Anecdote

sur une anecdote rapportée par la narratrice : sa rencontre avec un homme dans un lieu public. Dans un entretien, elle révèle qu’il s’agit du frère de Prévert rencontré dans le hall de la Maison de la radio, à Paris. Or, l’épisode n’a rien d’anecdotique, puisque cet homme lui donne une révélation non seulement sur son visage mais aussi sur sa vie. Une rencontre sous le signe de l’émerveillement Les éléments propres à la rencontre amoureuse sont contenus en condensé dans cette anecdote. Un homme

trente-trois années et pour qui il éprouve encore certainement encore des sentiments. Analyse de l'oeuvre : S'agissant d'une autobiographie, le récit nous est conté directement par Barney. Avec ses souvenirs nombreux, ces anecdotes ramenant à d'autres anecdotes et ses pertes de mémoire, le récit se fait parfois chaotique, difficile à suivre. On aborde effectivement un tas de sujets polémiques, traités avec la plus parfaite mauvaise foi, et toujours l'ironie sous-jacente. Alors on y va pour

du regard, ce texte propose une réflexion philosophique. Conclusion :Montesquieu, à travers le personnage du Persan, met en valeur le genre épistolaire, souligne l'importance du thème du regard et présente avec vivacité, humour et ironie une anecdote légère qui nous invite à des réflexions profondes. Il nous révèle le rôle de l'étonnement et nous invite à une comparaison implicite entre le Parisien et le Persan au bénéfice de ce dernier et nous amène ainsi à entrer dans la notion de relativité

AILLEURS (Henri Michaux) Voyages en Grandes Garabagne Au pays de la Magie Ici, Poddema Introduction ou Anecdote :      Voyage en Grande Garabagne (1936) et Au pays de la magie (1941) appartiennent tous les deux à un recueil de poésie nommé « Ailleurs » qui a été publié en 1948. Dans ce recueil, Poddema (1946) est, ici, le troisième et le dernier volet. Dans ce livre, Il s’agit de carnets de voyages fictifs qui décrivent des peuples, des animaux et des plantes imaginaires. I/ Voyage

soigne pour un démon. A cet épisode répondent immédiatement, au chapitre 54, 2 brèves anecdotes qui sont directement en lien avec la folie du page évoquée précédemment, puisqu'elles évoquent elles-mêmes l'histoire de deux malades frénétiques. La première anecdote met en scène un seigneur qui confond un bouchon et un chapon, tout comme le page avait confondu le chirurgien avec un démon. Dans la 2nde anecdote, le malade tue un religieux qui veut le guérir, tout comme le page s'était montré agressif

soutien. BENOIT et moi, nous sommes très heureux de la participation très active de nos parents respectifs. Ils ont su nous conseiller tout en écoutant nos souhaits. Nous les remercions chaleureusement. Je peux d'ailleurs vous raconter une petite anecdote rigolote sur la préparation du mariage. Il est parfois drôle de voir ce qui ce passe en coulisse.

derrière, venaient ombrager la fenêtre, et passaient quelquefois jusqu’en dedans. Je sais bien que le lecteur n’a pas grand besoin de savoir tout cela ; mais j’ai besoin, moi, de le lui dire. Que n’osé-je lui raconter de même toutes les petites anecdotes de cet heureux âge, qui me font encore tressaillir d’aise quand je me les rappelle. Cinq ou six surtout… composons. Je vous fais grâce des cinq, mais j’en veux une seule ; pourvu qu’on me la laisse conter le plus longuement qu’il me sera possible

comique : amuser, susciter ainsi l’intérêt du destinataire mieux disposé à comprendre une thèse. Les procédés privilégiés sont : le recours aux jeux de mots, à l’art du double sens, du sous-entendu, le développement d’une connivence avec le lecteur, anecdotes, familiarités, l’usage de caricatures, pastiches, parodies, la volonté de surprendre (ruptures). Le registre laudatif : faire l’éloge de quelqu’un ou d’une thèse. Les procédés privilégiés sont : lexique mélioratif, hyperboles, phrases amples (périodes)

| | | |Ses œuvres/courant |Identité : |Citations / anecdotes | |artistique-littéraire-scientifique | | | | |Nom : Hugo

les Sumériens, ensuite ce sont les Egyptiens qui l'utilisèrent et la baptisèrent la "Plante de l'immortalité", puis ce fût le tour des Chinois d'expérimenter l'aloe vera, et après les Juifs, les Grecs, les Romains et les Indiens d'Amérique. Petite anecdote : Alexandre conquit l'île de Socotra non pas par stratégie, mais pour pouvoir distribuer assez de feuilles d'aloe vera à ses armées. L'aloe vera et la médecine : En 1851, Smith et Stenhouse identifièrent un principe actif, l'aloïne, c'est