Analyse Fleurs De Rimbaud

Spleen (« Quand le ciel bas et lourd ») de BaudelaireIntro :· Baudelaire (1821-1867) : poète de la modernité, se situe au carrefour de toutes les influences du 19s (romantisme, symbolisme, parnassien)· Spleen : 1857, poème, extrait du recueil Les Fleurs du Mal (la plus grande œuvre de sa vie, et aussi la plus connue), section Spleen et Idéal, dernier des 4 Spleen, poème angoissant et mélancolique, parle d’une des périodes la plus sombre de la vie du poète (dépression), associe la beauté de son style

d’or » convoitée par le roi Marc, lui est ainsi décrite par Tristan : « Elle est, sans conteste, la plus belle et la mieux enseignée. Elle excelle dans le chant et le jeu des instruments et elle a appris de sa mère les vertus secrètes des herbes, des fleurs et des racines, en sorte qu’il n’est point de meilleur médecin que cette jeune fille. » Ce sont aussi les héros et héroïnes parfaits et édifiants des romans sensibles des e et e siècles qui font l’objet de descriptions hyperboliques et redondantes

les mains qu’elle veut plonger dans l’eau, les mains qui perdent l’anneau de noces avec Golaud, les mains qu’elle refuse de donner d’abord à Golaud, puis à Pelléas, car elles sont pleines de fleurs… En fait, on peut percevoir des échos d’Ophélie dans le personnage de Mélisande, tels que Millais, Rimbaud ou Bachelard les ont signalés.1 Mélisande ne décide pas, elle se laisse emporter par un destin invisible, puisque ce n’est pas l’existence symbolique d’un philtre, ni l’action dramatique de boire

convoitée par le roi Marc, lui est ainsi décrite par Tristan : « Elle est, sans conteste, la plus belle et la mieux enseignée. Elle excelle dans le chant et le jeu des instruments et elle a appris de sa mère les vertus secrètes des herbes, des fleurs et des racines, en sorte qu’il n’est point de meilleur médecin que cette jeune fille. » Ce sont aussi les héros et héroïnes parfaits et édifiants des romans sensibles des e et e siècles qui font l’objet de descriptions hyperboliques et redondantes

lyrique, engagée directement ou non, ou bien axée sur le langage poétique. | Texte 1 : Jean de SPONDE, Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829)

et de diplomates ? Bien sûr, moi aussi, je l’ai dit un jour, pour les besoins de ma thèse. On me le pardonnera ? Car je sais ses ressources pour l’avoir goûté, mâché, enseigné, et qu’il est la langue des dieux. Ecoutez donc Corneille, Lautréamont, Rimbaud, Péguy et Claudel. Ecoutez le grand Hugo. Le français, ce sont les grandes orgues qui se prêtent à tous les timbres, à tous les effets, des douceurs les plus suaves aux fulgurances de l’orage. Il est, tour à tour ou en même temps, flûte, hautbois

dérivés régressifs. Claudel s’enlise dans les caprices grammaticaux, dans les méta- phores et dans les explications étymologiques. Néanmoins, sa symbolique repose sur les éléments naturels. Une telle analyse lexicale représente une première dans la littérature slovaque quoi qu’il n’agisse que d’une analyse subjective. Paroles-clés: Paul Claudel, lexique, polysémie, littérature française, 20ème siècle. Paul Claudel, poète de création et d’imagination symboliste universelle, au- teur dramatique prolifique

d'Amérique du Nord. En effet, 12 Mensuel Paroles et Musique N°53, octobre 1985 ; Hubert-Félix Thiéfaine, Pascale Bigot p.25 ou Hubert-Félix Thiéfaine, jours d'orage, Jean Théfaine p.81. 13 « Syndrome albatros », in Eros über alles. 14 Pièce II des Fleurs du Mal, section « Spleen et Idéal », 1857. 15 The Soft Parade, 1969. 8 Thiéfaine explique16 que « Morrison a beaucoup plagié Nietzsche », qu'il « aime bien le côté indien parce que l'Indien c'est un peu comme l'albatros aujourd'hui » et qu'«

force motrice du poème. Car c'est ce mélange complexe et disparate qui aboutit à l'état d'esprit où «la folie veut raisonner pour mon malheur». Le poème procède véritablement au moyen de l'image. C'est ensuite, et je ne vais pas m'attarder à une analyse trop fastidieuse ici, que l'image du tableau, le véhicule de son propre cœur, se ramifie, se divisant en sept images secondaires où l'objet concret, l'épée, devient mythique, donc signe abstrait, mais où le mythe renvoie aux détails réels de l'histoire

d’or » convoitée par le roi Marc, lui est ainsi décrite par Tristan : « Elle est, sans conteste, la plus belle et la mieux enseignée. Elle excelle dans le chant et le jeu des instruments et elle a appris de sa mère les vertus secrètes des herbes, des fleurs et des racines, en sorte qu’il n’est point de meilleur médecin que cette jeune fille. » Ce sont aussi les héros et héroïnes parfaits et édifiants des romans sensibles des e et e siècles qui font l’objet de descriptions hyperboliques et redondantes