Andromaque Ironie Tragique

regard du personnage → effet de réel | 6) Registre littéraire Registres | Procédés ou formes | Lexiques | Objectifs + exemples | tragique | -Niveau de langue soutenue -ponctuation expressive - invocation (Ô) | -Douleur, tristesse -idée de fatalité, de destin, impuissance | -susciter la compassion, la pitié -Andromaque, Racine | Lyrique (la lyre d’Orphée) | -Importance du « je » - invocation (Ô) -anaphore -musicalité -sensations | - voc des sentiments,

comédiennes comme la du Parc qui interprètent ses héroïnes tragiques (cf. le film Marquise avec Sophie Marceau). (p.38) 7Néron dans Britannicus a suivi les conseils de Narcisse et fait empoisonner Britannicus au cours d’un banquet. (p.39) 8Argument d’Horace de Corneille : lors de la guerre opposant Rome à Albe, une cité rivale, un combat est organisé entre trois frères romains, les Horaces, contre trois Albains, les frères Curiaces. Ironie du sort, les deux familles sont liées, puisque l’un des

mots,calembour, répétitions, etc.) Tout ce qu'il raconte est en comiques de mots "Chien de chrétien" l.21 fait allusion aux rois mahométans, critique de ses contemporains "Journal inutile" l.38 fait une critique de la société de son époque avec ironie. "La sublime-porte, la Perse, une partie de la presqu'île de l'Inde, toute l'Égypte, les royaume de Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc" l.18/19 cette énumération de villes hyperbolique s'arrête plus. "Ma retraite économique" euphémisme

et des êtres  les déguisements, les masques et les miroirs, les jeux sur l’identité les incertitudes du bonheur toujours menacé D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688) LES LUMIÈRES Env. 1715- 1789 Les écrivains des Lumières s’engagent afin de répandre

philosophique, le roman  l’analyse des formes du fanatisme et de la superstition  le regard critique porté sur les préjugés, les coutumes et les mœurs.  l’idéal de tolérance et de reconnaissance des autres.  la quête du bonheur. - dialogue argumentatif -ironie, implication du lecteur - éloquence Env. 1660-1690 En réaction contre l’exubérance du Baroque, le classicisme cherche à créer des Principes modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction claires et rigoureuses. Il revendique

Auteurs : D’Urfé (L’Astrée, 1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) Corneille (L’Illusion Comique, 1636)  Viau (Œuvres poétiques, 1621) Le Classicisme(1660-1690) :

techniques • défendre les valeurs de liberté et d’égalité. D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Montesquieu (Lettres persanes, 1721), Voltaire (Candide,1759), Rousseau (Du contrat social,1762) Diderot (Encyclopédie,1751-1772) Beaumarchais… Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688) L’essai

reine de Babylone avec qui il coulera des jours heureux, tout ça sans jamais se départir de sa générosité et de sa bonté… On ne badine pas avec l’amour Musset Acte I deux amis d'enfance se retrouvent. Un chœur alterné de paysans accueille avec ironie le bedonnant précepteur Blazius et l'osseuse dame Pluche, qui annonce la prochaine arrivée au château de Perdican, fils du baron, et de Camille, sa nièce. Le baron révèle à Blazius et à Bridaine le curé du village, son projet de marier les jeunes

d’abord que De Gaulle décrit le chaos dans lequel se trouve la France de 40 pour justifier ensuite son appel à la résistance. Lecture du texte 1) Le chaos de la France de 40 : La France de 40 est dans une situation tragique. De Gaulle pour décrire cette situation tragique ne cherche pas à s’apitoyer (pas de mots exprimant le sentiment). Il ne cherche pas à persuader mais il va chercher à convaincre. Pour ce faire, il va utiliser le ton de la neutralité : -des paragraphes qui s’ajoutent

-C., mort en Macédoine en 406 av. J.-C., est un poète tragique grec.  Né dans une famille modeste, il reçut cependant une éducation soignée : il aurait étudié la peinture, et les leçons du philosophe Anaxagore et des sophistes, comme Protagoras et Prodicos, sont sensibles dans son œuvre. À la différence d'Eschyle et de Sophocle, il n'eut pas d'activité politique et fut essentiellement un écrivain. En 455, il présenta au concours tragique sa première pièce, les Péliades, et obtint le troisième