Anastasie De Restaud

ont appris que ses filles sont comtesse et baronne. La même année, Eugène de Rastignac l'a surpris en train de compresser des couverts en vermeil, pour les vendre à un orfèvre. Il acquitte avec le produit de la vente un billet à ordre pour Anastasie de Restaud. Rastignac se rapproche du père Goriot en qui il voit la figure du père éternel et joue l'intermédiaire entre lui et ses filles. Rastignac s'éprend de Delphine de Nuncingen, qui le choisit comme amant, mi par affection, mi par intérêt, le jeune

Beauséant.Anastasie de Restaud est la fille aînée de Goriot et la sœur de à Delphine. Elle est mariée au Comte de Restaud.Delphine de Nucingen est la fille cadette de Goriot et de la femme d’un riche banquier allemand nommé Baron de Nucingen.Le Comte de Restaud est l’époux d’Anastasie et le beau-fils de Goriot.Le Baron de Nucingen est le mari de Delphine et le beau-fils de Goriot.Maxime de Trailles est un jeune riche aristocrate français qui a une relation adultère avec Anastasie de Restaud.Le Marquis

celui de Mme de Bauséant). L'essentiel s'est d'avoir des relations mais surtout de la naissance: Rastignac est un jeune noble mais il est pauvre et devra compter sur sa cousine, Mme de Bauséant. L'une des filles de Goriot, Anastasie, est mariée à un aristocrate, le Comte de Restaud, les salons lui sont ouverts, l'autre soeur, Delphine, est mariée à un riche banquier, c'est un Baron allemand, de Nucingen et malgré sa richesse, elle ne peut pas fréquenter les mêmes salons que sa soeur. Cela entraîne une

femme abandonnée. Résumé du livre[pic] Au début de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : Eugène de Rastignac, - le père Goriot, qui a deux filles Delphine et Anastasie. Vautrin, ancien forçat connu aussi sous le surnom « Trompe-la-mort» ou le nom: Jacques Collin. Mne de Bauséant, cousine d’Eugène. ____________________________________________________________ _____ Cette histoire se déroule dans une

Nucingen dans La préface du Père Goriot où elle est considérée comme responsable de la mort de son père, donc femme criminelle. L'Interdiction Ferragus César Birotteau L'Envers de l'histoire contemporaine Splendeurs et misères des courtisanes Anastasie de Restaud Elle apparaît pour la première fois en 1816 : dans Gobseck, écrit en 1830. L'usurier se présente à son domicile, rue du Helder pour que soit honorée une dette de mille francs. Elle lui vend un diamant de douze cent francs pour honorer la lettre

Goriot » pitoyable rentier de soixante neuf ans. Il a fait sa fortune pendant la Révolution. C'est un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d'Italie et d'amidon. Goriot fait des sacrifices pendant toute sa vie pour faire le bonheur de ses filles Anastasie (ainée) et Delphine (cadette) en leur consacrant tout son argent. Il finit par mourir sans un seul sou. * Delphine Goriot : Fille cadette du père Goriot, femme du baron de Frédéric Nucingen, qu'elle a épousé en 1808. Ce riche banquier ne lui

Beauséant, qui peut le faire entrer dans la haute société, lui livre le secret du père Goriot. Le bonhomme a pour filles deux des femmes les plus brillantes de la société parisienne, richement mariées et mêlées à des intrigues de toute sorte : Anastasie, comtesse de Restaud ; Delphine, baronne de Nucingen. Leur père, veuf de bonne heure, leur a voué un amour exclusif, aveugle, est animé à leur égard d’une passion paternelle exagérée ; « martyr de la paternité », il s’est dépouillé peu à peu de ses biens en

il fait sa propre fille la victime. Le père Taillefer à la différence du père Goriot distingue ces enfants dans son amour. Il préfère son fils à qui il donne tout, il rejette sa fille qu’il prive de tout. A l’inverse Goriot ne distinguera jamais Anastasie et Delphine, et se laissera plumer par les deux. Ce père, nous dit Balzac « croyait avoir des raisons pour ne pas la reconnaître », la forme même de la phrase semble suggérer que ces raisons ne sont pas réelles. La mère ne serait pas fautive mais

C’est un jeune homme pauvre qui vient d’Angoulême et veut s’imposer dans la haute société parisienne. Deux obstacles vont se dresser sur sa route ; sa pauvreté et son ignorance de la haute société parisienne. La visite de Rastignac à la comtesse de Restaud illustre ses deux faiblesses. Son ignorance est démontrée par trois éléments : il ignore tout des habitudes de la Comtesse et de sa vie privée quand reçoit-elle, qui reçoit-elle et quel est son lien avec le Père Goriot. il ignore l’importance

Beauséant, qui peut le faire entrer dans la haute société, lui livre le secret du père Goriot. Le bonhomme a pour filles deux des femmes les plus brillantes de la société parisienne, richement mariées et mêlées à des intrigues de toute sorte : Anastasie, comtesse de Restaud ; Delphine, baronne de Nucingen. Leur père, veuf de bonne heure, leur a voué un amour exclusif, aveugle, est animé à leur égard d’une passion paternelle exagérée ; « martyr de la paternité », il s’est dépouillé peu à peu de ses biens en