Annie Saumont

ANNIE ERNAUX Annie Ernaux naît à Lillebonne le 1er septembre 1940 sous le nom d’Annie Duschene. Elle grandit à Yvetot en Normandie et, bien qu’appartenant à un milieu social assez modeste, puisque ses parents sont tout deux ouvriers avant de devenir des commerçants, cela n’empêche pas Annie d’espérer accéder à une réussite sociale plus élevée. En effet, en bonne élève, elle montre beaucoup d’intérêt pour l’école et beaucoup de facilités d’apprentissage. Ses parents, malgré leurs faibles

il écrit de nombreux contes parmi lesquels le chat botté, peau d’âne ou le petit chaperon rouge. Nous étudierons ici la nouvelle « Laquelle prendrez-vous ? » écrit par Annie SAUMONT, paru en 2000, directement inspirée du célèbre conte de Charles Perrault paru en 1691 ; dès lors, nous pourrons nous demander comment Annie Saumont a su réadapter l’histoire à sa manière. Premièrement, nous pourrons donc nous intéresser au texte et au style d’écrite de l’auteur puis à l’effet que la nouvelle produit

Annie Saumont: La Poétesse du Quotidien On considère le 19e siècle comme l'âge d'or de la nouvelle française. Au 20e siècle, il y a des nouvelles, mais pas de nouvellistes: La plupart des meilleures nouvelles est écrite par des romanciers, des auteurs du théâtre ou des poètes (à quelques exceptions près, comme Marcel Arland, Marcel Aymé et Paul Morand). Le 20e siècle ne comporte plus de "grands maîtres" à l'instar de Mérimée et Maupassant dont le nom est étroitement associé à cette

Dominante Lecture Objectif : Etudier l’aventure de la lecture et le plaisir de lire. Texte support : « Fille lisant à l’arrêt de bus » d’Annie Saumont. I-Présentation Le titre de cette nouvelle est : « Fille lisant à l’arrêt de bus ». Il y a deux filles, nous avons donc deux récits. Cette nouvelle est constituée d’un récit cadre et d’un récit enchâssé. Le début du récit cadre est : « elle était en haut de la page 180 quand l’autobus est arrivé… ». Et la fin du récit cadre est : «

et Gustave Flaubert. Œuvres, nouvelles : Boule de suif et Compte de la Bécasse. Romans : Bel-ami et notre cœur. Ironique et cruel, paysannerie, argent. V – Nous terminerons la séquence par la lecture d’une nouvelle d’un auteur contemporain : Annie Saumont. Quel premier métier a exercé cet auteur ? Traductrice Comment le genre de la nouvelle est-il considéré en France selon elle ?  «La nouvelle est un genre qui passe mal en France. Pour les éditeurs comme pour les lecteurs, il s’agit d’une chose

familière (« J’l’ai rendu » d’Annie Saumont, « moi j’aurais horreur de me saper Benetton »), ajoutent à l’effet de vérité du texte. Dans la nouvelle d’Annie Saumont, l’utilisation du verlan et de l’argot est repérable tout au long de la nouvelle («En ville, à l’étalage des noiches qu’ouvrent tous les jours même le dimanche.) L’argot est tout ensemble un phénomène littéraire et un résultat social. L’argot est la langue de la misère, et dans la nouvelle d’Annie Saumont, elle joue avec cette « langue de

dans la peau des personnages et de l'écrivain, Annie Saumont. En fin de compte, ce livre nous racontait la guerre mais d'un autre regard, par celui des personnages. Nous conseillerons ce livre à ce qui ont eu du mal à comprendre cette guerre aussi violente et à comprendre la souffrance des populations car tout le monde a été concerné et touché. Cependant, nous le déconseillerons a ceux pour qui la lecture est difficile car l'écriture d'Annie Saumont peut vraiment déranger. Ce recueil révèle des

Salinger rend d’une façon très réaliste la langue de la jeunesse américaine. Deux traductions existent pour l’Attrapecœurs, la première de Sébastien Japrisot et la seconde d’Annie Saumont, toutes les deux éditées chez Robert Laffont. Nous étudions la dernière traduction en date. ! ! On peut déjà constater qu’Annie Saumont respecte au possible l’oralité du texte avec les expressions comme «  Celle-là  », «  et tout  », «  bordel  », «  impec  » ou encore « quand même ». Elles sillonnent le texte et

une nouvelle a pour but de faire comprendre au lecteur, et lui enseigner la réalité. « J’l’ai rendu », d’Annie Saumont, relate l’histoire d’une jeune femme de vingt ans dans un tribunal, racontant ses derniers moments passés après avoir « emprunter » le gilet. Nous constatons que son histoire est directement inspiré de la vie réelle et pratiquement rien n’a été inventé. Ainsi, Annie Saumont intègre du réalisme pour dénoncer les injustices et problèmes sociaux pouvant être évités. Dans cette nouvelle

Bibliographie Annie Saumont Propos de textes à choisir Marcher dans les déserts. Calman-Lévy.1963 Jouer de l’harmonica. Mercure de France. 1968(2715207484) La vie à l’endroit. Mercure de France.1969(2715207474) Dis, blanche Colombe. Belfond 1974 Enseigne pour une école de monstres. Gallimard.1977 (2070296857) Dieu regarde et se tait. Gallimard 1979 u.a « Un Pique-nique en Lorraine » - voir Jgst11.02DOC nouvelle portant sur le thème des relations franco-allemandes à l’intérieur