Anthologie Poeme Notre Vie De Paul Eluard

ANTHOLOGIE POETIQUE Préface : Dans cette anthologie, nous pourrons tout d'abord voir le thème des femmes qui est évoqué avec quatre poèmes en parlant ( « Non l'amour n'est pas mort » de Robert Desnos ; « Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle » de Pierre de Ronsard ; « La courbe de tes yeux » de Paul Eluard et « Lou » de Guillaume Apollinaire ) . J'ai choisi ce thème et ces textes car ils me tenaient à cœur et que je trouvais les poèmes très beaux et poétiques. Ces

Préface de l'anthologie : La poésie permet de me plonger dans l'univers d'un poète, de me laisser porter par les images qu'il évoque et par la musicalité des sons qu'il crée. Pour apprécier un poème, je dois accepter de m'y perdre, de ne pas saisir le sens d'emblée et d'admettre son mystère. Dans cette anthologie, chers lecteurs, vous allez entrer dans un univers à la fois traditionnel et complexe. Traditionnel, car le thème de l'amour est universel, mais aussi complexe car le sentiment amoureux suscite

de mettre des mots sur ce que l’on ressent permet une certaine évasion vers l’inconnu, on confit à notre destinataire une part de nous, de notre vie que l’on souhaite partager. Ainsi, le poème de Paul Eluard qui ouvre notre recueil, « Notre vie » extrait de Le Temps déborde de 1947, relate le chagrin que l’auteur éprouve à la mort de sa femme Nush, sa vie, qui est à présent bouleversée sans elle. Le poète touche les lecteurs à travers ses vers de par le fait que son épouse et lui ne formaient qu’un

(1917-1930) Le père d'Éluard, Clément Eugène Grindel, est comptable lorsque naît son fils mais ouvre peu après 1900 un bureau d'agence immobilière. Sa mère, Jeanne-Marie Cousin, est couturière. Vers 1908 la famille s'installe à Paris, rue Louis-Blanc. Éluard fréquente l'école communale de Saint-Denis, celle d'Aulnay-sous-Bois puis entre comme boursier à l'école supérieure Colbert. Il obtient en 1912 son brevet et en juillet part se reposer, sa santé apparaissant fragile, avec sa mère, à Glion, en Suisse

aphorismes, vers, poème en prose   Vie, mort, résistance, engagement Auteur Né le 14 Juin 1907 à l’Isle-sur-Sorgue, René Char publie son premier recueil, Cloches sur le cœur, aux Editions Le Rouge et le Noir en 1928, puis Arsenal en 1929, dont la lecture provoquera la visite de Paul Eluard qui persuade Char de se joindre au mouvement surréaliste. Il collaborera alors à La Révolution surréaliste, participera aux manifestations surréalistes et écrira en collaboration avec Eluard et Breton . Lors

Préface Cette anthologie traite un sujet que chacun de nous connaîtra à un moment donné au cours de sa vie : celui de la mort. La mort est un des cycles des plus mystérieux de la vie et le dernier. Elle nous rattrapera tous à un moment ou un autre, nous sommes tous concernés par elle. Pourquoi en parler ? Parce que la mort est, bien que cela puisse paraître macabre et déplacé, présente dans notre vie par l’intermédiaire des journaux, la télévision, les livres…Et qu’il nécessaire d’en parler

travers laquelle les écrivains interviennent dans le social et cherchent à dévoiler tout ce qui paraît caché dans l’homme. Le fondement de ce mouvement est historique, il est caractérisé par la rupture avec une idée précise de la littérature et de la vie. Le mouvement surréaliste est né d’une génération qui a participé au premier conflit mondial et qui en a gardé un sentiment de désespoir et de révolte. B. Ses différents aspects On peut évoquer différents aspects du surréalisme: * sa complexité

de tes yeux… », Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1924 « Je suis née de tes yeux », Ernest Pépin, Lettera Amorosa, 2007 - Problématique : comment traduire en mots le regard de l’être aimé ? - Lecture de l’image : Gala Eluard, Max Ernst, 1924. - Lecture cursive : poèmes d’amour (dans l’optique de constituer une anthologie personnelle) - Ecriture : écrire son blason / entrer dans le paragraphe d’analyse - Oral : lire / dire / écouter des poèmes d’amour « La boite à poème » Séances Supports

les premiers textes écrits en langue vulgaire. C’est une forme unique d’expression permettant aux auteurs d’exprimer par exemple leurs tristesses, ou bien comme Paul Verlaine dans Poème Saturniens (1866) d’exprimer leurs mélancolies. La tournure des vers, des mots, l’expression de la langue, font de la poésie « un langage sensible » (Eluard). Où plus encore que l’originalité de l’expérience ou l’ingéniosité de la langue ; c’est cette concordance entre l’une et l’autre qui fait la spécificité du discours

Table des matières PAGE Introduction 1 Analyse du poème (Emportez-moi – Henri Michaux) 2 Réflexion Personnelle 4 Analyse du poème (L’Amoureuse – Paul Eluard) 4 Réflexion Personnelle 5 Analyse du poème (L’Oiseau Bleu – Blaise Cendrars) 6 Réflexion Personnelle 7 Conclusion 7 SOURCES CONSULTEES 8