Antigone Réécritures

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sur une œuvre, que pour les classes de Premières ou de Secondes car les élèves pourront le rapprocher de l'objet d'étude comédie/tragédie et comprendre les liens entre ces deux genres ainsi que leurs caractéristiques. Sujet : En évoquant la réécriture du mythe d'Œdipe dans la Machine Infernale, Jean Cocteau écrit qu'il a voulu faire « une grosse farce ». Quelles sont selon vous les différentes fonctions du comique dans cette tragédie ? Analyse du sujet : - Question ouverte, plan analytique

combattre les Troyens). Ainsi se termine la terrible histoire dite des Atrides. Première L : dissertation sur les réécritures Sujet : Quelles sont les motivations qui peuvent pousser un auteur à réécrire une histoire déjà consacrée par la tradition ? Vous répondrez à cette question en vous référant à La Guerre de Troie n’aura pas lieu de J. Giraudoux. Rappel de quelques réécritures de mythes antiques dans le théâtre français du XXème siècle : • Cocteau, La Machine infernale = 1934 (mythe d’Œdipe)

guerre de Troie. On voit de dégager à travers ce passage la vertu du théâtre comme lieu de réflexion et d'éducation du peuple où les thèmes de la guerre et de la condition humaine sont mis en réflexion. De même une nouvelle théâtralité émane de la réécriture ainsi que de l'usage de l'argumentation comme centre de l'action dramatique, tournée vers la parole. I- Le théâtre comme lieu de réflexion. Giraudoux accorde au théâtre une mission historique et sociale qui vise à éduquer les spectateurs, il

Antigone de Jean Anouilh Mise en scène de : Nicolas Briançon Assistante à la mise en scène : Catherine Gondran Production : Théâtre Marigny Créée et filmée : au Théâtre Marigny en mai 2003 Thèmes Cinéma, littérature, musique, théâtre Avec : Barbara Schulz, Robert Hossein, Bernard Dhéran, Pierre Dourlens, Julie Kapour, Elsa Mollien, Julien Mulot, Bruno Henry, Claudia Fanni, Dominique Roncero, David Loyola Décors : Pierre-Yves Leprince Costumes : Sylvie Poulet et Martine Mulotte Eclairages

pouvez les situer historiquement, par rapport aux mouvements littéraires, culturels et politiques de leur époque ; ensuite vous faire connaître les auteurs du programme de 1ère ( axes à retenir : poésie, théâtre, autobiographies, argumentation et réécritures ). Vous n’êtes pas obligés de lire un livre intégralement, vous pouvez sauter quelques passages mais il faut connaître ces œuvres et être capables de dire pourquoi elles sont intéressantes, d’un point de vue littéraire. XVIème siècle :

fiche de Mme RÉALINI – professeur de lettres au lycée Descartes – 78180 COURS LES RÉÉCRITURES 1ère L Qui a une certaine culture littéraire s'aperçoit vite qu'un nombre non négligeable d'œuvres sont nettement inspirées de celles d'auteurs "anciens", ou sont des reprises et adaptations de thèmes déjà traités, de personnages ou d'histoire déjà connu(e)s. Le phénomène de « réécriture » n'est pas nouveau, il était même ouvertement prôné par les Classiques, qui soutenaient qu'on n'apprend

dans Dom Juan de Molière, avec la didascalie initiale, on apprend qu'Elvire est la femme de Don Juan qui est lui-même le fils de Don Louis. Les didascalies externes sont également précieuses car elles indiquent quel décor sera utilisé, comme dans Antigone de Jean Anouilh, où la première didascalie du prologue révèle un décor neutre composé de trois portes semblables, ou encore pour décrire les costumes comme dans la Nuit de Valognes d’Éric-Emmanuel Schmitt, où on sait que la Comtesse entre en habits

parcours. Portrait comme type : peut représenter un type social (aristocrates, mineures, …) ou de tempérament (vertu, traître, …). Portrait comme mythe : personnage mythologique reprit par les auteurs dans le cadre de l’intertextualité : réécriture de texte. (Antigone d’Anouilh) III. La construction du personnage NARRATEUR : Qui sait ? Omniscient : 3ème personne Connait le déroulement de l’histoire, le passé, le présent et les sentiments du personnage. Externe ou témoin Spectateur. N’a

la tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle. Anouilh a lui-même organisé ses œuvres en séries thématiques, faisant alterner d'abord Pièces roses et Pièces noires. Les premières sont des comédies marquées par la fantaisie comme Le Bal des voleurs (1938) alors que les secondes montrent dans la gravité l'affrontement des « héros » entourés de gens ordinaires en prenant souvent appui sur des mythes comme Eurydice(1941), Antigone (1944) ou Médée (1946). Après la