Anouilh La Grotte Prologue

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean ANOUILH (France) (1910-1987) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Antigone’’, ‘’Becket ou l’honneur de Dieu’’ qui sont étudiés dans des dossiers à part). Bonne lecture ! Il est né à Cérisole, près de Bordeaux, d’un père, François, qui était tailleur et d’une mère, Marie-Magdeleine Soulue, qui était une musicienne qui jouait du violon dans un orchestre itinérant et était professeuse

| | |Victor HUGO, Hernani ou l’Honneur castillan, (I, 1) -début, 1830 | | |Jean ANOUILH, Antigone, 1944 | | |Eugène IONESCO, la Cantatrice chauve, scène 1 – début, 1950

pour une bonne part, du théâtre antique et plus particulièrement du théâtre grec qui lui a fourni structures, formes et mythes toujours de mise. Prenons pour exemple Giraudoux (La Guerre de Troie n’aura pas lieu), Sartre (Les Mouches) ou encore Anouilh (Antigone) qui, au XXe siècle, ont réactualisé des mythes grecs déjà traités dans la tragédie antique (dans l’ordre : L’Iliade d’Homère, le mythe d’Œdipe ou encore celui de sa descendance). Au long de son histoire, le théâtre a été régulièrement

L'Exécution et L'Abolition de Robert Badinter 9 Histoire des arts – arts du langage – programme pour l'oral du DNB 4. Antigone de Jean Anouilh – 1942, 1944 pour la 1ère représentation – écrit en français pièce de théâtre ou oeuvre dramatique, tragédie / Arts, Mythes et religions – l'oeuvre d'art et le mythe Antigone est une pièce en un acte de Jean Anouilh représentée pour la première fois dans une mise en scène, des décors et des costumes d'André Barsacq au théâtre de l'Atelier à Paris le

Don Juan • Lenau, Don Juan (p. 492 L/ ES/S) Les XXe et XXIe siècles : modernités SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre », du XVIIe à nos jours • Jean Giraudoux, L’Impromptu de Paris (p. 156 ES/S et Techno / p. 158 L/ES/S) • Jean Anouilh, La Répétition ou l’amour puni (p. 158 ES/S et Techno / p. 160 L/ES/S) • Jean-Luc Lagarce, Nous, les héros (p. 160 ES/S et Techno / p. 162 L/ES/S) • Olivier Py, Les Illusions comiques (p. 162 ES/S et Techno / p. 164 L/ES/S) • Bertold Brecht

L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, L’Illusion comique, p. 147 – Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 145 – Pirandello, Six Personnages en quête d’auteur, p. 150 – Genet, Les Bonnes, p. 152 • Objet d’étude : les héroïnes féminines Œuvre intégrale : Musset, Les Caprices de Marianne ou On ne badine pas avec l’amour, ou Giraudoux, Électre, ou Anouilh, Antigone, ou Beckett

reproche d’être pathétique. ᕦ Quelles règles de la tragédie classique les romantiques n’ont-ils pas respectées ? ¨ La règle des trois unités. ¨ La bienséance. ¨ L’écriture en vers. ¨ L’absence de mélange des genres. ᕧ Qui a écrit Antigone? ¨ Jean Anouilh ¨ Victor Hugo ¨ Jean Cocteau ¨ Jean Giraudoux ᕨ Qu’appelle-t-on le théâtre de l’absurde ? ¨ Ce sont des pièces qui mêlent grotesque et sublime. ¨ C’est un théâtre qui révèle le non-sens du destin humain. ¨ C’est un théâtre grotesque et bouffon

être sages pour humer, sentir et estimer ces beaux livres de haute graisse, légers à la poursuite et hardis à l’attaque. Puis, par une lecture attentive et une méditation assidue, rompre l’os et sucer la substantifique moelle. Rabelais, Gargantua, prologue, 1535 En 1533, il est à Rome avec le cardinal Jean du Bellay. On l’y retrouve en 1536. En 1537, il est de retour à Montpellier ; en 1538, à Aigues-Mortes où il assiste à la rencontre entre François Ier et Charles Quint. Ses livres condamnés par

être sages pour humer, sentir et estimer ces beaux livres de haute graisse, légers à la poursuite et hardis à l’attaque. Puis, par une lecture attentive et une méditation assidue, rompre l’os et sucer la substantifique moelle. Rabelais, Gargantua, prologue, 1535 En 1533, il est à Rome avec le cardinal Jean du Bellay. On l’y retrouve en 1536. En 1537, il est de retour à Montpellier ; en 1538, à Aigues-Mortes où il assiste à la rencontre entre François Ier et Charles Quint. Ses livres condamnés par

choisi de fonder cette étude autour d’un seul et même mythe, celui d’Œdipe, qui a la particularité de faire succéder deux figures tragiques, Œdipe et Antigone. Le chapitre s’ouvre sur la tragédie antique puis sur les réécritures modernes (Cocteau et Anouilh ou, plus proche de nous, Joël Jouanneau et Didier Lamaison). Ce sera l’occasion d’étudier la permanence du tragique et l’apport de chaque auteur à une histoire qui existe hors de lui. © Éditions Belin Bibliographie J.-P. Vernant, P. Vidal-Naquet