Anna Magnani

travaux, dont l’éducation des vers à soie. Son collègue du Gard écrit en 1811 : « Du 20 avril au 15 mai on voit descendre chaque année de la partie des Cévennes comprise dans les arrondissements d’Alais et du Vigan des montagnards qui, sous le nom de magnaniers, se répandent dans la plaine pour diriger l’éducation des vers à soie. » II. Des mûriers aux filatures : itinéraires de soie Seul, en effet, un autre arbre, aussi râblé qu’est puissant son aîné, a pu disputer les Cévennes à la nappe castanéicole

paraissait tout à fait satisfait du baryton. Un jour qu'il sortait du Palais ducal d'Urbino, où, un matin sur trois, il vocalisait tout à loisir à l'instar du grand Caruso, Haig croisa dans un corridor Olga Mavrokhordatos, la soprano qui jouait Donna Anna. Il conçut illico pour la Diva un amour fou; on l'aima au moins tout autant: trois jours plus tard, à San Marino, où il obtint sans mal l'autorisation du convol, Haig s'unissait à Olga. Un adjoint municipal prononçait, bâillant, car on allait sur minuit

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catégorie « meilleur montage » depuis 1934. – Hal C. Kern et James E. Newcom ont été récompensés en 1939 pour « Autant en emporte le vent » (Victor Fleming, MGM). – William Lyon pour « Tant qu'il y aura des hommes » (Fred Zinnemann, Columbia, 1953). – Anna V. Coates pour « Laurence d'Arabie » (David Lean, 1962). – Peter Zinner pour « Voyage au bout de l'enfer » (Michael Cimino, 1978). – Thelma Schoonmaker pour « Raging bull » (Martin Scorsese, 1980). – Joel Cox pour « Impitoyable » (Clint Eastwood, 1992)