Ankara

l’inflation. Alors que le phénomène était estimé à 100% l’an au début des années 2000, il est aujourd’hui de 10%. Par, ailleurs, d’après la dernière étude du CEPII, la signature en 1996 par la Turquie d’un traité d’union douanière avec l’UE a poussé Ankara à intégrer dans sa législation une partie significative de l’ « acquis communautaire » (constitué de près de 80 000 pages de règlements et de directives européennes). Si la Turquie tend à se rapprocher de l’Europe, les opposants à l’adhésion de

Iran notamment) et les Palestiniens deviennent une minorité au sein de l'État d'Israël. En outre, les différents courants nationalistes au pouvoir s'opposent non seulement pour des problèmes territoriaux (par exemple, Damas revendique le Liban et Ankara le Nord-Ouest syrien), mais également pour le statut de puissance régionale autour des notions de communauté arabe (le panarabisme nassérien) ou de communauté Sous-partie no 13 : elle débute d'abord par une idée secondaire (ici en gras) et elle

Le traité de Sèvres arrache à la turquie des territoires à l'Ouest mais aussi l'Arménie à l'Est. Des nationalistes russes menés par Mustapha Kemal (ataturk) renversent le gouvernement et fondent la république turque. La capitale est déplacée à Ankara et Ataturk impose l'alphabet latin et la laicité. Une paix difficile à trouver. Les turcs, mécontents des traités, mènent une guerre contre la Grèce et l'Arménie. En URSS, la reconquête de l'Ukraine et de la Biélorussie conduisent à un

bi-continental (une partie du territoire en Europe et l’autre en Asie Occidentale), grande héritière de l’empire Ottoman, frontalière avec huit pays. La population s’élève à 74, 885 millions d’habitants. Ses grandes villes principales sont Istanbul, Ankara, Izmir, Adana et Antalya. La langue officielle est le turque, et l’anglais est fréquemment utilisé dans les grandes villes. Fondée par Atatürk, cette république constitutionnelle démocratique et laïque, est un état membre des Nations Unies.

définies dans le traité. Jugeant que le sultan ne sera pas en mesure de libérer son peuple de l’invasion grecque, Kémal rend un discours fatidique pour le régime sultanesque. La population considère le sultan comme étant un prisonnier des alliés. Ankara devient la ville des nationalistes. Ayant récemment pris à nouveau le contrôle du territoire ottoman, les Grecs sont de plus en plus menaçants. Évidemment, une guerre interne éclate. Malgré quelques problèmes, après quelques années et avec l’aide

confirme son intention de produire lui-même l'uranium fortement enrichi dont il estime avoir besoin pour son programme nucléaire. l'Iran procède à un nouveau test de son missile balistique Sejil-2 capable de frapper Israël. V 2010 Mai : Téhéran, Ankara et Brasilia annoncent la signature d'un accord sur le nucléaire. L'Iran s'engage à transférer en Turquie 1 200 kilogrammes d'uranium faiblement enrichi, en échange de combustible destiné à son réacteur médical de Téhéran dans le délai maximum d'un

Moyen-Orient va être l'enjeu d'une lutte d'influence entre l'Occident et l'U.R.S.S qui entend y accroître son poids. Le 24 février 1955, face à la menace soviétique, un traité de coopération militaire ( Le Pacte de Bagdad) est signé entre Bagdad (Irak) et Ankara ( Turquie), sous l'égide de la Grande Bretagne qui y adhère aussitôt, suivie du Pakistan et de l'Iran. A partir de1956 chaque bloc connaît des problèmes internes à retentissement international Attention, ce qui suit est réservé aux Abonnés l'affaire

l’Euphrate chutera de 32 à 20 milliards de m3 en Syrie et de 20 à 11 milliards en Irak. Le seul engagement auquel consentit Ankara, en 1987, fut de laisser passer un débit moyen de 500 m3 par seconde. L’accord définitif, prévu pour fin 1993, tarde à venir. La fin du soutien de la Syrie au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a sensiblement amélioré les relations entre Damas et Ankara, mais la Turquie laisse régulièrement planer des doutes sur ses véritables intentions, estimant publiquement que la Syrie

la Grèce, la Turquie et Chypre, sous l’égide des Britanniques. Ce compromis a prévu l’établissement d’une république de Chypre, parce que la Turquie et la communauté chypriote turque n’acceptaient pas l’idée d’une union avec la Grèce. En même temps Ankara acceptait que Chypre devienne indépendante, de même que Londres, car pour la Grande-Bretagne l'importance militaire de Chypre diminua après le fiasco de l'expédition de Suez (1956). Il est devenu clair que Londres ne pouvait plus agir seule - c'est-à-dire

s’opèrent à l’échelle internationale et mettant la prospérité et le développement du pays aux priorités des objectifs à rechercher. Dans notre étude nous nous intéressons de L’accord de libre-échange (ALE) entre le Maroc et la Turquie qui a été signé à Ankara le 8 avril 2004 par MM. Driss Jettou, Premier ministre du Maroc et Recep Tayyip Erdogan, Premier ministre de la Turquie. L’ALE a été notamment signé après 5 rounds de négociations en présence d’une importante délégation d’hommes d’affaires marocains