Amphitryon Molière

1er moitié du XVIIe siècle. opposition au classicisme ( Louis XIV 1660 - 1715 ) : - ordre, raison, regles, géométrie, simplicité, naturel Les deux courants coexistent sous Louis XIV : aime la musique baroque de Lully, l'opéra, comédies de Moliere, pièce fantastiques Dom Juan et le spectre.. Au XVIIIe siècle --> se poursuit sous le style ROCOCO. b - ) contexte historique et culturel - Renaissance et Humanisme, optimisme des doutes : Debut XVIe siècle, développement de la paix,

sociales, morales et religieuses, ainsi qu'en ignorant volontairement autrui. Il est donc à la fois jouisseur et cynique, également égoïste et destructeur. L'usage établi veut que l'on écrive « Dom Juan » lorsqu'il s'agit du titre de l'œuvre de Molière ou du poème de Baudelaire, « Don Giovanni » ou « Don Juan de Mozart »[1] lorsqu'il s'agit de l'opéra de Mozart et Da Ponte, « Don Juan » lorsqu'il s'agit d'une autre œuvre[2]. Le personnage de Don Juan est avant tout un mythe. Les efforts d'identification

d'autant plus cocasse que le public comprend ou sait reconnaître l'ironie. Dès lors, l'auteur attend du public une certaine ouverture d'esprit, de perspicacité. On peut parfois, il est vrai, suggérer des choses sérieuses sous la légèreté. Du temps de Molière par exemple, il lui fallait contourner la censure de la monarchie. Les spectateurs comprenaient sans que cela soit dit que tel personnage empruntait les traits de caractère d'un personnage important de l'époque. Par exemple, dans le Misanthrope, Boileau

comique français après Molière[1]. Voltaire dira à ce propos : « Qui ne se plaît pas avec Regnard n'est pas digne d'admirer Molière. Outre ses célèbres comédies, on lui doit des récits de ses voyages, un petit roman, la Provençale, qui n'est que sa propre histoire ainsi que des poésies diverses. Il travailla d'abord pour le Théâtre Italien (1688-1696), puis il fit jouer au Théâtre Français plusieurs comédies qui eurent un grand succès (1694-1708). Regnard fut, après Molière, le premier comique français

comportement des caractères. Le public vient regarder « la scène comme si c’était vrai » (la Curée). Il vient voir la réalité tout en sachant que cela ne l’est pas. Il vient donc pour la vraisemblance, qui est une règle du théâtre classique. Le texte pour Molière doit avoir une visée didactique, morale tout en étant amusant. D’où les farces de celui-ci, comme l’Avare, le Malade Imaginaire qui montre les mœurs. Il tourne en ridicule l’ignorance des médecins de son époque dans le Malade Imaginaire. Aristote

Problématique : Quel est le registre de cette scène ? Introduction En 1665 ,Molière a quarante-trois ans . Cela fait plus de vingt ans qu’il se consacre au théâtre en cumulant les fonctions d’auteur , de comédien , de metteur en scène et de directeur de troupe . Dans cette pièce il s’agit pour l’auteur de présenter une comédie qui reflète ses préoccupations morales , sociales et religieuses, à l’instar de Tartuffe ( 1664 ) et du Misanthrope ( 1666 ). Le texte que nous allons étudier se situe

Dans la comédie du XVIIIs, Beaumarchais et Marivaux ont présenté de nouveaux rapports entre maîtres et valets. En effet, au XVIIs, notamment avec Molière, par exemple dans Les Fourberies de Scapin, le valet fourbe dupe son maître et se venge ainsi par la malice intellectuelle de sa soumission sociale. Mais, les rapports ont évolué et sont devenus plus complexes. Les personnages ne sont plus les caricatures de la Commedia dell’Arte mais de vrais humains au caractère plus réaliste. Alors, quelle

dès la première scène de la pièce lors de la conversation qu ’ il entretient avec Gusman « Tu vois en Don Juan mon maître… ». Après la mort de Don Juan, à la fin de la pièce, Sganarelle regrette ses « gages » que le lui devait Dom Juan. Bien que Molière désigne Sganarelle comme le valet de Don Juan, les rapports qui existent entre le maître et le serviteur sont plus complexes qu ’ ils ne semblent être et les différences se manifestent dans des domaines variés. Lorsqu ’ il est en compagnie de Sganarelle

recherche en se rendant au théâtre. Molière lui-même fait du rire un élément essentiel de la comédie. Au XVIIe siècle, cette fonction divertissante est l’une des raisons qui font de la comédie un genre moins noble que la tragédie. Pourtant, les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire ? Le rire est en effet rarement vain ou gratuit, et la visée pédagogique et morale n’est jamais loin dans la comédie qui aspire, comme le rappelle Molière, à faire rire en instruisant, n’en

Introduction Le XVIIe siècle est un siècle majeur pour la littérature française, en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille. De plus à cette époque le monologue intervient le plus souvent au moment critique pour le personnage en question: il souligne la gravité du moment et attire l'attention sur le désarroi du personnage. L'illusion comique, pièce du dramaturge Corneille, est à la rencontre de plusieurs genres théâtraux