Anastasie De Restaud

Victorine Taillefer,une orpheline et Eugène de Rastignac, un étudiant. C'est Rastignac qui perce le mystère du père Goriot grâce à sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l'initie aux mystères du grand monde. Goriot s'est ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. Mais celles-ci le tiennent à l'écart : elles ont honte de leur père, enrichi sous la révolution dans la fabrication des pâtes alimentaires. Vautrin révèle cyniquement à Rastignac les rouages de la société et les moyens

riche maîtresse. * Vautrin alias Jacques Collin alias Trompe-la-Mort : Ancien forçat très épris de revanche sociale. Il a l’art dutransformisme et sait plier les faibles à sa volonté. Il est dénoncé et envoyé en prison. * La comtesse Anastasie de Restaud : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est lamaîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. * La baronne Delphine de Nucingen : Fille

droit à Paris mais doit pour cela habiter dans la sinistre pension Vauquier. Il y rencontre l'énigmatique et ancien forçat Vautrin, la jeune orpheline Victorine Taillefer, mais surtout Goriot. Celui-ci s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen qui le tiennent à l’écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès de leurs maris aristocrates, mais elles ont honte de la façon dont s’est enrichi leur père. Elles ne rechignent toutefois pas à accepter ses aides

nouveaux riches ». C'est le Quartier de la nouvelle bourgeoisie avec l'hôtel de Restaud, la maison de Nucingen, et enfin la garçonnière d’Eugène. Au centre, c’est le quartier des Halles, celui des affaires, où résidait Goriot. Faubourg Saint-Germain : L’aristocratie. 5) (Jean-Joachim) Le père Goriot (Eugène de) Rastignac Vautrin (JacquesCollin) Delphine de nucingen Anastasie de Restaud Portrait physique 70 ans Vers 62 ans : gros et gras, frais  un ventre bien

fortune. Il épouse la fille d'un paysan de la Brie (région) dont il a deux filles : Delphine, et Anastasie . Ce titre renvoie a la paternité qui est devenu obsessionnel pour Goriot. IV- Résumé de l’œuvre : Par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l’initie aux mystères du grand monde, Rastignac perce le secret de Jean-Joachim Goriot: il s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen qui le tiennent à l’écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès

des gens de la haute société parisienne. Pour un tel sacrifice, il menait une vie en perpétuelle dégradation au sein de la pension de la maison Vauquer. Mais ses efforts n’étaient pas vains puisque le Père Goriot arrivait à marier Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen. Eugene de Rastignac, venant de Charente pour Paris en quête de connaissance et d’argent, parvenait à se faire inviter au bal donnée par Mme de Beauséant, une femme importante à Paris et à cette occasion

conseiller des hauts membres de la société des 10 000 voleurs. Il « encaisse les valeurs considérables en recelant les sommes possédées par quelques uns de ses camarades » p.185. Il se plait à dire être un « Don Quichotte ». La comtesse Anastasie de Restaud : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie des dettes avec ses économies et l’argent de son père. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur

épouse. L'étudiant devine la tristesse de Goriot et comprend que les pensionnaires se trompent à son sujet. Eugène veux vérifier si ces fameuses jeunes filles qui viennent à la pension sont bien les filles de Goriot. Lorsqu’il évoque chez Mme de Restaud le nom ’’ père Goriot ‘’ (page 94), il s'aperçoit de suite que sa remarque ne lui apportera pas sa compagnie . Une explication lui est

est donc elle aussi très intéressante, pleine de péripéties, et nous transporte de la pauvre pension Vauquer aux bals du beau monde, d e l’aventureux Rastignac au terrible Vautrin, du pitoyable et sublime père Goriot à la superbe et ingrate Anastasie de Restaud, de la misère au luxe... J’ai aimé Le Père Goriot, et notamment son intrigue. En effet, même si "l’aventure" n’apparaît pas immédiatement dans le texte, elle devient vite prenante, passionnante, grâce au père Goriot, "Christ de la paternité"

facteur important qui représente les liens entre Goriot et Rastignac sont les filles du vieux, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. D’ailleurs, le premier vrai contact entre nos deux héros est dû aux filles du Père Goriot : « Vous avez donc vu ma fille ? lui dit Goriot d’une voix émue. » Balzac Honoré de, Le Père Goriot, Paris, éditions Gallimard, 1971, p.121. En parlant d’Anastasie de Restaud. Mais leur lien se resserre encore plus avec son autre fille : « Mon voisin, dit-il, j’ai vu madame