Anthologie Préface Animaux

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c’est-à-dire dans un acte que l’on devine comme quotidien. La première vision cinématographique de Stanley, en revanche, se fait dans le cadre d’une dispute, presque d’une bagarre, une situation violente donc qui met tout de suite en jeu son caractère « animal » dénoncé (et admiré ?) plus tard dans l’histoire par Blanche - cette mise en scène de Stanley est difficilement réalisable au théâtre, en ce qu’elle suppose un autre lieu et beaucoup de monde sur le plateau. Aussi le caractère cinématographique de

sur de nombreuses portes, signifie que c’est interdit aux chiens, mais quid des singes ? des chats ? des alligators ? des canaris ? A contrario : seuls les chiens sont interdits, donc je peux entrer avec mon singe. Analogie : les singes sont des animaux comme les chiens, donc je ne peux pas entrer. Il n'y a souvent aucune raison de préférer une technique à l'autre. Il faut recourir alors à des arguments moins formels. Chacun sait « la lettre tue, l'esprit vivifie » (saint Paul). C’est souvent vers

luzerne chez nous. Les racines de ce grand arbre vont chercher de l’eau en profondeur, ses feuillages font de l’ombre et fixent l’azote et le CO2. Ses feuilles constituent ensuite une litière pour le sol, où on peut planter, et du fourrage pour les animaux. On raisonne ainsi à l’échelle d’un écosystème plutôt que d’augmenter le potentiel génétique de chaque plante. » Ces pratiques ancestrales ne demandent qu’à être améliorées par la science, c’est le sens du message de la FAO en faveur du bio. De plus

Après si longtemps, le K, en admettant que l’histoire racontée par son père fût vraie, avait certainement renoncé à l’attaque. Mais Stefano resta médusé, le cœur battant la chamade. À deux, trois cents mètres du môle, en haute mer, le sinistre animal croisait lentement, sortant la tête de l’eau de temps à autre, et regardant vers le rivage comme pour voir si Stefano venait enfin. C’est alors que la pensée de cette créature hostile qui l’attendait jour et nuit devint pour Stefano une obsession

que connaît l’Europe du xie siècle au début du xive siècle. C’est le cas de la charrue à roue qui se diffuse dans les campagnes d’Europe du Nord à partir du xie siècle. Elle est maniable et relativement rapide grâce à la roue et à la traction animale, les bêtes de trait ne sont pas entravées grâce au collier d’épaules, la terre est ouverte assez profondément à l’aide du soc métallique. Des labours plus profonds permettent de tirer parti de la fertilité du sol, donc d’obtenir des récoltes plus

tribu, la seigneurie, la royauté, l’empire. L’Egypte a probablement connu, entre 10.000 et 5.000 av. J.-C., avant les rois, les « pharaons », une organisation sociale fondée sur une base ethnique, et pratiquant le totémisme, c’est-à-dire le culte d’un animal ou d’un végétal, considéré comme l’ancêtre et le protecteur du groupe. Les pharaons se sont appropriés ces forces magiques et ils ont établi la première monarchie, la première royauté, doté d’une administration structurée. La Basse Mésopotamie

un univers dans lequel on échappe à l’obscurité par les toits, en volant. Marc Chagall transcrit au travers de ses toiles son amour de la vie : le règne animal et la nature sont représentés sans hiérarchie. Michel Makarius dit que « Le hassid entretient des liens de complicité avec l’ensemble de la création, à commencer par le règne animale : d’où l’importance du bestiaire dans l’œuvre de Chagall »1 Quant à l’humain il prend essence dans les représentations corporelles de l’esprit, la personnification

quotidien réhabilité . . Conclusion . . 5 6 7 8 9 17 17 20 28 32 32 38 39 41 41 44 49 49 51 65 73 79 80 87 95 95 100 103 108 108 108 114 118 118 121 126 126 132 134 141 Bibliographie . . I. Œuvres de Yasmina Reza . . Théâtre . . Romans . . Récits . . Préface . . II. Études sur les œuvres de Yasmina Reza . . Ouvrages . . Articles . . Entretiens . . II. Ouvrages et articles généraux . . Ouvrages . . Articles . . III. Sitographie . . IV. Dictionnaires et Encyclopédies . . VI. Filmograhpie . . VII. Diffusion

Patrimoine, 6-8 janvier 1997, Palais de Chaillot, Paris, Fayard et Editions du patrimoine, 1998, pp.17-31, pp.27-28 33 Georges-Henri Rivière, “ L’écomusée, un modèle évolutif ”, in André Desvallées (textes rassemblés et présentés par), Vagues : une anthologie de la nouvelle muséologie (1971-1985), vol.1, Macon/Savigny, W//MNES, pp.440-445, 1992 34 Sur ce sujet, voir notamment le numéro 17-18 de la Revue Publics et musées consacré aux écomusées : l’ambiguïté du thème du miroir dans la définition de Georges-Henri