Antigone La Révolte

Proclamé roi d'Epire à 23 ans, ce parent éloigné d'Alexandre le Grand sera renversé en 302 avant Jésus-Christ par une révolte sans doute provoquée par Cassandre. Il se joindra alors à Antigone et se distinguera, aux côtés de Démétrios Poliorcète, à la bataille d'Ipsos en 301 avant Jésus-Christ. Envoyé comme otage à Alexandrie à la suite de la réconciliation des diadoques et de Démétrios Poliorcète en 298 avant Jésus-Christ, Pyrrhus épousera la fille de Ptolémée Ier Sôter, roi d'Egypte, qui lui fournira

inaccessible, un capable de supporter un amour qui ne soit plus parfait. MADEMOISELLE DE MAUPIN, Théophile GAUTIER CONTEXTE : publié en 1835 en 2 volumes. Il semblerait que Gauthier se soit inspiré d’un personnage réel : une cantatrice du XVIIe siècle en révolte, contre la morale, de son temps, qui, vêtue en cavalier, manier les armes et se battaient en duel. Toutefois, Gauthier n’a gardé de ce mythe Maupin, que l’idée du déguisement et sa vie aventureuse est libre. Mademoiselle de Maupin tient une place

gémissements rituels des Thébains, intervient Antigone. Commentaire Le personnage d'Étéocle, roi juste et en même temps meurtrier impitoyable, chez qui la nécessité de sauver la ville devient un acte coupable à cause de la haine qu'il nourrit envers son frère, est le mieux campé de la tragédie à laquelle a été donné un dénouement apocryphe, dans lequel les honneurs de la sépulture sont refusés à Polynice et qui fut sans doute dû à l'influence de l'’’Antigone’’ de Sophocle. C’était la dernière pièce

texte antique de Sophocle. L’auteur exprime, grâce à Antigone qui s’oppose aux lois de son oncle Créon, roi de Thèbes, la révolte et le refus d’obéissance. Elle risque de braver la mort dans le but de donner une sépulture à son frère. « Moi aussi j’aurai bien voulu ne pas mourir ». Antigone sait dès lors du début de la pièce que son sort est scellé en défiant la société. Son oncle se verra dans l’obligation de lui infliger une sentence. Antigone se pendra dans la grotte où Créon l'aura fait emmurer

plus de sens, par le jeu des images, des connotation, des procédés sonores …. Jean Anouilh a travers sont texte d’ ¨Antigone¨ nous montre l’opposition de la loi juridique a la loi morale . Créon veut l’ordre dans le monde et le respect des lois alors qu’au contraire Antigone a plus le sentiment d’orgueil et de famille. Du fait qu’Antigone a enterré sont frère, Créon est révolté, en colère car ce n’est pas proclamé dans la loi .L’auteur utilise le dialogue et des réponses courtes pour montrer

prises avec la fatalité, avec la volonté des dieux. Deuxième partie : la tragédie classique ou l’admiration des Anciens Le 17e siècle et ses auteurs s’inspireront beaucoup de l’Antiquité et de ses sujets tragiques. Des grands thèmes comme la révolte ou la fatalité reviennent en force durant ce siècle, directement puisés de la période antique. Aussi, on conserve des grands tragédiens comme Euripide ou Sénèque le langage poétique et l’action simple. Cependant, la tragédie du siècle classique doit

d’Antigone et révolté contre son père le roi Créon qui va faire tuer sa futur femme en l’enterrant vivante dans un puits. Hémon appartient à une famille royale et a l’embarrât du choix pour séduire une femme, lors d’une soirée il a rencontré la sœur d’Antigone « Ismène » bien plus belle et plus jolie que sa petite sœur maigre et renfermée mais il va demander la main d’Antigone et non celle de Ismène comme le voulait l’histoire. Hémon va mourir tragiquement en effet sa femme Antigone fut condamnée

d’exception. Il se comporte avec héroïsme face à une situation sans issue: un destin fatal, cruel, inexorable, qui se met en marche et ne peut être arrêté (Oreste: “Je me livre en aveugle au destin qui m’entraîne” Andromaque). Comme explique Anouilh dans Antigone la tragédie semble une machine qui démarre pour une cause insignifiante (“On donne un petit coup de pouce pour que cela démarre”) et se déroule en privant l’homme de tout espoir ou toute liberté. Le héros tragique marche alors inlassablement vers

puis débute une carrière publicitaire. Mais sa rencontre avec les pièces de Jean Giraudoux sont une révélation : il vivra par et pour le théâtre. Après avoir été secrétaire de Louis Jouvet jusqu'en 1932, il sort une première pièce, 'L' Hermine'. Antigone (relecture moderne de la pièce de Sophocle) est la plus célèbre. Dès lors, il ne cesse de travailler et de rencontrer le succès auprès du public, malgré des critiques parfois sévères. Il a de plus participé à vingt-deux films, traduit sept pièces

son père, de peur de devenir parricide. En quittant le temple de Delphes, il porte ses pas cote de la Béotie. Sur la route, dans un chemin creux, un étranger, un inconnu, d’un air arrogant lui enjoint de céder le passage. La fierté d’Œdipe se révolte ; il s’y refuse. L’étranger, l’inconnu, menace de frapper, mais prévenu par la promptitude de son adversaire, n’échappe pas à un coup mortel. L’étranger, l’inconnu, expire aux pieds d’Œdipe. L’étranger, l’inconnu. C’était Laïus, c’était son père