Andromaque Racine Unité De Temps

UNITE DE METHODOLOGIE DU TRAVAIL UNIVERSITAIRE DEUG 1 LETTRES Noms et coordonnées : DE OCHANDIANO Elisabeth MERLIN, Florence BODEAU, Jean-Luc 29, boulevard Gergovia 63037 CLERMONT-FERRAND Cedex1 E-mail : Elisabeth.MERLIN@lettres.univ-bpclermont.fr Florence.BODEAU@univ-bpclermont.fr, J-Luc.DE_OCHANDIANO@univbpclermont.fr Adresse postale : Bibliographie conseillée : Recherche documentaire BATIFOULIER, Christian ; DUPASQUlER, Marie-Hélène.- Organiser sa documentation et savoir consulter

fait une place toute particulière au lyrisme et à l'effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie :les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l'amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique avec Nerval, Nodier ou Aloysius Bertrand. Poésie de la sensibilité et d'une certaine

mélodie, jette dans de longues extases. » Réponses aux questions Observation 1. La question invite à un exercice de reformulation qui permettra de vérifier la compréhension du texte. Elle permet aussi de souligner l’unité de chaque strophe : unité syntaxique, unité thématique. a. Si vous ne vous décidez pas à m’aimer, je me déciderai à ne plus vous aimer. b. Il ne suffit pas d’avoir de beaux yeux, il faut aimer. c. Vous trouvez toujours des prétextes pour vous esquiver. d. Vous trahissez votre promesse

« Les fenêtres » dans Spleen de Paris). - Il est assimilé par métaphore à un ciel livide où germe l’ouragan, image classique chez Baudelaire (cf. Invitation au voyage). Le mot livide évoque la couleur plombée, bleuâtre du ciel d’orage, en même temps que celle des yeux. - L’ouragan en germe suggère toutes les passions contenues. - Cet œil frappe également par tout ce qu’on peut y lire de douceur et de plaisir. (Images de la femme sœur /mère et de la femme sensuelle). c) les réactions du poète

il n’y a que des tracés noirs sur le papier. ( J.P. Sartre, 1948, p.52) Pour qu’il y ait littérature, il faut qu’il y ait activité qui met en adéquation dynamique le processus de lecture. Les livres ne vivent que le temps où ils sont parcourus par des lecteurs. Cela suppose, également, la participation active des auteurs qui créent et produisent des œuvres littéraires et artistiques au profit d’un public intéressé. C’est ainsi qu’émerge et se développe le « fait de

comédie au drame. Mais cette pièce est avant tout une féerie, une sorte de conte, qui laisse la liberté au metteur en scène d ’ a b a t t r e l e 4 e m u r. L e spectateur est emmené tour à tour du rêve à la réalité, grâce à la machine à explorer le temps du magicien Alcandre. Car si même les comédiens du Varia jouent à jouer, ils doivent cependant le faire avec vérité afin de créer l’illusion. «Mon lien avec la pièce est incontestablement les thèmes de l’illusion et de la magie développés dans la

dans l'art. Objet de peur et de fantasme, instrument d'honneur et de destruction, elle a nourri les représentations artistiques depuis les temps antiques. Elle a été glorifiée à travers l'histoire de combattants illustres, comme les héros de la guerre de Troie, ou encore dans la célèbre Chanson de Roland, qui narrait la mort du neveu de Charlemagne. Au temps des guerres napoléoniennes, si la plume engagée de certains auteurs s'acharnait contre l'empereur, des tableaux tels que celui de David faisaient

sacrifice de sa vie au désir de vengeance de Chimène (v. 17-28) lui permettraient de « laver » enfin son crime. Chimène refuse implicitement cette issue et s’en remet au roi auquel elle expose son dilemme persistant, dans une argumentation en deux temps (v. 29 à 40). Dans une concession initiale, elle reconnaît ses sentiments amoureux et la valeur de Rodrigue, à l’aide de la litote du v. 31 : « Rodrigue a des vertus que je ne puis haïr ». Cette concession est renforcée par une maxime rappelant le

publication de ses œuvres sous le titre, de La Comédie humaine, H. de Balzac expose le plan de son œuvre et analyse l’influence de la pensée scientifique sur son projet romanesque. ᕥ Émile Zola loue la « vérité » du tableau de Caillebotte, Rue de Paris, temps de pluie. ᕦ Peu après les journées révolutionnaires connues sous le nom de « Trois Glorieuses », Victor Hugo publie Notre-Dame de Paris, roman historique et romantique. ᕧ L’enterrement à Ornans de Courbet fait scandale auprès de la critique. ᕨ

c’est cela très précisément : l’imbrication d’une fiction (le plus souvent inscrite dans un texte, mais ce peut être une construction gestuelle -danse, mime - voire une construction plastique plus ou moins "figurative" - performances-) dans un espace-temps réel délimité par la mise face à face, ici et maintenant, d’un regardant et d’un regardé. (D’après Josette Féval, Poétique N°75, p.358 . Septembre 1988) Dès l’origine aussi, avant d'être une distraction, et un "genre littéraire", le théâtre est une