Antigène

rougeurs aux fièvres,… La deuxième étape est celle des lymphocites. Il y en a deux types. Les lymphocytes B et les lymphocytes T. Les lymphocytes B (ou globules blancs) se chargent d’apprendre les antigènes du microbes. Ils se forment dans la moelle osseuse et lorsqu’ils ont reconnu un antigènes, ils se transforment en plasmocytes et produiront des anticorps ayant une bonne mémoire. Lorsque ils rencontreront un microbe, ils pourront l’éliminer grâce aux anticorps produits. Les lymphocytes T sont

sont des leucocytes (globules blancs) qui ont un rôle majeur dans le système immunitaire. Il en existe deux types et chacun a une fonction bien précise : - Les lymphocytes B : ils fabriquent des anticorps *. Ils reconnaissent l’ennemi, appelé aussi antigène *, et fabriquent un anticorps qui lui est spécialement adapté. Il existe donc plusieurs sortes d’anticorps et chacun d’eux joue un rôle précis pour nous garder en bonne santé. Ce sont des gardiens qui nous empêchent d’être malades. - Les lymphocytes

distinction entre bactéries à Gram-négatif ou positif repose sur une différence de composition pariétale. La paroi joue un rôle essentiel dans la division cellulaire. Certaines de ces couches sont le site de nombreux déterminants antigéniques majeurs (antigènes O) tel que le lipopolysaccharide propre aux bactéries à Gram-négatif qui est une endotoxine puissante. La paroi ne constitue pas une barrière sélective comme la membrane: elle est perméable chez les bactéries à Gram-négatif. Sur la base d’une

rouges sont porteurs. Le GROUPE O constitue un cas à part car il ne possède aucun antigène d’où son nom. C’est un moyen mnémotechnique pour ce rappeler que ce groupe possède zéro antigène. Le GROUPE A apparaît lorsque au sucre de base vient s’ajouter un autre sucre le N- acétyl – galactosamine = le groupe A. Le GROUPE B apparaît lorsque le sucre de base est combiné à un autre sucre le D – galactosamine ou antigène B = groupe B. Le GROUPE AB combine le sucre de base et les deux sucres qui caractérisent

immunitaire, capable de distinguer nos propres cellules et molécules, des éléments étrangers (ou qui le sont devenus comme les cellules cancéreuses) appelés antigènes. Ces défenses immunitaires sont capables de les éliminer par deux types de réactions immunitaires : innées et acquises. • Les réactions innées, effectrices lors de la 1ère rencontre avec un antigène, sont caractérisées par la phagocytose. Une cellule phagocytaire, un phagocyte (macrophage, monocyte, polynucléaire) va absorber l’élément étranger

Systémiques : * Dans 90% des ar : origine endogène. * Septicémie : 10 à 15% des septicémies * Diagnostic : * Produits pathologique divers * Examen direct * Culture 24H * Sérologies (recherche des antigènes et des anticorps) * Prophylaxie : * Prélèvements systématiques (bouche nez anal chez le patient immunodéprimé) * Désinfection soigneuse de la peau avant de faire une injection intraveineuse. * Décontaminer le tube digestif

volume que celui qui est à remplacer, en bon état fonctionnel et le plus compatible possible. La compatibilité tissulaire: C’est quand le donneur et le receveur ont les mêmes tissus biologiques. Chaque personne possède des antigènes et plus le donneur et le receveur ont des antigènes en commun, plus le pronostic sera meilleur. Si il n’y a pas compatibilité tissulaire, il y a rejet (échec de la greffe). Le rejet : Le rejet est un phénomène naturel. C'est la destruction, après sa reconnaissance, de tous

12VTSCOMEAG1 1 Partie I (8 points) Immunologie Les anticorps sont des agents du maintien de l’intégrité du milieu extracellulaire. Ils sont les effecteurs de l’immunité acquise et sont spécifiques d’un antigène donné (élément étranger à l’organisme). Expliquer comment l’introduction d’un antigène dans l’organisme conduit à la production d’anticorps spécifiques puis à la formation et à l’élimination de complexes immuns. La réponse, qui inclura une introduction, un développement structuré et une

intervient dans les heures suivant la transplantation. Il est dû à la présence d’anticorps préexistant chez le receveur et dirigés contre les antigènes portés par le greffon. Ce rejet semble être rare dans les transplantations cardiaques ou hépatiques. • Le rejet aigu cellulaire : L’origine de ce rejet est dû aux lymphocytes qui reconnaissent les antigènes du donneur, ils prolifèrent, envahissent le greffon et le détruisent. Il survient dans moins de 20% des transplantations. Il intervient dans

pour le témoin négatif. 2) Témoin positif : Préparer 9 dilutions en cascade de « 2 en 2 » dans du tampon carbonate/bicarbonate. La solution mère qui vous est donnée est la dilution No.1 du témoin positif (soit 10 tubes en total). 3) Pour chaque antigène qui vous est donnée, effectuer aussi 9 dilutions en cascade de 2 en 2 dans du tampon carbonate/bicarbonate. La solution mère qui vous est donnée sera la dilution No.1(10 tubes en total par Ag). 4. DEPOT DES SOLUTIONS SUR PLAQUE DE MICROTITRATION