Annette Messager Les Restes

que transmettre ?, Sciences humaines hors série n° 36, mars-avril-mai 2002 Veil Simone, « Réflexions sur la mémoire de la Shoah », Historiens et Géographes, n° 384, octobre-novembre 2003 Wieviorka Annette, Déportation et Génocide. Entre la mémoire et l’oubli, Hachette, « Pluriel »,2003 Wieviorka Annette L’Ere du témoin, Hachette, « Pluriel », 2002 La Mémoire, entre histoire et politique (s.d. Yves Léonard), Cahiers français n° 303, juillet-août 2001. « Les historiens et le travail de mémoire », Esprit

art mnémotechnique. La Renaissance apportera des changements importants à l’histoire du statut de l’image. Vers 1435 le traité ‘‘De Pictura’’ veut que l’image (peinture) ne doit pas être seulement un aide-mémoire, mais qu’elle doit délivrer un message, convaincre et émouvoir. En même temps, la naissance de l’imprimerie jette les bases d’un monde où la mémoire allait peu à peu perdre son importance. «Les images changent de statut et de nom; il ne s’agit plus d’imagines mais de fantasmes. Par le

l‘individu. Il s’agit alors pour les publicitaires d’identifier puis de flatter, dans les messages, ces désirs profonds. Comme ces derniers sont souvent censurés par le « surmoi », l’instance d’interdiction du psychisme, il faut en outre que la publicité donne des arguments permettant à l’individu de rationaliser ces choix, c’est-à-dire de les justifier de manière socialement acceptable. En flattant ces désirs, le message publicitaire générerait un conflit intrapsychique, source d’angoisse, que seul l’achat

tendre à occulter le réel. Chacun est prêt à citer une, deux, trois artistes femmes que l’on connaît de près ou de loin, que l’on a vues lors d’une belle exposition, et qui se sont fait une vraie place de créatrices. On connait Louise Bourgeois, Annette Messager et Sophie Calle, mais il est besoin de toucher de plus près la réalité de toutes les autres. Nous compléterons l’étude des indicateurs nationaux par une description de ceux qui sont significatifs à l’échelon départemental de Loire Atlantique

facile soumission de tous, sauf d'une brave et infime minorité, sont des faits d'une profonde signification historique. — (E. L. Woodward, Les origines de la guerre, Oxford University Press, éd. 1944, p.25)Faites un don Si chaque personne lisant ce message donnait 2 €, nous pourrions garder Wikipédia en ligne et sans publicité pour encore une autre année. Dernière modification il y a 4 heures par Julien1978 Première Guerre mondiale Suivre cette page Page d'aide sur les redirections « Grande Guerre

Il est donc important de souligner que les jeunes donnent d’abord une plus grande importance au fait de communiquer, de dialoguer et d’entretenir des relations. 1. Une nouvelle sociabilité Plusieurs spécialistes, comme Sylvie Octobre et Annette Dumesnil, se penchent sur la question de la sociabilité des jeunes. En effet, les jeunes d’aujourd’hui ne s’identifient plus de la même façon qu’hier. Aujourd’hui, les liens, les amitiés, les appartenances se font grâce au réseau auquel on s’identifie

aujourd’hui, la BICEC compte 29 agences réparties entre les dix régions du Cameroun ; elle possède de ce fait le réseau bancaire le plus étendu du pays. Au final, en dépit de la candidature de plusieurs banques occidentales, l’Etat camerounais décide de rester fidèle au Groupe Banque Populaire et signe avec ce dernier une convention de concession : la BICEC devient en Janvier 2000 une filiale du Groupe Banque Populaire dans le cadre de la privatisation des banques. La BICEC aujourd’hui est une société

en Afrique1. On peut noter que presque toutes celles qui se sont manifestées entre 1979 et 1996 sont des intellectuelles2. Ainsi, avant 1980, seules quelques femmes s’étaient illustrées par des poèmes : la pharmacienne Jeanne Ngo au Cameroun, Annette Mbaye D’Erneville (Chansons pour Laity, 1976) au Sénégal, Clémentine Faïk Nzuji au Zaïre ; des autobiographies : la militante Aoua Keïta (Femme d’Afrique : la vie d’Aoua Keïta racontée par elle-même, 1976) au Mali ; Nafissatou Diallo (De Tilène

Seuil, 1951. * Arnaud Laster : * Pleins feux sur Victor Hugo, Comédie-Française, 1981 ; * Victor Hugo, éditions Belfond, 1984. * Danièle Gasiglia-Laster, Victor Hugo « Sa vie, son œuvre », Frédéric Birr, coll., 1984. * Annette Rosa, Victor Hugo, l'éclat d'un siècle, éditions Messidor, 1985 [lire en ligne]. * André Maurois, Olympio ou la Vie de Victor Hugo, Hachette, 1985. * Frédéric Lenormand, Les Fous de Guernesey ou les amateurs de littérature, Robert-Laffont

élèves. Cela amène à soulever la question des commémorations. N'y a t-il pas danger à multiplier les commémorations ? Lors du colloque « Apprendre l'histoire et la géographie à l'école » qui s'est tenu à Paris en décembre 2002, Jean-Pierre Rioux et Annette Wieviorka constataient que la mémoire est devenue « un objet d'histoire », que « la présence de cette mémoire à des effets induits en classe », et qu'« elle soulève aussi la question des commémorations ». Pourquoi commémorer ? Quels sont les évènements