Amphore

Sources immatérielles : vases, amphores, icônes portant des épitaphes. Rapport entre l'image et l'objet. Attention, l'immatériel représente le texte sur l'objet, si l'intérêt porte sur l'objet, il s agit alors d'une source matérielle. On peut donc interpréter la source immatérielle contrairement à la source matérielle qui elle donne plus d'informations tacites. Textes ou images sur objet donne lieu à la frontière entre matériel et immatériel. Source fiable car directe, on voit la source telle qu'elle

Médée a également été réécrit pour l’art lyrique. Citons la Médée de Marc-Antoine Charpentier sur un livret de Corneille (1693), et celle de Luigi Cherubini (1797). * En peinture Dans l’Antiquité, Médée est parfois figurée sur des vases ou des amphores, telle l’amphore à figures rouges Médée tuant son fils, par le peintre d’Ixion (v. 330 av. J.-C., musée du Louvre, Paris), des fresques murales (Pompéi), des sarcophages romains. Dans l’art occidental à partir de la Renaissance, plusieurs épisodes

et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l'aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l'enfant courageux. Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ; Tu sèmes au hasard la joie et les désastres, Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.

Ainsi, Mallarmé écrit « le sonnet en yx », cherchant une rime exceptionnelle : « Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx, / L’Angoisse ce minuit, soutient, lampadophore, / Maint rêve vespéral brûlé par le Phénix/ Que ne recueille pas de cinéraire amphore.» La poésie a donc une vocation à magnifier le langage, au point qu’elle puise parfois sembler hermétique. N’est-ce pas aussi pour tenter de faire percevoir le monde autrement ? Extrait 8 : Somme toute, considérer la poésie comme uniquement

 Ceci devient commun à toutes les classes sociales.    II. Les deux personnages, un couple d’aristocrate.    a) Angelica, une bourgeoise à la recherche du prestige aristocratique.    Caractérisé par sa beauté et puis son argent, métaphore « si belle amphore pleine de pièce  de monnaie » adverbe d’intensité si + « très belle femme » ­> insiste sur le caractère animal  de la femme associé à son charme => beauté à l’état brute. Le terme « très belle gemelle »  déclenche de la sensualité, un désir sexuelle

Ss dte pas un hasard si pges arrivent sur « âne » ou « mule » registre ironique : de la part du Chœur : présent ds décalage continu entre ton affecté et détails relevés qui montrent distance moqueuse. Apparet flatteries mais en fait moqueries. « amphore antique »> vin. « co la fièvre, avec le vent qui fait jaunir les bois » > aspect desséché et desséchant de Pl. Ou encore « vénérable jarretières » : association incongrue entre terme noble et détail trivial ; ou encore « les deux yeux à demi fermés 

furent pillées et détruitent lors de l'invasion des Goths au début du Ve siècle. Il n'y eut donc aucun vestige des constructions antiques à l'exception de Monte Testaccio, une colline artificielle haute de 36 mètres. Construite grâce aux innombrables amphores cassées, jadis utilisées pour l'importation des marchandises comme de l'huile, du vin et des céréales. Elle témoigne encore aujourd'hui des anciennes installations portuaires. EGLISE SAN SABA Cette petite église fut bâtie au VIIe siècle par

narguant à bord du char du Soleil, tiré par 2 dragons. C’est le triomphe de Médée sur Jason, le triomphe de la femme sur l’homme. 1) Jason et Médée dans la quête de la toison d’or 2) Médée tuant son fils Euripide. Médée tuant son fils, amphore à figures rouges campanienne, vers 330 av. J.-C., musée du Louvre (K 300)

personnalité féminine. Il s’agit de l’attirance, l’affection vis-à-vis d’autrui. Justement, l’extrait suivant : «Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore / Tu répands des parfums comme un soir orageux; / Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore» le prouve clairement. Ici, l’amour est témoigné par l’usage des sens pour ressentir l’intensité des émotions. Effectivement, la vue est sollicitée lorsque le poète compare les yeux de la femme à l’aube et au crépuscule, l’odorat lorsqu’il affirme

l’écritoire au côté. Comme un poupon sur l’oreiller, il se ballotte sur son ventre rebondi, et, les yeux à demi fermés, il marmotte un Pater noster dans son triple menton. Salut, maître Blazius, vous arrivez au temps de la vendange, pareil à une amphore antique. Maître Blazius. Que ceux qui veulent apprendre une nouvelle d’importance m’apportent ici premièrement un verre de vin frais. Le choeur. Voilà notre plus grande écuelle ; buvez, maître Blazius ; le vin est bon ; vous parlerez après.