André Platard

adresse des poèmes à Linda Molina Da Silva, sa première bien-aimée. En 1902, il se fait engagé par Madame de Milhau comme précepteur pour sa fille, il tombera amoureux de Annie Playden, la gouvernant anglaise. Le 18 avril, il rencontre Alfred Jarry et André Salmon pour publiée sa propre revue Le Festin d’Ésope. En 1905, en se baladant sur les bords de Paris, il fait la connaissance de Derain, un peintre et sculpteur français qui illustrera ses poèmes. Il finira son texte La Chanson du mal aimé en novembre

de Bourgogne et c'est donc de là que vient son nom, même si pendant un temps elle fut appelée Porte Napoléon pour marquer la venue de l'empereur dans la ville de Bordeaux en 1808. Nous devons son architecture classique et moderne aux architectes André Portier et Ange-Jacques Gabriel. De chaque côté, on distingue deux colonnes en relief sur un fond balayé qui supportent une architrave : son architecture s'approche beaucoup de celle de la porte d'Aquitaine -située place de la Victoire. Avant, elle

Très tôt le cinéma a fasciné André Breton et ses amis. Si la musique a toujours laissé indifférents les membres du groupe surréaliste, si la peinture s’est imposée presque tardivement, le cinéma s’est trouvé, avant même que le groupe ne soit constitué, l’objet d’un culte fervent. Le dandysme de l’anti-culture Par sa violence, Fantômas (1913-1914), le film à épisodes de Louis Feuillade avait enthousiasmé les poètes et les peintres: Max Jacob, Picasso, André Breton, Aragon et Apollinaire, pour

Balzac (1799-18S0), Le Lys dans la vallée, chapitre 1, (1835). Texte B - Emile Zola (1840-1902), Germinal, première partie, chapitre VI, (1885). Texte C - Louis Pergaud (1882-1915), La Guerre des boutons, livre premier, chapitre 1 (1912). Texte D - André Malraux (1901-1976), La Condition humaine, troisième partie (1933). Texte A - Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée, chapitre 1, (1835). [Le narrateur est un jeune homme, Félix de Vandenesse.] Pour aller au chateau de Frapesle, les gens à pied

n'entrevoit de la réalité que son mystère, si l'on sort de notre habituelle et routinière logique. Ses œuvres jouent souvent sur le décalage entre un objet et sa représentation  Il s'installe ensuite en banlieue parisienne où il fréquente André Breton, Paul Eluard et le groupe surréaliste parisien avec lequel il participe au dernier numéro de La Révolution surréaliste 1929 avec un texte majeur : Les Mots et les images.  En 1953, il obtient de Gustave Nellens la commande d'une décoration

La société du XXe siècle est libérée de toutes obligations de pensées. Cependant les interrogations sur Dieu ou les différents concepts existants n’ont jamais été aussi hétéroclites et omniprésents. Quelle place occupe donc la religion dans l’humanité ? Nous étudierons, dans un premier temps, la relation de l’Homme avec son idéal, dans un second, les sanctions qui en découlent et enfin le point de vu psychologique de l’aliénation qui suit. L’Homme suit un transfert de sa vie par la foi. En

poèmes dans des revues. En 1907, il rencontra l'artiste peintre Marie Laurencin, avec qui il entretint une relation chaotique et orageuse. À cette même époque, il commença de vivre de sa plume. Il se lia d'amitié avec Pablo Picasso, Paul Gordeaux, André Derain, Edmond-Marie Poullain, Maurice de Vlaminck et le Douanier Rousseau, se fit un nom de poète et de journaliste4, de conférencier et de critique d'art. En septembre 1911, accusé de complicité de vol parce qu'une de ses relations avait dérobé des

artistique dont André Breton est le principal théoricien. Le premier 'Manifeste' date de 1924, le second de 1930 ; ils posent les bases et fondements du surréalisme tel que l'ont voulu ses premiers adeptes. Le surréalisme pourrait aussi être un supranaturalisme. Il vient des rêves, de tout ce qui est refouler, des envies, des pulsions,… tout ce qui est à l’intérieur de nous, mais qui n’en sort pas. Ceux sont nos pensées qui ne sont pas freinées par notre raison, des pensées sans réfléchir. André BRETON

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Textes du corpus : A – Guy de Maupassant, Une vie, chap. XIV, 1883. B – Émile Zola, Germinal, septième partie, chap. VI, 1885. C – Jean Giono, Regain, deuxième partie, 1930. D – André Malraux, La Condition humaine, septième partie, 1933. E – Albert Camus, La Peste, cinquième partie, chap. 5, 1947. Quelle conception de la vie chacune de ces fins de roman vous paraît-elle transmettre ? Quels rapprochements peut-on faire entre ces textes ? - Bien que le corpus rassemble des fins de romans de romanciers