Antigone L Intrigue Du Monologue

l’histoire 19ème siècle : Accent mis sur l’intrigue (histoire -> omniscience -> chronologie) 20ème siècle : Accent mis sur les personnages, nouvelle psychologie romanesque * Développement du récit à « point de vue » -> narration interne, monologue intérieur (discours à la première personne dans lequel un personnage pense tout haut au gré de sa conscience) * Renoncement à l’omniscience, mélange (niveau langue, genre,…) * Investissement de la part du lecteur car pas de chronologie

des exemples : voir guide méthodologique. © Hatier Paris 2006 C O R R I G É Nous vous proposons un plan détaillé que vous pouvez vous exercer à rédiger en y incluant des exemples. Introduction Paragraphe d’amorce : L’acteur a toujours intrigué, par son originalité, son côté artiste et protéiforme (dans le roman : Le Capitaine Fracasse). Dans le théâtre même, on trouve beaucoup d’exemples de personnages d’acteurs. Le plus souvent, présentés en train de jouer sur scène → exemples de mises

Lectures complémentaires : Euripide, extraits de Médée (431 av. JC) et Anouilh, Antigone (1944) Antigone et Médée, révolte ou folie ? Du problème de l’identification au personnage révolté. Shakespeare Hamlet (1603), extrait de l’acte III, scène 2 : le théâtre baroque au service de la révolte. Molière, le Misanthrope (1666), extrait de l’acte I, scène 1 : la révolte d’un anti Don Juan. Ionesco, Rhinocéros (1959), monologue final : de la difficulté de la révolte. Antonin Artaud, « En finir avec les chefs-d’œuvre »

argument peut s'appuyer sur les comédies de Molière, à la fois inspirées des farces antiques (on lui a reproché de « plagier » des scènes entières de la Marmite, par exemple) et de la commedia dell arte, venue d'Italie. Molière exploite les mêmes intrigues, en les complexifiant, les mêmes gestes et situations, coups de bâton, mari cocu, scènes de quiproquo. Les fourberies de Scapin ou George Dandin comportent des scènes farcesques : la scène des coups de bâton de Scapin, la plainte publique du cocu

autour d’une œuvre littéraire, romanesque et dramatique en particulier : Module I : La Boîte à Merveilles d’Ahmed Sefrioui. Module II : La Planète des singes de Pierre Boulle. Module III : Le Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo. Module IV : Antigone de Jean Anouilh. Des contenus inhérents à la langue, aux activités orales / Travaux encadrés et à la production écrite figurent également dans cet ouvrage. Nous laissons au professeur le soin de s’en inspirer pour élaborer ses séquences didactiques

dépossède de cette pitié. Les auteurs. Eschyle (525-456 av. J-C) : c'est le fondateur de la tragédie grecque. Une pièce : L'Orestie. Sophocle (495-406 av. J-C) : Il s'attache à montrer les drames qui naissent des passions humaines. Deux pièces : Antigone, Œdipe-Roi. Euripide (480-406 av. J-C) : Il a un goût pour l'horreur et le pathétique. Une pièce : Hippolyte. Le théâtre Elisabéthain. Mise en contexte. Le théâtre Elisabéthain se développe en Grande-Bretagne sous le règne d'Elisabeth 1er

modèles. Garnier reprend souvent plus d'une pièce antique. Par exemple dans Antigone il ne reprend pas que celui de Sophocle mais aussi celle de Sénèque. La partie beaucoup plus importante de la légende est sur la scène. Malgré la présence des chœurs, Garnier met en place énormément d'actions. La pièce Antigone est extrêmement construite. Intentions actuelles malgré les modèles antiques. La haine des deux frères dans Antigone, fait penser à la lutte entre deux parties du royaume : les catholiques

|Dissertation : Pourquoi décrire un paysage en poésie ? | |- Apolinaire, « Pluie », Poèmes épistolaires |Invention : Imaginez le monologue intérieur de la femme à qui s’adresse le poète, Pierre Reverdy (texte 2). | |NATHAN Interro des lycées 2008 |

de L’École des femmes de Molière est à rapprocher de Cyrano de Bergerac de Rostand pourtant écrit deux siècles plus tard. Tous les deux rapportent les attitudes caractéristiques de publics typés dans des représentations jouées au Siècle classique. Antigone d’Anouilh et Le Soulier de satin de Claudel, pièces bien différentes dans leurs intentions puisque la première est une relecture de la dramaturgie antique à l’époque moderne, tandis que la seconde retrouve le foisonnement du baroque, se rejoignent

dialogue où les personnages se répondent vers par vers et qui donne un style vif à l’échange. Le monologue. Il manifeste la présence d’un personnage seul sur scène, qui se parle à lui-même, ou éventuellement à quelqu’un d’absent, pour exprimer son trouble ou un dilemme. Il permet également au spectateur de connaître les pensées du personnage. Les stances. Elles sont différentes du monologue par leur aspect poétique et traduisent l’émotion du personnage.   L’aparté. Ce sont des propos brefs