiration sans fin pour les poètes car il est multiple et imprévisible, tout comme le vent. Amour fou, amour coquin ou romantique : toutes ces formes d’amours ont inspiré les poètes et cela depuis toujours. Nous avons réalisé cette anthologie de la poésie amoureuse en recueillant des poèmes qui illustrent chacun, à leur façon, une forme différente d’amour. Certains de ces

Parmi les incohérences de l'amour traité par Molière, aimer ce qui ne convient pas est le ressort le plus souvent utilisé, car il contient un impact dramatique éternel et pose la douloureuse question de la difficulté d'aimer. Aimer ce qui ne convient pas, source d'erreurs et de conflits, poussent les personnages au choix crucial de l'amour, le choix entre l'amour tout court et l'amour de soi. Et lorsque dans l'acte 3, scène 3, Célimène dit à Alceste : « Non, vous ne m'aimez point comme il faut

Hermione. Mais Andromaque est farouchement attachée à son défunt mari : Hector. Les Grecs veulent Astyanax, son enfant, et pour le sauver, Pyrrhus exige qu'elle l'épouse. Andromaque est déchirée entre deux choix : épouser Pyrrhus et trahir l'amour éternel qu'elle porte à Hector ou rester fidèle à son mari et faire tuer son fils. La scène 1 de l'acte IV rapporte son choix : elle a décidé de se sacrifier pour son fils. Son plan consiste à accepter le mariage avec Pyrrhus mais à se donner la mort juste

amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Sa passion est telle, qu’elle préfère se laisser mourir que lui avouer son amour. Elle le confie cependant à sa nourrice, Œnone. Peu après, une rumeur circule annonçant la mort de Thésée. La mort du roi entraîne un vide politique qu’il faut combler. Phèdre consulte alors Hippolyte, mais, troublée par sa présence, elle finit par lui avouer son amour. Hippolyte, stupéfait, s’enfuit. Il s’avère, en fait, que Thésée est toujours vivant. Phèdre se trouve dès lors

qu’elles reprennent leur forme humaine. Seul l’amour éternel pourrait à jamais briser le maléfice. La reine des jeunes filles-cygnes nommée Odette apparaît à Siegfried, subjugué par sa beauté, il décide de la capturer mais elle a peur du sorcier qui réapparaît et chasse le prince. Siegfried la pourchasse dans la forêt tandis que les jeunes filles-cygnes dansent au clair de lune. Il la rattrape et lui prête serment d’amour et de fidélité éternels; elle lui exprime une passion réciproque mais quand

elle finit par avouer la source de son mal : l'amour incestueux qu'elle voue à son beau-fils Hippolyte. Cet aveu est arraché au cours d’une tirade sous forme de récit lyrique où la jeune femme restitue les étapes de sa passion, la naissance d’un amour monstrueux et les dérisoires tentatives pour y échapper. Cet extrait met en valeur comment l'expression de l'amour fait apparaître une violence tragique. I - Les manifestations de l'amour Manifestations paradoxales qui témoignent

d’apprécier l’art du poète au service de la description de sentiments à leur paroxysme. * En concluant sur l’utilité et la nécessité d’une telle scène dans la pièce. Introduction Oreste, protagoniste du drame, a poursuivi sans succès Hermione de son amour. Ambassadeur des Grecs auprès de Pyrrhus, il a sacrifié sa mission officielle, celle de ramener Astyanax pour éteindre les derniers feux de la guerre de Troie, à sa passion pour la fille d’Hélène. Même, véritable jouet entre les mains de celle qu’il

doit se montrer pareil pour sa belle que le soldat pour son chef. Élégie VIII: Une femme qui demande de l’argent ne plaît plus à Ovide. Le seul cadeau qu’il puisse offrir, ce sont ces vers. Mais ce cadeau, qui ne plaît pas aux femmes cupides, est éternel. Élégie IX: Remerciements à Napé, servante de Corinne et messagère. Il lui remet un billet pour Corinne. Élégie X: Corinne ne peut pas venir. Ovide s’en prend aux tablettes de cire sur lesquelles il a écrit son message. Élégie XI: Ovide pleure