Anthologie Lune

ESCH Pour le lundi 23 février 2015 Léana 1L1 Anthologie poétique autour du voyage Le voyage exotique au fil des siècles… Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et

Myrinos, Anthologie Palatine VII, 703. Traduction. Thyrsis le villageois, qui fait paître les brebis des nymphes, Thyrsis qui joue de la flûte de manière semblable à la flûte de Pan, buveur de vin en plein midi, dort sous le pin ombreux ; et c’est Eros lui-même qui garde les troupeaux, ayant pris le bâton. Ah ! Nymphes, Nymphes, réveillez le berger hardi contre les loups, de peur qu’Eros ne devienne la proie des bêtes sauvages. Commentaire. QÚrsij Ð kwm»thj : D’emblée, cette épigramme

ANTHOLOGIE DE SONNETS 1. L’« inventeur » de la forme Nulle paix je ne trouve, et je n’ai pas de guerre à faire : Je crains et j’espère ; je brûle et je suis de glace. Et je vole au plus haut des cieux, et je gis à terre ; Et je n’étreins nulle chose, et j’embrasse le monde entier. Qui me garde en prison la porte ne m’ouvre ni ne ferme, Ni ne me tient pour sien, ni ne défait les liens ; Amour ne me tue pas et ne m’ôte pas mes fers, Ne me veut pas vivant, et ne vient pas à mon

obligations. Le rapport de la température de l'air et de la température annuelle moyenne, celle du mois le plus froid et le mois le plus chaud, et ses variations mensuelles apériodiques, était normal. Le lever, le coucher du soleil et de la lune, les phases de la lune, de Vénus et de l'anneau de Saturne, ainsi que nombre d'autres phénomènes importants, étaient conformes aux prédictions qu'en avaient faites les annuaires astronomiques. La tension de vapeur dans l'air avait atteint son maximum, et l'humidité

saisons, les heures du jour, l'aube, le couchant, la nuit toute lumineuse d'étoiles, la lune, la flamme, la foudre, la braise, l'incendie, la bougie, la lampe....En outre, tout le visible semble dépendre et participer de cette lumière: les autres éléments s'associent à son rayonnement. La lumière pénètre le domaine liquide et "la source prend feu"[5]. Les larmes brillent en une "scintillante saison"[6]. La lune, cette "perle perdue"[7], allume la "nuit miroitante"[8] en un "glacial incendie"[9]. La

trotte Grise dans le noir.On sonne la cloche,Dormez, les bons prisonniers ! On sonne la cloche : Faut que vous dormiez.Pas de mauvais rêve,Ne pensez qu'à vos amoursPas de mauvais rêve :Les belles toujours !Le grand clair de lune !On ronfle ferme à côté. Le grand clair de lune En réalité !Un nuage passe,Il fait noir comme en un four. Un nuage passe. Tiens, le petit jour !Dame souris trotte,Rose dans les rayons bleus. Dame souris trotte : Debout, paresseux ! Recueil : Poèmes saturniensPaul Verlaine 

L’idée de constituer une anthologie sur le soir peut peut-être sembler inhabituelle. En effet, le soir, bien qu’utilisé par les poètes de tout temps, comme cadre à la fois temporel et esthétique, n’est pas souvent abordé comme une entité à part entière. De même, il n’est pas associé à un thème ou un sentiment absolument fixe dans la littérature. Dans sa définition première, il s’agit d’un simple moment de la journée, l’instant de la fin du jour, et de l’arrivée de la nuit. De là, il résulte tout

auprès de ma maîtresse, J'avais entrevu le bonheur. Près du ruisseau, quand nous marchions ensemble, Le soir, sur le sable argentin, Quand devant nous le blanc spectre du tremble De loin nous montrait le chemin ; Je vois encore, aux rayons de la lune, Ce beau corps plier dans mes bras... N'en parlons plus... - je ne prévoyais pas Où me conduirait la Fortune. Sans doute alors la colère des dieux Avait besoin d'une victime ; Car elle m'a puni comme d'un crime D'avoir essayé d'être heureux

mieux me duper ? Je me dois de prendre garde, dans cette ville, n’importe qui pourrait être mon ennemi, et je me dois d’être sur mes gardes, la prudence est la mère de toutes les vertus. (Alexandre s’assis sur le rebord de la fenêtre et contemple la lune) Ah Lorenzo, tu me met là face à choix difficile, dois-je risquer ma vie au dépend du charme de cette douce Catherine ? La simple pensée de parcourir de mes mains le corps frêle et innocent de ta tante me fait frissonner, pouvoir jouir de cette

rapport à la voiture), ou bien la loi qui fait dépendre la durée d'oscillation d'un pendule de sa longueur (ce qui sera plus tard utilisé dans les horloges). Il a aussi inventé la lunette astronomique qui lui a permis de découvrir les cratères de la lune, ainsi que les satellites de Jupiter, que l'on surnomme depuis les « satellites galiléens ». Il a défendu la conception du monde mise au point par Copernic, qui dit que la terre tourne autour du Soleil et n'est qu'une planète parmi les autres du