Anarchie

remontrances, enregistrement, Fronde, oppositions aux rois, violences contre la personne du roi…). Ne pas être trop simpliste, il n’y a pas les bons d’un côté et les méchants de l’autre. Prudence avec les termes de « solidarité », de « dictature », d’« anarchie », de « monarque absolu », de « despote », de « tyrannie » ; revoir les définitions historiques et juridiques ; ne pas tenter d’opposer systématiquement ce qui se passe sous l’Ancien Régime à ce qui se passe après. Ecrire en toutes lettres cent

des relations que l’on a, a une hiérarchie. Même si l’on ne le remarque pas . La hiérarchie définit notre rôle dans la société. Il est difficile de se passer de hiérarchie, volontaire ou non. Question : peut-on se passer de hiérarchie ? Non : Anarchie, désordre, conflit plus fort, pas d’organisation, on fait ce qu’on veut, on perd nos statuts, formation, rôle, respect… Oui : le plus fort l’emporte Les relations d’assistance/d’aide en qualité d’ASE Contexte : exercice d’ASE / champs d’intervention :

pas de domination unique ayant un caractère coercitif. L’anarchie peut, étymologiquement, également être expliquée comme le refus de tout principe premier, de toute cause première, et comme revendication de la multiplicité face à l’unicité. Le mot anarchie est aussi employé a défaut comme synonyme de désordre social. Pour une vie plus saine, plus heureuse et donc plus libre nous avons l'obligation de respecter des règles et des lois strictes et renoncer la définition de la liberté spontanée. basé

2) Ensuite, le peuple est par définition indigne de la politique Elle doit ainsi, inévitablement, se transformer en anarchie : si tous en effet légifèrent et commandent, alors, personne ne détient l’autorité et nul n’obéit. Les vertus d’ordre et de discipline se perdent alors, et sont remplacées par le désordre et l’indiscipline. a) Démocratie et anarchie Rappel : le peuple souverain chez les grecs = pas tout le monde, mais l’ensemble des citoyens (en sont exclus les femmes,

entre le besoin d’être gouverner et celui de ne pas l’être. Le bon milieu. L’homme naît dans un endroit ou distinctement il est gouverné. Sans gouvernement, sans les institutions de l’Etat au sein de la politique, l’homme vivrait alors dans une anarchie, et dans un environnement qui pourrait être décrit comme animal, même s’il est vrai que même les animaux sont eux même gouvernés par les lois de la nature, ainsi que leur statut hiérarchique. En effet, l’homme à besoin d’être gouverné. Quel serait

droit de vie et de mort sur les autres. Aucuns hommes riches ou pauvres n’ont le droit de vie ou de mort sur les autres. L’idée qui vient en réaction à la dictature mais qui n’est pas mieux est l’anarchie. L’homme vivrait alors dans une anarchie, et dans un environnement qui pourrait être décrit comme animal, si on l’utilise au sens péjoratif cela est apparenté un désordre social qui ne veut aucun commandements, mais dans un milieux sans commandement, comment le sujet pourrait se développer 

absolutiste, la transaction volontaire, au lieu de l’arbitrage de l’Etat ; la justice équitable et réciproque, au lieu de la justice souveraine et distributive… »2. Par définition, les concepts de « droit » et d’ « anarchie » s’excluent mutuellement. Étymologiquement, le mot anarchie dérive du grec « anarkhia », terme lui-même composé du privatif an- (comme dans anhydride, sans eau) et du substantif « arkhê », qui signifie commandement, pouvoir. L’anarchie serait donc absence de commandement, absence

est donc celle de l’accord entre les personnes : comment, à partir de leurs compétences justificatrices, celles-ci parviennent-elles à maintenir entre elles un accord suffisant pour que la société « tienne ensemble » et ne se désagrège pas dans une anarchie (ou anomie) générale ? Implicitement (même si Boltanski n’utilise pas cette formulation), on retrouve donc bien la question classique de l’ordre social (qu’est-ce qui fait qu’une société « tient » ensemble plutôt que de se désagréger), qui devient

 Horus Le dieu Kneph en tremblant ébranlait l'universIsis, la mère, alors se leva sur sa couche,Fit un geste de haine à son époux farouche,Et l'ardeur d'autrefois brilla dans ses yeux verts." Le voyez-vous, dit-elle, il meurt, ce vieux pervers,Tous les frimas du monde ont passé par sa bouche,Attachez son pied tors, éteignez son oeil louche,C'est le dieu des volcans et le roi des hivers !" L'aigle a déjà passé, l'esprit nouveau m'appelle,J'ai revêtu pour lui la robe de Cybèle...C'est l'enfant bien-aimé

journaliste et philosophe. Proudhon publia plus de 60 livres et de nombreuses autres œuvres. Proudhon est connu pour être le père de l'anarchisme, c'est le premier en 1840, à donner une définition au nom «anarchie» non pas de désordre, mais d'ordre social sans gouvernement ; «La liberté est anarchie, parce qu'elle n'admet pas le gouvernement de la volonté, mais seulement l'autorité de la loi, c'est-à-dire de la nécessité». Il va ainsi, toute sa vie, critiquer et attaquer l'autorité sous toutes ses formes