Années 80

LA CRISE DES ANNEES 1930 I) 1 crise exceptionnelle : A) L’ampleur de la crise des 30’s la singularise des autres crises du 20ème siècle : 1) 1 dépression mondiale qui a débuté avant le choc d’octobre 1929 : 2) 1 dépression d’ 1 gravité sans précédent 3) L’emploi en subit le contrecoup 4) et le commerce mondial se contracte  B) Cependant, au sein de la dépression, les situations sont inégalitaires : 1) Elle touche inégalement les pays 2) Elle touche différemment le secteur industriel

les Etats-Unis – at-elle pu provoquer les enchaînements que nous connaissons aujourd’hui dans l’ensemble du monde, en termes d’emplois en particulier ? Par de nombreux traits, la crise actuelle peut être rapprochée de la « Grande Dépression » des années 1930 : bulle (immobilière), krach boursier, mécanismes classiques de diffusion à l’économie réelle … Mais pour de nombreux économistes, cette crise est particulière, un aboutissement qui doit être associé au (dys)fonctionnement actuel du capitalisme

standard de beauté, avec sa minceur enfantine, sa silhouette androgyne, des yeux de biches sous quelques mèches effilochées de ses cheveux courts. Les années 60 ou «  Swinging Sixties » sont une époque de bouleversements, musicaux, culturels et particulièrement dans le domaine de la mode. Les standards de beauté ont changé. Dans les années 50, les corps voluptueux étaient idéalisés, avec une forte poitrine, des vêtements ajustés à la taille, pour mettre en valeur une silhouette en forme de

crise des années trente : nouveautés 2 4) Les enjeux économiques de la guerre froide 3 5) La crise de 1973 : une surprise, pourquoi ? 3 6) Compétitivité – Précarité – Exclusion dans les PDEM depuis les années 70 3 II) Sujets sur la France 4 1) La France de la Belle Epoque (1900-1914) : une économie en déclin ? 4 2) Le malthusianisme démographique en France avant 1914 4 3) Poincaré, la droite et la gestion de l’économie française dans les années 20 4

Elle est présente sur les Jeux Olympiques depuis 5 les Jeux olympiques d’été de 1928. Désormais, cette marque est aujourd’hui partenaire des principaux événements sportifs : Jeux olympiques, Coupe du monde de football, Tour de France jusqu’aux annees 2000... En bref, le long du siècle, la marque de Coca – Cola s’affirme davantage. Envahissant dans les quatres coins du monde, elle mérite d’être le plus grand pionnier dans le domaine des boissons. CHAPITRE II : Stratégie de marketing

prisonnier des contradictions de son immaturité chronique […] » (2002, p.63). Cette génération dont parle l’auteur, c’est celle que l’on nomme génération X. Enfants des baby-boomers, ils sont nés approximativement entre le début des années soixante et la fin des années soixante-dix. Ainsi, la plupart des personnages du Crabe sont emblématiques de cette génération que Turpin semble si bien dépeindre pour la bonne raison que lui-même en fait partie. Inutile d’en dire plus pour l’instant, car les thèmes

mouvement hippie et progressif représenté par Mike Oldfield, qui assure l'essentiel des bénéfices de Virgin pendant les premières années avec Hergest Ridge et Ommadawn. Le changement d'image sera assuré par la signature des « scandaleux » Sex Pistols, et la diversification pop-rock consacrée par l'arrivée d'artistes tels que Phil Collins ou Culture Club. Dans les années quatre-vingt, Virgin progresse très rapidement et diversifie ses activités avec des fortunes diverses : livres, vidéo, restauration

LA FRANCE DES ANNEES 30 : Introduction : En 1918, la France et la IIIème république en particulier était sortie victorieuse du conflit malgré son coût élevé. On cherche alors à renouer avec la paix et la prospérité de la belle époque : les années 20 ont ainsi été surnommées « les années folles ». La paix semblait assurée par la Société Des Nations (S.D.N) d’autant plus que l’Allemagne avait rejoint la S.D.N en 1926 et que plusieurs pays européens avaient signé le pacte Locarno (nord de

positionnement lorsque l'on hérite une double légitimité de sociologue et de dirigeant ? Directeur sociologue ? L'insertion professionnelle des sociologues, dans les années 70, s'est traduite pour un certain nombre d'entre eux par des trajets tortueux. I1 leur a fallu rompre parfois avec la sociologie. quitte à rebondir pour réinjecter. plusieurs années après, dans un autre monde, des acquis universitaires. Dans mon cas, c'est après avoir soutenu une thèse de doctorat de troisième cycle de sociologie que je

–« Pourquoi la guerre4 »– posé, comme Machiavel, la question de l’intérêt dans la conduite de la guerre. Cela dit, les théories de la psychologie de groupe, de l’agression du surmoi et de l’identification projective ont bien été utilisées dès les années 1920 pour gérer ce que l’on appelle les « relations publiques ». La psychanalyse n’est alors pas utile pour expliquer le phénomène de la guerre, mais les théories psychanalytiques ont été, dès le début, utilisées pour créer le consentement nécessaire