Ange

Tu ne sais pas, mon Adèle, à quel point tu fais partie de mon existence, tu ne le sais pas assez, vois-tu, tu doutes souvent de moi, et tu as bien tort. Je suis capable de tout, excepté de cesser de t’aimer. Comment ne t’aimerais-je pas, mon pauvre ange, toi qui es si bonne, si douce, si excellente pour moi, si gracieuse et si belle ! Tu sais que je pense tout cela de toi depuis que j’ai l’âge de penser à quelque chose. Tu sais combien est profonde l’union intime de nos âmes depuis dix ans, depuis

inférieur droite et gauche la résurrection des corps qui est montrer par des morts ressuscités qui sortent des tombes, nous voyons 4 anges qui joue de la trompette ,-8 Diapo- :Au milieu Saint Michel qui pèse les âmes avec sa balance qu'un diable et un ange cherche à déséquilibrer de son côté représentant les bonnes et mauvaises action dans la balance la plus lourde une Tête d'agneau et dans l'autre une tête de diable. Le plateau le plus lourd soit celui de l'agneau indique qu'à la fin de tout, le bien

scène représente la pesée d’une âme par un ange face au diable qui semble tricher. Au niveau le plus bas, de gauche à droite sous des arcades, Marie et Marie de Magdala(les porteuses de bonnes nouvelles), puis les femmes Myrrhophores, sous la troisième arcade Zacharie et Melchisédech, sous la quatrième : Abraham et ses deux fils Isaac et Jacob, sous la cinquième : Moise et Aaron, sous la dernière arcade Jérémie et Ezéchiel. A coté une porte ouverte avec un ange et des hommes semblant vouloir entrer :

deux vastes flambeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Bodelaire, Les fleurs du mal, 1857. La mort des Pauvres       C'est la Mort qui console, hélas! et qui fait vivre; C'est le but de

couronné d'épine ; Son luth à terre était gisant, Sa pourpre de couleur de sang, Et son glaive dans sa poitrine. Je m'en suis si bien souvenu, Que je l'ai toujours reconnu A tous les instants de ma vie. C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie. Lorsque plus tard, las de souffrir, Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu m'exiler de France ; Lorsqu'impatient de marcher, J'ai voulu partir, et chercher Les vestiges d'une espérance ; A

3 anges lui sont envoyés du ciel. Un pour la soutenir. Un pour la rendre tres belle. Un troisième pour le charvit- le sceau – qu’il tendait à ses interlocuteurs . Le sceau avait 2 amot (1 metre) de long mais elle etait loin de lui -–le troisième ange allonge le charvit jusqu'à 6 amot . Le roi apprend de la bouche d’Ester qu’elle est juive et alors que les astrologues lui avaient prévu que ce serait un juif qui regnerait apres lui (Darius). Yavo Hamelekh Vehaman Hayom Aman est invité au banquet

sombre détresse Et leur versait parfois quelque sale caresse. 6 CXVI - Un Voyage à Cythère Mon coeur, comme un oiseau, voltigeait tout joyeux Et planait librement à l’entour des cordages ; Le navire roulait sous un ciel sans nuages ; Comme un ange enivré d’un soleil radieux. Quelle est cette île triste et noire ? C’est Cythère, Nous dit-on, un pays fameux dans les chansons Eldorado banal de tous les vieux garçons. Regardez, après tout, c’est une pauvre terre. Ile des doux secrets et des fêtes

l’air épais ; D’affamés nuages hésitent sur l’abîme. * Puisqu’un nouveau ciel est commencé et qu’il y a maintenant trente-trois ans d’écoulés depuis son avènement : l’Eternel Enfer se ranime. Et voici ! Swedenborg est cet ange qui se tient assis sur la tombe : ses écrits sont ces linges pliés. C’est à présent la domination d’Edom et la rentrée d’Adam dans le Paradis — Voir Isaïe. xxxiv et xxxv. Sans contraintes il n’est pas de progrès. Attraction et Répulsion, Raison

tête Toute sonore encore de vos derniers baisers ; Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête, Et que je dorme un peu puisque vous reposez. Paul VERLAINE (1844-1896) ANALYSE : 12vers ____ : rime riche PARNASSE : Adieux à la poésie Allons, ange déchu, ferme ton aile rose ; Ôte ta robe blanche et tes beaux rayons d'or ; Il faut, du haut des cieux où tendait ton essor, Filer comme une étoile, et tomber dans la prose. Il faut que sur le sol ton pied d'oiseau se pose. Marche au lieu

intellectuelle, tenait un salon littéraire à Paris, Baudelaire étant l’un de ses visiteurs. En 1852, Baudelaire commence à lui envoyer des lettres d’amour anonymes. Il lui voue un amour, une véritable admiration spirituelle. De plus, Baidelaire voit en elle un ange désincarné et une image de la perfection; il ne voulut voir en elle que « l’ange gardien, la muse, la Madone ». Baudelaire continuait à envoyer des lettres anonymes avec des poèmes à la radieuse « Présidente » en 1853 et en 1854. Le 31 août 1857