Andromaque Acte 5 Scene 4

de laisser échapper des interrogations où se conjuguent valeur pragmatique et valeur rhétorique : CLYTEMNESTRE Les Dieux ordonneraient-ils un meurtre abominable ? IPHIGENIE Ciel ! pour tant de rigueur de quoi suis-je coupable ? (III, 5, v. 921-922) Bien que ces interrogations constituent des répliques isolées, elles relèvent d’un dispositif général qui leur vaut le statut de figure macrostructurale. Chacune a pour fonction de souligner le caractère inacceptable de l’oracle, et

Courneuve Claudine Poulet Professeure agrégée de Lettres classiques Lycée Jean Bodin, Les Ponts-de-Cé Sommaire Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours 1 2 3 4 5 6 7 Le narrateur et le personnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 L’identité du personnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 La parole . . .

lyonnaise. Rabelais. (p.2) 2.La Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p

Texte 1 : Les liaisons dangereuses, lettre 4 Du Vicomte de Valmont à la Marquise de Merteuil à Paris ___Vos ordres sont charmants ; votre façon de les donner est plus aimable encore ; vous feriez chérir le despotisme. Ce n'est pas la première fois, comme vous savez, que je regrette de ne plus être votre esclave ; et tout monstre que vous dites que je suis, je ne me rappelle jamais sans plaisir le temps où vous m'honoriez de noms plus doux. Souvent même je désire de les mériter de nouveau, et

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

parler de vous ; il faut qu'elle soit bien violente, puisque je n'ai pu y résister dans une lettre où je n'avais autre dessein que de vous témoigner avec combien de respect je suis, MONSEIGNEUR, Votre très humble et très obéissant serviteur, RACINE. - 4 -PREMIÈRE PRÉFACE (édition 1670) De tous les ouvrages que j'ai donnés au public, il n'y en a point qui m'ait attiré plus d'applaudissements ni plus de censeurs que celui-ci. Quelque soin que j'ai pris pour travailler cette tragédie, il semble qu'autant

la passion qu'il ressent malgré lui pour Aricie, qui est la fille et la soeur des ennemis mortels de son père. Cette Aricie n'est point un personnage de mon invention. Virgile dit qu'Hippolyte l'épousa, et en eut un fils, après qu'Esculape l'eut - 4 -ressuscité. Et j'ai lu encore dans quelques auteurs qu'Hippolyte avait épousé et emmené en Italie une jeune Athénienne de grande naissance, qui s'appelait Aricie, et qui avait donné son nom à une petite ville d'Italie. Je rapporte ces autorités, parce

Analyse d'une image du film de Méliès, Voyage dans la lune. Méliès, Voyage dans la lune © MELIES/ Album / akg – images. Analyse d'un tableau de Gauguin, « Fatata te miti » Molière, Dom Juan, 1665 ACTE III Scène première Dom Juan, en habit de campagne, Sganarelle, en médecin. Sganarelle, en médecin. Ma foi, Monsieur, avouez que j’ai eu raison, et que nous voilà l’un et l’autre déguisés à merveille. Votre premier dessein n’était point du tout à propos, et ceci nous cache bien mieux que

2 H. BISMUTH — Littérature française. Le texte de théâtre TABLE DES MATIÈRES   AVANT  TOUTE  CHOSE…  .....................................................................................................................................  5   BIBLIOGRAPHIE  :  QUELQUES  ŒUVRES  ........................................................................................................  6   SUJET  D’ENTRAINEMENT  (ESSAI  OU  DISSERTATION)  ...........................