Anticipation

et prévention L’anticipation: principe général La jurisprudence, notamment depuis les arrêts de 2002, a consacré la notion  « d’obligation de sécurité de résultat », laquelle nécessite de la part de tous les employeurs une anticipation des dangers. Or, qui dit anticipation, dit prévention. La partie IV du code du travail fixe des règles générales de prévention très explicites qui s’adressent à toutes les entreprises. Prévenir, former et organiser L’employeur doit « prendre les mesures nécessaires

finale des ménages, des exportations et des... investissements (Doc 2). Y-a-t-il une relation entre les anticipations des entrepreneurs sur les variations de ces différentes composantes de la demande et l’achat de nouveaux biens d’équipement durable, de construction et de logiciels ?
Avant d’investir, les entreprises essayent d’évaluer l’évolution de la demande à long terme. Si les anticipations de hausse de la demande sont passagères, elles préfèrent augmenter le taux d’utilisation de leurs capacités

quand la demande de monnaie devient instable, ce qui réduit fortement la corrélation entre inflation et monnaie à court terme. En théorie, le ciblage d'inflation permet en revanche, par sa simplicité et grâce à une meilleure canalisation des anticipations d'inflation de renforcer la crédibilité et la transparence de la banque centrale. Il suppose néanmoins que les autorités mettent en place les arrangements institutionnels nécessaires au respect de la cible. Pour cerner le thème du ciblage d’inflation

des taux d’intérêt en fonction de la maturité. Cette courbe est croissante si le taux d’intérêt à long terme est supérieur au taux d’intérêt à court terme (et inversement). Généralement la courbe des taux est croissante 1°) La théorie des anticipations Les taux d’intérêt à long terme est égal à la moyenne des taux d’intérêt anticipé au cours de la vie de l’obligation de long terme. Si une obligation à une durée de 5ans et les taux d’intérêt à court terme sont de 3%, le taux d’intérêt à long

individu est à l’équilibre si les conséquences de ses choix (ex post) sont conformes à ses anticipations (ex ante). ü Une économie est en équilibre si et seulement si les conséquences qui découlent des actions des participants pour réaliser leurs projets individuels sont conformes à leurs anticipations. Modification des anticipations et des actions Anticipations Pas de raison de modifier ses anticipations ni ses actions Action Résultats Résultat réalisé ≠ résultat anticipé Résultat réalisé

de temps court pendant laquelle les investissements n’auront d’effet que sur la période d’après. Propension marginale à consommer : part moyenne du revenu d’un ménage consacré à la consommation. Demande effective : c’est la somme des anticipations, en matière de consommation future et d’investissement futur, qui détermine le niveau de production réel. Salaire nominal : c’est le salaire perçu par unité de temps. Celui inscrit sur la fiche de paie. Salaire réel : c’est le salaire qui

 Les
décisions
sont
des
anticipations
 Les
entreprises
imaginent
ou
essaient
de
prévoir
les
conséquences
des
décisions
qu’elles
 prennent.
 Elles
 disposent
 d’un
 capital
 monétaire
 qu’elles
 souhaitent
 utiliser
 en
 comparant
 les
 rendements
 éventuels
 si
 ce
 capital
 était
 transformé
 en
 moyens
 de
 production
ou
s’il
était
placé
auprès
d’institutions
financières.
  Leur
 comportement
 est
 conventionnel
 (explication
 de
 la
 formation
 des
 anticipations)
 La
convention
renvoie
à


négative (représentée en ligne discontinue) * Une courbe plate (ligne droite discontinue) * Voir schéma P 186 du fascicule Connaissances Economiques) I. a/ Analyse de la pente positive : Une courbe à pente positive est associée à des anticipations d’accroissement de l’inflation traduisant des projections d’accélération de la croissance. En fonction de l’environnement économique du moment, cette courbe positive peut traduire : Soit un dérapage du budget de l’état, alors amené à emprunter

effets à long terme. La politique monétaire a des effets de surprise sur les agents. Cet effet de surprise est absolument indispensable pour que la politique monétaire ait des effets sur la sphère réelle. Les agents se rappel du passé et forme des anticipations sur la croissance économique et sur l’évolution des prix. A court terme, les agents réagissent à une croissance de la masse monétaire non anticipée. Les agents ont trop de monnaie par rapport à ce qu’il prévoyait et s’en débarrasser en dépensant

politique au moment ou ils choisissaient leur consommation et leur epargne, par exemple l'integralite de la suite des imp^ots dont ils devront s'acquitter au cours du temps, et non pas seulement l'imp^ot courant. A moyen terme, les prix (et les anticipations de prix) reagissent aux desequilibres eventuellement observes sur les marches (mais le stock de capital reste xe en principe) et le modele AS-AD (ore globale / demande globale) suggere que la politique budgetaire perd de son ecacite