Analyse Des Personnages Le Bourgeois Gentilhomme

qu’on en apprend le plus sur le caractère de chaque personnage et la raison de leur arrivée en enfer. On peut remarquer lors de chaque scène l’apparition d’un autre protagoniste en enfer et on observe dans la dernière scène le départ du Garçon d’étage qui a un rôle mineur dans la pièce. Le titre de cette pièce est Huit-Clos car la mesure de l’unité de lieu y est totalement respectée. En effet ce titre est utilisé pour montrer que les personnages sont coincés dans une salle d’où ils n’ont aucun moyen

Résumé 2.3 Extrait 2.4 Situation de l’extrait 2.5 Analyse 2.6 Illustration 3. LES FAUSSES CONFIDENCES (élève A) 3.1 Auteur 3.2 Résumé 3.3 Extrait 3.4 Situation de l’extrait 3.5 Analyse 3.6 Illustration 4. LE MALADE IMAGINAIRE (élève B) 4.1 Auteur 4.2 Résumé 4.3 Extrait 4.4 Situation de l’extrait 4.5 Analyse 5. DOM JUAN (élève A) 5.1 Auteur 5.2 Résumé 5.3 Extrait 5.4 Situation de l’extrait 5.5 Analyse 6. RUY BLAS (élève B) 6.1 Auteur 6.2 Résumé

PRESENTATION DES PERSONNAGES PRINCIPAUX – Nana – Le Comte Muffat de Beuville – Satin – Bordenave – Les frères Hugon III. AXES D'ANALYSE DE L'OEUVRE – Courtisanes et prostitution – Le succès du tabou abordé I- RESUME DU ROMAN Chapitre 1 Le roman s'ouvre au théâtre des Variétés, à Paris. Le public assiste à une première, celle d'une toute nouvelle pièce classée supposée mythologique. On y retrouve un public d'habitués (aristocrates, bourgeois, journalistes

est un éternel séducteur, mais aussi un défendeur d’une certaine philosophie (le libertinage). En quoi ce personnage est comparable à Œdipe, Roméo et Juliette, qui ont eux aussi marqué les esprits ? Dom Juan est un mythe, une abstraction universelle avec des origines. Ce mythe a-t-il un seul sens ? Non, la pluralité d’interprétations fonde l’intérêt du mythe. On peut rattacher le personnage de Dom Juan à quel dieu romain (question pour les latines) ? A Zeus, l’éternel séducteur et amoureux. Zeus

effet, l’intermède met en scène l’amour malheureux entre Toinette et Polichinelle, un personnage symbolique de la Commedia dell’arte décrit comme un être égoïste et féroce qui se soucie peu des autres et cherche sans cesse querelle. Malgré un physique ingrat et une bourse vide, il est si entreprenant et persuasif qu’il a du succès. On revient ici au style pur du théâtre italien puisqu’on retrouve ses personnages et son comique de farce. Ainsi, Polichinelle vient dans la nuit pour donner une sérénade

élémentaire qu’il convient de rappeler à bien des Français pour lesquels ce personnage, qui pourrait bien être fils de Molière, aurait survécu grâce à Mozart (l’opéra : Don Giovanni, ossia il dissoluto punito) et n’aurait ressuscité qu’avec Edmond Rostand ou Montherlant. Il n’en est rien : Don Juan est espagnol et l’est resté jusqu’à nos jours et la preuve en est que tous les auteurs étrangers qui se sont intéressés au personnage en ont fait un Espagnol, quand bien même, tel Lord Byron, l’auraient-ils

philosophe, scientifique (=passion pour les connaissances) 3) Les valeurs C’est un mouvement optimiste qui a foi en l’homme et dans le progrès humain. Les philosophes se veulent avant tout cosmopolites : ils voyagent beaucoup pour découvrir et analyser les autres systèmes politiques. Ils vantent la Tolérance, la liberté et ils veulent libérer l’homme des contraintes de la religion grâce à la connaissance allant jusqu’à prôner l’athéisme. Les philosophes souhaitent un régime politique plus juste

siècle, grand siècle du théâtre européen * En Espagne, les 3 grands dramaturges espagnols de cette époque sont : Felix Lope de Vega, Pedro Calderon de la Barca (La Vie est un songe) & Tirso de Molina (Le Trompeur de Séville où apparaît un personnage promu à un destin de mythe littéraire : Don Juan). * En Angleterre, le théâtre élisabéthain a connu un développement prodigieux. Les plus grands dramaturges de cette période sont : Shakespeare, Christopher Marlowe (La Tragique Histoire du docteur

adaptation surréaliste du mythe d’Orphée. Cocteau réutilise les éléments et idéaux de son époque, tel que le surréalisme, pour adapter le mythe au XXe siècle. Et la révolution de cette fin de deuxième millénaire, c’est le cinéma. Cocteau modifie tout : personnages, situations, enchaînements d’actions, lieux, morale… La mort tombe amoureuse du poète et se sacrifie pour lui. La personnification de la mort est un élément tout à fait nouveau, par rapport au mythe. Il recréé un mythe pour et avec son époque. Ce

durant cette période que Molière écrit ses premières pièces, notamment des farces, comme La Jalousie du barbouillé, en 1646. Il fait la connaissance de différents publics, apprend à observer les hommes, ce qui lui permettra de mettre en scène des personnages hauts en couleur comme l'Avare, par exemple. Dès son retour à Paris, grâce à l'appui du duc d'Orléans et frère du Roi, il se produit devant la cour. Le succès qu'il remporte, avec Les Précieuses ridicules notamment, lui permet de jouer dans