Angoisse

développe pendant la Révolution de 1789 dont l'un des acquis a été la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Les hommes de Lettres condamnés à l'immobilisme social en viennent souvent à ressentir un sentiment de mélancolie, une profonde angoisse, sentiment baptisé "Mal du siècle". - Un malaise historique : Après la chute de Napoléon, il n'est plus possible pour les jeunes de cette époque de s'investir dans cette légende et il semble alors que la notion d'héroïsme soit désormais abolie.

pluies/ bruit La pluies=enfermement ne voit même pas ce qui se passe dehors et le voit presque pas la pluie. Souffrance=forte migraine,mal. Bruit= migraine Emploi du registre correcte. Opiniâtrement= adverbe modalisateur péjoratif. Atroce= qualifie 'angoisse et indique l’intensité de la souffrance. Pourris=péjoratif. Couvercle=terme de la banalité quotidienne. Bestiaire,étrange,effrayant= chauve souris-araignées un ennui (terme ancien) =sentiment d'enterrement pénètre et d'errance (strophes 2 et 4) de

 à  2  ans)   Point  sensible  du  stade  oral   Angoisse  du  stade  oral   Bébé  tète  à  vide   Pas  de  différenciation  pour  le  bébé  du  monde  extérieur   4 Angoisse  de  la  destruction   Sadisme   Masochisme   Ambivalence   Stade  phallique  (3  à  6  ans)   Castration   Angoisse  du  stade  anal   Plaisir  lié  à  la  destruction

lui permet de limiter ses angoisses qui l’envahissent et qu’il ne le regrette pas étant donné que sa mère part souvent pour son travail et son association et est peu présente. Lucas est bien repéré dans son environnement social et connait l’adresse de sa maison et de l’institut. Concernant son projet individuel de prise en charge à l’institut Lucas est suivi régulièrement par un psychologue et un pédopsychiatre présents dans l’institution afin de se confier sur ses angoisses, ses délires, l’origine

(228/325), angoisse (21+33+21/325) et mort (34/325). On peut rajouter que le premier mot le plus souvent évoqué est peur, il est aussi le second mot le plus fréquent. En revanche, le plus fréquent pour le troisième mot est une absence de mot mais en dehors de cela, le plus fréquent est aussi peur. Sur les 33 fois où le mot angoisse intervient en second mot, il est pour 24 fois précédé du mot peur. Dans les 50 fois où le mot peur intervient en second mot, il est pour 11 fois précédé du mot angoisse. Ainsi

ne souffre que pour l'amour, qui est fait pour abreuver les cruelles filles. Pour finir, on observe un mal métaphysique clairement exprimé dans le poème, et plus particulièrement dans les deux quatrains. De plus, si Baudelaire nous explique ces angoisses dans les deux quatrains, il nous montre aussi ces échecs pour tenter de les combattre dans les deux tercets suivants. Au dernier vers, on peut observer un problème d'identité au sujet de : « ces cruelles filles ». En effet, aucun élément du poème

visite. Notre compte-rendu sera en deux parties. Nous étudierons tout d’abord le comportement du narrateur, sa réaction face au verdict des jurés sans pitié, de ses pensées lorsqu’il est dans sa cellule en attendant le jour de sa mort et de sont angoisse qu’on pourrait presque comparer à de la folie. Enfin, notre seconde partie sera consacrée à la façon avec laquelle Victor Hugo dénonce la peine de mort dans son roman.   I) Le comportement du narrateur face à sa peine Au tout début de l’histoire

permet au lecteur de comprendre et de ressentir, même, l’angoisse qui vient avec le raccourcissement du temps d’ensoleillement au fur et à mesure qu’approche l’hiver. Pour Brault, cependant, cette angoisse est beaucoup plus lugubre, car elle véritablement liée à une peur de voir l’hiver arrivée Cette angoisse est palpable dans la plupart des poèmes du recueil et la mort semble une protection contre la dureté de l’hiver. À plusieurs reprises, le narrateur parle de la mort dans ces poèmes comme lorsqu’il

peut naître une certaine angoisse chez l’homme, devant un choix ou un acte. Mais c’est inévitable, car chaque acte est un choix et le fait de ne pas choisir est tout autant un choix. L’homme ne peut donc pas échapper à ce dilemme. Ces actes ont un poids, car ils engagent les autres hommes. 4)L'angoisse, chez les existentialistes, ne désigne pas un simple sentiment subjectif et ne se confond pas avec l'anxiété ou la peur. L'angoisse est angoisse du vide, angoisse de la liberté c'est à dire

Laurent ont tué le mari de Thérèse : Camille. Zola explique alors comment les personnages sombrent dans une sorte de folie paranoïaque. On assiste à l’évolution des sentiments des personnages, sentiment de peur et d’effroi : «  elle éprouvait des angoisses vives », « maintenant au moindre bruit, il tremblait, il palissait, comme un petit garçon ». Zola n’idéalise pas les sentiments mais présente bien la peur des deux personnages sous son aspect premier, il décrit la réalité telle quelle est : «  Et