Amulette

exploitaient les mines de malachite  dès 4000 avant  J.C.  Elle symbolisait pour eux la joie et était  particulièrement liée à Hathor, la déesse de l'amour, la beauté, la musique, la maternité et la joie.  Les   Phéniciens,  eux,  la  portaient  en  amulette  lors de leurs  aventures maritimes tandis que  les  Grecs  et les Romains de l'antiquité  l’utilisaient en bijoux, ornements, fard à paupières ou poudre  médicinale. Ils l’ont  aussi beaucoup utilisée en architecture. Par exemple, selon la description

sacrifiait, qui est donc Tanit ? Son symbole, un triangle surmonté d’une barre horizontale aux extrémités souvent relevées, sur lequel repose un cercle est reproduit à des milliers d’exemplaires à Carthage tant sur des stèles, des mosaïques que sur des amulettes et des tablettes votives. La déesse est-elle née à Carthage ou en Phénicie ? Son nom est-il phénicien ou africain ? Le culte de la déesse ne se limitait pas à Carthage, il se retrouve dans tous les comptoirs puniques particulièrement à Chypre, Malte

comme des éléments sacrifiés et purifiants. Les cheveux sont finalement ornés et parfumés de fleurs. Dans les pays de l'Asie de l'Est, tel que la Chine, les dreadlocks et les variations des locks, la koltun, furent traités initialement comme une amulette, supposée apporter une bonne santé, et furent souvent portés en même temps que des ongles (de la main) très longs. Ces modes furent réservés pour les membres de la société noble et les ascètes, qui désirèrent exprimer leur liberté de domestiques

vies jusqu’à atteindre Moksa, la libération du cycle des réincarnations. La grossesse sera très suivie : textes pieux pour protéger le futur bébé, offrandes de riz au huitième mois à Vishnou pour assurer la protection de la mère et de l’enfant, amulettes, fumigations et formules sacrées pour éloigner les mauvais esprits lors de l’accouchement. De même posera-t-on le tilaka, un point noir sur le front du bébé, et mettra-t-on une cuillère en or avec une boulette de miel et de beurre clarifié dans la

soleil L’œil gauche avec la passivité, le passé et la lune Dans le Bouddhisme on connaît le troisième œil symbole de la vision intérieure Dans l’antiquité l’œil était souvent le symbole du Dieu solaire On trouve fréquemment en Egypte comme amulette l’œil OUDJAT du Dieu Faucon HORUS le DIEU du ciel L’œil OUDJAT est peut-être un élément de composition d’un objet plus complexe Dans la Bible l’œil apparaît comme le symbole de la connaissance universelle de la vigilance et de l’omniprésence protectrice

titre "prince de kpn" (kapni : byblos en egyptien) sous le cartouche : faucon aux ailes étendues tenant un anneau dans chaque griffe. On retrouve aussi un diadème orné d'une frise de pilier djed et de signe ânkh surmonté d'un uraeus qui rappelle les amulette de Dachour et atteste une technique similaire. Tombe 3 Par de sarcophages, reste de deux personnes. Pectoral en or de la forme d'un faucon avec les ailes étendues a été trouvé. La très fine feuille d'or dans laquelle il a été fait indiqué

mutilation, voir une émasculation, un don de soi comme il se doit.  A l’hôpital : Le patient installe un petit autel en principe sur la table de chevet. Il peut déposer près de lui un chapelet, mandala ou tout autre objet protecteur (talisman, amulette, écritures sacrées). Ces objets ne doivent pas être souillés ou placés en position inférieure car ils perdent de leurs efficacités. Il va continuer de respecter son régime alimentaire habituel. Pas de jeûne particulier dans les rites du bouddhisme

dans les rites d’initiation. objet fabriqué chargé d’un pouvoir surnaturel pouvant avoir un pouvoir maléfique ou bénéfique. un très bel arbre aux fleurs d’un rouge éclatant. un arbre pouvant atteindre une taille gigantesque, au tronc argenté. une amulette, un talisman, un porte-bonheur. un chanteur, musicien, poète et conteur africain. Oiseau à long bec courbe dont la tête est surmontée d’une touffe de plumes. un tubercule remplaçant la pomme de terre dans la cuisine africaine. un lieu fréquemment

explore cette société thaïlandaise qui a longtemps fasciné les occidentaux avec cette juxtaposition de plusieurs mondes comme en témoigne ces temples bouddhistes à l’entrée des nombreux gogo-bars. C’est que pour se protéger, Bangkok a aussi ses amulettes, ses chamans, ses prêtres et ses maisons des esprits. « Bangkok est la ville des fantômes, la seule ville où chaque nuit un homme chasse les mauvais esprits ». C’est le rôle de Sackchai Suksa-Ard, « l’attrape morts » de Bangkok. Dans les rues

n’y a rien dans ces relations qui soit proprement religieux . D’autre part, il ne faut pas perdre de vue qu’il y a des choses sacrées de tout degré et qu’il en est vis-à-vis desquelles l’homme se sent relativement à l’aise. Une amulette a un caractère sacré, et pourtant le respect qu’elle inspire n’a rien d’exceptionnel. Même en face de ses dieux, l’homme n’est pas toujours dans un état si marqué d’infériorité ; car il arrive très souvent qu’il exerce sur eux une véritable contrainte