Amours De Claudine

Piazzetto L’Assomption de la Vierge Rapprochement de différents poèmes traitant la notion du carpe diem : Ronsard : « Hé que voulez-vous dire ? », Nouvelle continuation des amours Lecture(s) cursive(s) et documents complémentaires (en particulier iconographiques) Colletet : « Claudine, avec le temps », Amours de Claudine Baudelaire : « Remords posthume », Fleurs du Mal Queneau : « Si tu t’imagines », L’instant fatal Chassignet : « Est-il rien de plus vain » Boileau : « L’art d’écrire » (« Ce

puisqu’il parle de sa mort et est réaliste envers Hélène lorsqu’il évoque la vieillesse de celle-ci. Le poète veut faire passer un message au lecteur en lui faisant comprendre qu’il faut vivre le présent afin de vaincre la mort. Amours de Claudine (1556) Claudine, avec le temps tes grâces passeront,Ton jeune teint perdra sa pourpre et son ivoire,Le ciel qui te fit blonde un jour te verra noire,Et, comme je languis, tes beaux yeux languiront. Ceux que tu traites mal te persécuteront,Ils riront

son professeur de piano puis elle fut séduite par Marguerite Moréno qui devient « son alter égo ». Leur amitié dura toutes leurs vies, étrangement parallèles dans leurs amours. Moréno au « regard d’hidalgo » sera le modèle de l’être bisexué et parfait dans Le Pur et L’Impur. Mais Colette élargit constamment le champ de ses amours et s’installe dans une ambiance de harem aux relations aussi fluides que l’eau des fontaines et où l’homme, mari ou amant, était un paravent protecteur. Colette eut un coup

jeune femme développe son écriture et son époux l'utilise comme prête-plume. Dès 1895, Willy incite Colette à écrire ses souvenirs d'enfance. C'est ainsi que paraissent Claudine à l'école (1900), Claudine à Paris (1901), Claudine en ménage (1902) et Claudine s'en va (1903). Tous sont publiés sous le nom de Willy. Le cycle des Claudine rencontre un énorme succès à l'époque. Forte de ce succès, Colette s'émancipe doucement de son mari. Ainsi en 1904 elle signe son premier recueil de textes sous le nom

L'étranger MALRAUX : La condition humaine GIONO : Un roi sans divertissement ; Regain SARTRE : Les Mots ARAGON : Le paysan de Paris COLETTE : La maison de Claudine ; Le blé en herbe TROYAT : L'Araigne ; La neige en deuil G CESBRON : C'est Mozart qu'on assassine M. DEL CASTELLO : Tanguy R; Le manège espagnol J. BOURRIN : Les amours blessées J. GRACQ : Le rivage des syrtes A. MARINE : Le testament français S. DERVEV : La vénitienne A. FERNEY : Grâce et dénuement H. HABERT : Les braises

Ahoulou palnteur épouses et enfants à Bonoua M.Kraidy Kadjo Chef de la catégorie Noudjou tchagba de bonoua Koumassi épouse et enfants à Bonoua et Abidjan Ayemou Amou louis Militaire à la retraite épouses et enfants à Bonoua et Abidjan Frères et sœur Mme Moh née Moh Mpiké Marceline époux et enfants à Abidjan Mme Niamkey Ahoulou née Moh Ethan Claudine époux et enfants à Abidjan M.Moh Ntah Raphael épouse et enfants aux USA et à Abidjan M.Moh Aimé Vincent épouse et enfants à Bonoua M.Moh Kacou Honorat épouse

peut-être en tirer quelque chose... Les fonds sont bas.». Comme elle s'ennuyait, comme elle avait besoin de quelque activité pour se raccrocher à la vie, elle céda à ce mari-père, se mettant toutefois à l'ouvrage sans enthousiasme. Elle prit le nom de «Claudine», car, disait-elle, «Ce n’est pas ma vie, elle est transformée.» Le manuscrit fut terminé en 1896, mais son pygmalion ne se montra guère convaincu par l'intérêt du récit et s’étonna : «Je ne savais pas que j’ai épousé la dernière des lyriques !»

pas plus large qu’une tombe” → homosexualité: “jour gris” → “maquillages” : réflexion sur la féminité, contraintes que fait peser la société sur les femmes qui ne les voit que comme des objetsUn récit fictif: Présence de personnages imaginaires: Claudine: toby chien parle+ dialogue de bêtes Dialogues entre les animaux Intentions explicitées dans l’épigraphe: “imaginez-vous, à me lire, que je fais mon portrait? Patience: c’est seulement mon modèle.” Allers-retours présent et passé: déambulation entre

VIII « Je dy ce grand soleil…Fils ainé de nature et le père du jour. », extrait du Discours des misères de ce temps de Pierre de Ronsard - Consort XV d’Henri VIII 5 « Le plus touffu d’un solitaire bois …Tout en un coup d’un regard seulement», Les amours de Cassandre, poème de Pierre de Ronsard - Consort V d’Henri VIII 6 « J’ayme trop mieux souffrir la mort », chanson de Guillaume Costeley Du regard au toucher : 7 « l’autre jour que j’estois … », Sonnets pour Hélène, poème de Pierre de Ronsard

Nouveaux programmes de 3ème : Un récit d’enfance COLETTE : La Maison de Claudine, 1930, éd. Le livre de poche n°763 Document pédagogique proposé par Christabel GRARE, IA-IPR de Lettres Note liminaire : il ne s’agit pas de survoler les différentes formes possibles de l’autobiographie, et encore moins à travers des extraits de quelques lignes et/ou un groupement de textes disparate, tel qu’il apparaît souvent dans les manuels. Dans