Ampleur Et Les Conséquences Du New Deal

Par son ampleur et les drames qu’elle a provoqués, la crise de 29 est une situation heureusement très rare dans l’histoire économique et sociale. La précédente datait de 1847 et avait antraîné la révolution de 1848.La crise de 1929, partie des États-Unis, se diffusera dans le monde entier sous la forme d’une grande dépression généralisée. Dés le printemps 1929, des nuages s’amoncellent sur l’économie américaine après plusieurs années de croissance vigoureuse. Les résultats des entreprises se dégradent

Fonctionnement de l'économie est marqué par l'équilibre, crise est liée à un choc exogène La crise comme dérèglement : ◦ La dynamique de l'économie génère des perturbations qui conduisent à la crise ◦ La crise peut alors apparaître à la fois comme une conséquence et un moyen de résoudre ces perturbations ▪ une crise presque inéluctable par la dynamique du fonctionnement de l'économie:  les causes (le dérèglement progressif de l'économie)  la sortie de la crise (une solution aux perturbations, c'est par

américaines fermèrent leurs portes. Pour s’en sortir le seul moyen des banques fut de stopper les prêts à l’étranger et de réclamer le remboursement de ceux déjà effectués ; de plus les capitaux américains cessèrent de circuler autour de la planète, la conséquence inévitable fut l’expansion de la crise à l’ensemble des pays industrialisés. C’est une banque autrichienne, la Kreditanstalt, qui ferma la première ses portes. Vinrent ensuite la Danat Bank allemande qui fit s’effondrer l’ensemble du système bancaire

des subprimes sont bas. Entre 2004 et 2006, les taux directeurs augmentent (5.25% en 2006) car : * Tensions inflationnistes * Bulle immobilière : Greenspan veut freine l’augmentation des prix de l’immobilier en limitant les crédits. → CONSEQUENCE : les crédits subprimes étant à taux variable au bout d’un certain temps, les échéances qui s’imposent aux ménages vont augmenter. Certains ménages ne peuvent déjà plus rembourser leurs crédits. Ils peuvent moins renégocier leurs échéances car les

transformer en quelque chose de nouveau, les économies libérales vont être bouleversées par la crise. La conséquence beaucoup plus durable de la crise est que pendant 50 ans le libéralisme va fonctionner selon un modèle complètement nouveau. Ce système s'est établit en 1933-1936 et va s'épanouir jusqu'en 1979, pendant un demi-siècle le libéralisme a été modifié pour tenir compte des conséquences de la crise. Ce nouveau modèle a été définit par l’économiste John Maynard Keynes (1883-1946), c'est le

Fusion – UNISOR (belge) – ARBED - Entreprise espagnol 1. Nature et modalités de l’intervention publique : Une nouvelle donnée ← voir document Nouvelles normes de productivité, de production, de consommation. 1.1. New Deal Cas en Allemagne : En Allemagne on a un régime totalitaire, le parti NAZI, ou le ministre du parti de l’économie Dr. SCHACHT est un keynésien qui lance le pays dans une économie de guerre. Il essaie de renforcer l’économie en Allemagne selon

économique et sociale. C’est non seulement l’économie américaine qui traverse la pire crise de son histoire mais aussi le reste de l’économie mondiale partout affectée par la déflation, la dépression. Faut-il considérer que la crise américaine par son ampleur imprévue s’est prolongée au reste de l’économie mondiale par le biais du rapatriement des capitaux américains et de la contraction du commerce international ? Il faut ainsi prendre en compte en premier lieu le krach de WS , l’importance de la crise

l’instar des marchés financiers et la spéculation (radicalement en opposition avec le principe de stabilité). Ce « laissez-faire » (baisse des salaires, hausse du chômage) des libéraux n’est pas une solution selon Keynes mais un danger de grande ampleur. L’alternative keynésienne : le circuit Pour John Maynard Keynes (1883-1946), le marché ne peut réguler lui-seul l’économie. Keynes postule que l’individualisme est à l’origine du chômage. Ainsi, les consommateurs raisonnent en termes de coût et

l’échelle mondiale. Du fait à la fois de la baisse des ventes dans les pays riches et du surinvestissement dans les pays émergents. La récession actuelle devrait du coup précipiter la concentration de cette industrie encore très éclatée. Avec des conséquences très lourdes en termes d’emplois et en amont, sur les tissus industriels des zones concernées. Notamment en France où, dans le contexte d’une désindustrialisation déjà très avancée, l’automobile constituait jusqu’à présent un des rares pôles de

guerre à dimension idéologiques. La fin de la cette seconde guerre est mieux préparée. Les Etats-Unis assument leur place dans la fin de la guerre. Accords de Bretton Woods, plan Marshall : le monde tente d’échapper à la logique de la guerre. Les conséquences de la guerre : fragilisation des empires coloniaux, guerres d’indépendances. Renforcement du bloc communiste (Moa Tsé Tsong, Fidel Castro) et hégémonie américaine (politique, économique et militaire). Importance de l’Etat dans l’économie (modèle