Anthologie Racisme

litigieux, au regard notamment de la « forme humoristique certes controversée d’une caricature », « ne vise pas la négation de droits fondamentaux et n’a pas d’égal avec des propos dirigés contre les valeurs qui sous-tendent la Convention tels que le racisme, l’antisémitisme [...] ou l’islamophobie » de sorte que « le dessin litigieux et le commentaire qui l’accompagne ne constituent pas une justification à ce point non équivoque de l’acte terroriste qui les feraient échapper à la protection garantie

Peut-on rire de tout en France aujourd’hui ? (Les « dérives de Stéphane Guillon sur France Inter) La France est le pays des libertés, mais de nombreuses polémiques montrent le contraire, certains humoristes, comme Stéphane Guillon, sont critiqués car ils caricaturent abondamment certains hommes politiques. Le rire a-t-il des limites dans la France d’aujourd’hui ? Nous allons vous présenter deux exemples de « dérives » de Stéphane Guillon sur la radio France Inter et les réactions des personnes

Travail sur le racisme. (Cf. "Raciste? Moi!" de A. Jacquard) 1) Quel est le point de vue de l'anthropologue sur la question du racisme? Quel est celui du généticien? L'anthropologue a voulu définir les différentes races humaines mais il n'est jamais parvenu au moindre accord sur les frontières à tracer entre celles-ci. De plus, une donnée essentielle lui manquait: la connaissance du processus par lequel les caractéristiques des individus sont transmises de parents à

qui se méfie des drôles" - On se moque des autres groupes auxquels on n'appartient pas - La nationalité peut être prétexte à rire ainsi que les religions, les ethnies… - Le rire peut ainsi devenir dangereux et grave, il peut parfois friser le racisme - "je ris de toi pour mieux t'achever, t'irriter…" Doc 3 : R. Tomàs, "Le Plaisir de rire", Multitudes, 2007/3, 30 (article de journal) - Le rire présent partout, lors d'un repas un dimanche = blagues faciles à l'humour gras - Rires complaisants

La tolérance, c’est accepter la différence des autres et de ne pas leur en porter préjudice. La tolérance c’est le respect de la liberté individuelle d’autrui bien trop souvent bafouée, piétinée, meurtrie. Cette intolérance n’est qu’une des maintes formes desquelles se vêtira la haine, engendrant dans son berceau les graines de la guerre, de la discorde et du chaos. Cette intolérance, loin d’être un phénomène nouveau, à subsister à travers les âges et les civilisations et s’étire dans une liste

dans les rangs hitlériens. B. Le début de la résistance. - Régime veut ensuite intervenir sur questions de foi, pr ajuster religion protestante au national-socialisme. Ex : élimination partie judaïque des Ecritures, faire du racisme un article de foi, etc… ⇨ début de résistance des pasteurs, avec la création de « l’Eglise confessionnelle », qui rivalise ac association « Chrétiens allemands » créée par le Parti. - Après élections truquées de l’évêque du Reich, résistance

Depuis des générations on parle de racisme, mais savons nous ce que le mot racisme signifie ? Dans une première partie nous verrons la définition du mot racisme. Puis dans une seconde partie nous verrons plusieurs histoires de personnes où le racisme intervient. Et enfin, dans une troisième partie nous parlerons des moyens utiliser pour combattre le racisme. I/La définitions du racisme. 1-Définition du dictionnaire. «1-Idéologie* fondée sur la croyance qu'il existe une hiérarchie* entre

d’infractions à la loi. Dans les cités, les jeunes s’énervent et manifestent leur colère en brûlant des voitures ou en créant des émeutes. Cette explosion de rage chez les jeunes est due à plusieurs facteurs comme le chômage, la misère ou même le racisme qui peut pousser certaines personnes de couleur assez fragile mentalement à devenir violents car ils n’arrivent pas à trouver leur place dans la société. . Ces jeunes ne sortent pas de la cité, donc ils se sentent abandonnés et pour eux la seule manière

Xénophobie et racisme 1.définitions : Xénophobie et racisme  : La xénophobie désigne les sentiments systématiques de crainte, d'hostilité, voire de haine envers les étrangers, c'est-à-dire de ceux qui n'ont pas la même nationalité que soi ou qui n'appartiennent pas au même groupe (culture, religion, langue...). L'étranger est perçu comme une menace pour l'équilibre de vie et, donc comme un ennemi, ce qui entraîne des réactions de peur ou d'hostilité, ou les deux. Dans les formes extrêmes, la

radicalisation de la violence Avec la confrontation Allemagne-Nazi / URSS -> front de l’est ou la guerre paru avec les EU / Japon dans le Pacifique. Désormais on a à faire a des combattant qui ne se perçoivent pas comme apparemment a la même humanité (racisme, idéologie, non respect de la convention de Genève) p.121 Ex : Katyn (film) On va vers une généralisation des actes de cruauté et des entreprises d’anéantissements. (Massacre de Katyn en Pologne ou il y a 15m d’officier exécuté par les soviétique)