Anastasie De Restaud

mulţimea zeităţilor pariziene care se îmbulzeau la | | |această petrecere pe una dintre acele femei care vrăjesc dintru început pe orice tînăr. Despre | | |contesa Anastasie de Restaud, înaltă şi bine împlinită, se spunea că avea o statură cum puţine se | | |aflau în tot Parisul, închipuiţi-vă o femeie cu ochi mari, întunecaţi, cu o mînă minunată, cu un | |

ce qu’ils pensent, c’est le modèle même de la passion. Un de ses rôles du personnage est sans nul doute d’introduire ses filles dans le roman, on les découvre grâce à lui et il fait une sorte de lien entre le jeune Rastignac et ses deux filles Anastasie et Delphine : c’est un personnage principal qui introduit d’autres personnages essentiels de l’œuvre. Dans ce sens il permet à Rastignac d’étendre sa sphère de connaissances. La première de ses filles est Delphine de Nucingen, cadette du père

mal qu'elles lui faisaient. Quand ses filles furent en âge d'être mariées, elles purent choisir leurs maris suivant leurs goûts: chacune d'elles devait avoir en dot la moitié de la fortune de son père. Courtisée pour sa beauté par le comte de Restaud, Anastasie avait des penchants aristocratiques qui la portèrent à quitter la maison paternelle pour s'élancer dans les hautes sphères sociales. Delphine aimait l'argent: elle épousa Nucingen, banquier d'origine allemande qui devint baron du Saint-Empire

Beauséant, qui peut le faire entrer dans la haute société, lui livre le secret du père Goriot. Le bonhomme a pour filles deux des femmes les plus brillantes de la société parisienne, richement mariées et mêlées à des intrigues de toute sorte : Anastasie, comtesse de Restaud ; Delphine, baronne de Nucingen. Leur père, veuf de bonne heure, leur a voué un amour exclusif, aveugle, est animé à leur égard d’une passion paternelle exagérée ; « martyr de la paternité », il s’est dépouillé peu à peu de ses biens en

ayant à peine échangé quelques paroles avec la vicomtesse, Eugène s'était contenté de distinguer, parmi la foule des déités parisiennes qui se pressaient dans ce raoût, une de ces femmes que doit adorer tout d'abord un jeune homme. La comtesse Anastasie de Restaud, grande et bien faite, passait pour avoir l'une des plus jolies tailles de Paris. Figurez-vous de grands yeux noirs, une main magnifique, un pied bien découpé, du feu dans les mouvements, une femme que le marquis de Ronquerolles nommait un

millionnaire? mais il le faut, ses filles l'exigent; et le père Goriot vend son fonds de vermicellier. Une fois retiré, ce n'est plus qu'un ancien négociant, avec un capital de deux millions. Delphine et Anastasie peuvent choisir un mari; l'une épouse un baron de Mecingen, et l'autre devient comtesse de Restaud. Avant d'arriver là, il a bien fallu faire des sacrifices d'argent. De son immense fortune, il ne s'est réservé que dix mille francs de rente : mais que lui importe, pourvu que ses deux filles soient

Ligne 476 à 513 Introduction : Comme lui a conseillé sa cousine, Mme de Bauséant, Rastignac a fait son entrée dans le monde. Ils rencontrent les deux filles de Monsieur Goriot : la baronne de Nucingen et la comtesse de Restaud. Il est confronté à un problème : il manque d’argent. Il décide donc d’envoyer une lettre à ses sœurs (et sa mère) pour leur demander de l’argent. Dans ce passage, nous allons voir que Vautrin propose un marché à Rastignac : tuer le frère de Victorine

certains de s’enrichir, comme c’est le cas pour la noblesse d’Empire, qui, une fois la monarchie remise au pouvoir lors de la Restauration, ne veut pas partir, ce qui provoque certains troubles. Les filles du père Goriot ont épousé un noble, pour Anastasie de Restaud, et un riche banquier, pour Delphine de Nucingen. C’est aussi une époque où l’ascension sociale est plus facile, où les jeunes bourgeois font des études et trouvent des places importantes. C’est le cas pour Eugène de Rastignac qui, issu de

veuve Vauquer. Le Père Goriot est un roman sur l’amour paternel. Il raconte l’histoire d’un homme, un ancien fabriquant de vermicelles retiré des affaires, qui aimait passionnément ses filles jusqu’à se ruiner pour elles. Mais ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen,se montrent ingrates. Elles mènent une vie de luxe avec leurs maris aristocrates, mais elles ont honte de la façon dont s’est enrichi leur père. Cependant, les deux filles acceptent son soutien financier quand elles

de Mme de B (faubourg saint germain, aristocratie) où il découvre la haute société Parisienne. Il rencontre Anastasie de Restaud (chaussé d'Antin, richesse) Lorsqu'il rentre la nuit il voit le PG tordre son service de vermeil, Vautrin qui rentre la nuit. Il sait que c'est Goriot qui a payé les dettes de Mme de Restaud et voit Paris comme un « bourbier ». Le lendemain, il va chez Restaud où il est très mal reçu et gène l'amant Maxime. Il se fait exclure car il dit qu'il vit avec Goriot. La même