Annie Saumont

genres littéraires en | | | |essor). | | | |+ Auteurs à succès (Le Clézio, Quignard, Saumont, Levy). | | | | | | |15 |Révision générale

devenir un autre en effet en lisant nous pouvons nous métamorphoser en un personnage, vivre ses grandes aventures. Vivre à travers lui, quelque chose de moins ennuyant et banale que notre vie normale. Dans sa nouvelle Fille lisant à l'arrêt de bus, Annie Saumont montre bien que la lectrice devient l'héroïne du livre qu'elle est en train de lire, la lectrice prend la place du personnage principal de son livre et vit ses aventures, la mort du détective privé, par exemple. Et même lorsque elle revient à la

Robinson . » Jules Valès , L'Enfant « Elle ne lira plus de romans noirs . On s'attache aux personnages . S'ils meurent on souffre , c'est bête . » Annie Saumont , Après « Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail , haï des mères , soit maudit ! Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit , Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème ! O Dieu ! Qu'il soit maudit au nom du travail

Ribault pour n'en citer que quelques-uns, connus ou moins connus. Certains ont choisi de ne s'exprimer (presque) que par la nouvelle, parfois très courte : c'est le cas du belge Thomas Gunzig, de Georges Kolebka, d'Hervé Le Tellier et surtout d'Annie Saumont. Différenciations[modifier] Dans les pays anglo-saxons (et aux États-Unis en particulier), on considère que la nouvelle peut se classifier en trois catégories suivant sa longueur. L'organisation Science Fiction and Fantasy Writers of America en

Jean-Paul Sartre où il dénonce l'idéologie douteuse de certains romans, et où il se moque des caractères stéréotypées. Ensuite, le livre peux entraîner une confusion entre la fiction et la réalité, comme dans Fille lisant à l'arrêt du bus, de Annie Saumont, où le personnage principale, une jeune fille, confond son univers à celui de la fiction. On identifie ce phénomène grâce à l'utilisation des structures grammaticales qui permettent la superposition des deux histoires. Enfin, il y a un risque

fait découvrir les mœurs douces et la vie facile dans des îles encore « sauvages ». Même quand elle parle de notre monde, dans ses aspects les plus banals, la littérature peut le faire de façon insolite et plaisante. C'est le cas lorsque Annie Saumont, dans une courte nouvelle, raconte l'histoire d'une « Fille lisant à l'arrêt de bus » : la multiplication des points de vue donne le vertige au lecteur, alors que l'univers décrit est très banal : à Paris, près de la gare d'Austerlitz. Même

généralement le récit) est le reflet de la réalité. Qu’en pensez-vous ? En vous appuyant sur les textes étudiés et lus personnellement cette année (Bel-Ami, l’Ingénu, Micromégas, La Mort du roi Tsongor, Récits de guerre de Maupassant ou de Annie Saumont + possibilité d’utiliser des extraits étudiés), vous développerez les idées exposées ci-dessous a l’aide d’un ou deux exemples. Chaque exemple sera développé en 5-6 lignes ; les paragraphes feront ainsi une quinzaine de lignes. Vous recopierez

demande à Jack (un détective) et ses collèges qu’ils veulent manger le gigot. Ils font ça. Mais ils ne savent pas qu’ils sont en train de manger l’arme assassinée. Maintenant ils ne savent jamais que Mary a tué son mari. Verhaal 5 : mais moi, Annie Saumont C’est une femme laide qui va marier avec un homme qui ne l’aime pas. Cette dernière apporte en dot des terres à son mari. Une autre femme, qui était très jolie, est amoureuse avec l’homme et aurait bien aime l’épouser, mais les circonstances ont

Elle attend, elle n'a pas faim. Elle tient toujours le livre ouvert. Elle ne lira plus de romans noirs. On s'attache aux personnages. S'ils meurent on souffre, c'est bête. Elle commence à écrire dans les marges l'histoire d'un amour heureux. Annie Saumont, Après, 1996. Document B – “Cauchemar en jaune” Il fut tiré du sommeil par la sonnerie du réveil, mais resta couché un bon moment après l'avoir fait taire, à repasser une dernière fois les plans qu'il avait établis pour une escroquerie dans

écrire à partir d’une photo. Dans Le Voile noir, Annie Duperey se penche sur son enfance marquée par la disparition accidentelle de ses parents, alors qu'elle n'avait que huit ans et demi. La photo ci-dessous, qui la représente avec son père, est extraite de ce livre. [pic] Photographie de Lucien Legras*, Le Voile noir, 1992. * Il s'agit du père d'Anny Duperey. À propos de cette photographie personnelle, Annie Duperey écrivit dans son autobiographie le texte suivant :