Analyse D Une Electrophorese

Pression osmotique du milieu plasmatique Anions € équilibre électrique Pouvoir tamponElectrophorèse des protéinesAlbumines 60 % PM faible 70 000 Pression osmotique ++ Transporteurs Maladie hépatique (diminution) Maladie rénale ( protéinurie) 35 % Electrophorèse des protéines Globulines PM 200 000 - 400 000 Trois groupes :       enzymes transporteurs  globulines immunoglobulines  A, D, E, M, G Facteurs de coagulation et fibrinolyse 5% Fibrinogène ++Modification de concentration ( anomalie

II : 08 10 LES VECTEURS : PLASMIDES, PHAGES, COSMIDES, YAC, BAC, VIRUS 13 I- Les vecteurs en génie génétique : l'ADN plasmidique II- L'ADN phagique III. Cosmides, YAC et BAC 13 17 20 Chapitre III: ENZYME DE RESTRICTION, ÉLECTROPHORÈSE, CARTE DE RESTRICTION 24 I. Enzymes de restriction II. L’électrophorèse sur gel III. Les enzymes utiles en génie génétique: 24 30 31 CHAPITRE IV: CLONAGE ET ÉTUDE DE L’ADN CLONÉ. I - Le clonage II - Les banques génomiques III

transrationnelle Diapo 45 : Analyse d’une région d’ADN L’ADN poly lit de 3’ vers 5’ Sur un chromosome les deux brins peuvent être matrice mais pas sur le même gène : ex PHOTO On cherche l’ARN pour voir si c’est transcrit. Dispo 46 : Analyse de la transcription Diapo 47 : Northern-blot : Technique basé sur l’hybridation moléculaire Diapo 48 : Protection à la RNAse RNAse c’est une enzyme qui dégrade des ARN simple brin. Ce qui n’a pas était détruit va être détecté pat électrophorèse. Détermination du +1

mis au point et validé deux approches techniques basées sur la quantification du nombre de copies de notre gène d'intérêt, la Quantitative Multiplex PCR of Short Fluorescent fragment (SQF-PCR) et de la PCR quantitative (Q-PCR). Nous avons ensuite analysé une quarantaine de patients présentant les signes cliniques de « CAPS », mais pour lesquels aucune mutation dans le gène NLRP3 n’avait été détectée. Aucun grand réarrangement du gène NLRP3 n’a été identifié. Ce travail préliminaire suggère que la

V- Matériels et Méthodes : 11 1. Culture cellulaire 11 2. Trypsination des cellules: 11 3. Transfection: 11 4. Immunofluorescence 12 5. Techniques de manipulation de protéines 13 a. La lyse cellulaire 13 b. Électrophorèse SDS-PAGE et immunodétection des protéines (western blot) 13 VI- Résultats : 14 1- Co-localisation de la p86-AmotL1 et la myosine : 14 2- Co-localisation de la p86-AmotL-1 et le Actine F : 16 3- Effet la surexpression de la p86-AmotL-1

Note : Étude des gouttes de sang projeté : Rapport présenté au XXIIe Congrès de médecine légale de langue française Paris, 5, 6, 7 juin 1939 de Victor Balthazard (Auteur ayant collaboré avec Herbert Leon MacDonell).   Indice Physique-Chimie 1 Analyse de la poudre blanche retrouvée dans le verre   Objectif Déterminer si la poudre blanche est du paracétamol, comme le laisserait penser le tube trouvé à côté du verre. Justification de la technique utilisée On veut savoir si la victime

physique complet : observation et reconnaissance des signes pathologiques système par système. - Donner les hypothèses de diagnostic syndromique et différentiel, - Demander et interpréter les examens spéciaux (imageries, ORL, ECG,...) et les analyses de laboratoire en rapport avec la pathologie rencontrée. - Donner des propositions de traitement. - Enfin, faire une présentation correcte du cas aux membres du staff Médical du service. Ainsi, l'observation du stagiaire devient officielle

F1 : AS= 36125/1291.75 = 27.97 Rendement : Rendement=[pic] Exemple F2 : Rendement= (725/36125)*100 = 2% Enrichissement : Enrichissement=[pic] Exemple F2 : Enrichissement= 0.642/27.97 = 0.023 Commentaires : Nous avons analysé le bilan des paramètres essentiels en deux temps : -Aspect qualitatif : Par rapport à la fraction 1 initiale, nous pouvons constater que dans nos fractions d’élution, l’activité spécifique a augmenté. La fraction présentant la plus forte activité

l’oreille et talon chez nourrisson). 4. Sang total : ex analyse d’hématologie groupage sanguin numération globulaire, VS Plasma (partie liquide du sang recueilli sur anticoagulant après séparation des éléments figurés) : ex exploration Hémostase, Biochimie ->Tube sec.  Sérum (Plasma sans fibrinogène) ex : Electrophorèse des protéines sériques, RAI, examens sérologiques. Sang

Degré d’automatisation (appareil capable de faire inoculation, lecture…) Durée d’incubation Incubation classique (12 à 18h) Incubation semi-rapide (8h) Incubation rapide (4 à 5h) Gamme des applications possibles Nombre d’analyses effectuées (10 à 50 analyses simultanées) Degré d’informatisation des résultats 1 Vitek (Biomérieux) Le plus utilisé, un des plus fiables. Utilisation de substrats et d’inhibiteurs 30 puits par carte % d’identification correcte des gram- : 75 à 97% Cartes disponibles : 2-13h