Animal sauvage

) II. Le mythe du bon sauvage en miroir - tahitiens : libre, innocent, pure, enfant de la nature, pacifiste, heureux ---> image utopique : pas de propriété, pas de hiérarchie, plus grande liberté sexuelle - opposition tu/nous ---> cohésion du groupe - 4 questions oratoires "Nous sommes nous jetés sur ta personne? Avons nous pillé ton vaisseau? t'avons nous saisi et exposé aux flèches de nos ennemis? t'avons nous associé dans nos champs au travail de nos animaux?" ---> montre la non violence

Les enfants sauvages d'Allemagne Exemple et description d'enfant sauvage : Comme son nom l'indique, les enfants sauvages sont des enfants qui, perdu ou abandonné, ont vécu à leur plus jeune âge, reclus de la société, à l'écart de tout contact humain. Certains enfants sauvages ont été rejetés par leurs parents pour cause de graves handicaps physiques ou mentaux. D'autres enfants ont vécu de graves traumatismes avant d'être abandonnés. Les deux exemples les plus connus et qui ont servis

maladie de Gilles de la Tourette (60 ans avant Tourette). Recueille «l’enfant sauvage de l’Aveyron» qu’il nomme Victor et se consacre à son éducation (de 1801 à 1806). Sa méthode éducative : Contrairement au courant de pensée de cette époque (l’éducation est innée), Jean ITARD dit «L’Homme est ce que l’on lui fait être» ce qui signifie que : · L’Homme sans la civilisation n’est rien ou presque ; · L’Homme est un animal très fragile ; · L’Homme n’a pas d’idées innées ; · L’Homme a des facultés

Origine et utilisation du mythe du bon sauvage On attribue souvent à Rousseau la paternité de ce mythe, qui aurait été développé dans son Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes et l’Emile (traité sur l’Education). Cette théorie du bon sauvage pose que l’état de nature, antérieur à la civilisation, est bon et naturel pour l’homme. Dans l’état de nature, l’homme serait heureux. La civilisation correspondrait à la chute de l’homme, une perversion de sa nature: L’homme naît bon, c’est

L'auteur, John Stuart Mill, soutient que que les bonnes qualités présentes chez l'Homme sont le produit de l'éducation et que selon lui toute bonne qualité n'est que le résultat de la discipline, en affirmant que l'Homme de la nature n'était qu'un animal sauvage dispensé de qualités morales. Dans une première partie (l. 1 à 3), Mill expose un constat immédiat, qui constitue son point de départ : l'Homme de la nature ne possède rien de valeur, à part les aptitudes qui le constitue et qui ont besoin

distinction entre nature et culture. A) Qu'est ce qu'on entend par " enfant sauvage " ? B) En quoi peut-on considérer sauvage un enfant dépourvu d'éducation ? 2) Le passage de l'état sauvage à l'homme. A) La perfectibilité B) Devenir un Homme social et civilisé. 3) Comparaison du livre et du film. A) Les choix du réalisateur par rapport à l'oeuvre. B) Comment peut-on interpréter la fin des " enfants sauvages " dans le livre et dans le film ? Conclusion. Bibliographie Annexes:

organisation, qui l'appellent au premier rang du système des êtres, l'homme ne peut trouver qu'au sein de la société la place éminente qui lui fut marquée dans la nature, et serait, sans la civilisation, un des plus faibles et des moins intelligents des animaux : vérité, sans doute bien rebattue, mais qu'on n'a point encore rigoureusement démontrée... Les philosophes qui l'ont émise les premiers, ceux qui l'ont ensuite soutenue et propagée, en ont donné pour preuve l'état physique et moral de quelques peuplades

longtemps été considérée comme un trait caractéristique de l'humanité, qui la distinguait des animaux On considère un Homme, un être humain qui se cultivent en permanence. Or, il s'avère que l'Homme né animal car à sa naissance, l'être humain possède les mêmes organes et les mêmes besoins. Cependant, il devient homme par la culture, y compris en satisfaisant de manière culturelle les besoins communs avec les animaux. Les Hommes se cultivent en permanence et ainsi sont qualifié de « civilisé » et ceci montre

rouges. Tout est exagéré: animaux cours plus vite, tout le monde plus beau, tout brille. Enumération l.36 à 42 --> fait grand. Enfants habillés d'or, jouant avec des rubis, pierreries, cailloux d'or --> irréel. Accumulation des richesses. Exagération au niveau des plats p.80: "300 colibris". Ils sont tous très beaux. Ils ne payent pas leur repas. Cacambo comprend le langage des gens. Ces personnes ne sont pas interessés par l'or. --> Allusion au mythe du bon sauvage, désinteressé par tout ce

civilisation, dans un isolement le plus totale, l'homme se dégrade ou n'évolue pas. S'il n'apprend pas à parler, à réfléchir, l'homme ne pourra pas penser, donc il sera dans l'impossibilité la plus complète de bien penser, et sera réduits aux instincts animales qui lui sont instinctifs. Ni la parole, ni la pensée, qui est un résultats de la parole ne seront donc possibles à un individu n'ayant pas grandis dans une société humaine. Nous avons donc expliqués que l'homme a besoin d'une société pour