Antiphrase

damnation éternelle, vrais croyants etc) « sottise et bénédiction » + allégorie à l'église : «Palais de la stupidité » Une dénonciation de la censure qui permet une lutte contre l'ignorance des phrases qui contredisent la logique des Lumières (antiphrase « pernicieux usage de l'imprimerie ») + « des livres d'histoire dégradés du merveilleux qui entretient la nation dans une heureuse stupidité » « ne jjamais lire aucun livre » + il faut soulever la violence des termes « perniceux » « stupidité »

confronte à l’inquisition. Ses thèses sont : la philosophie optimiste est absurde et la religion catholique a des pratiques abominables. Voltaire ridiculise par l’ironie « belle inquisition » et critique l’autodafé « les sages du pays », c’est une antiphrase. Il fait exprès de ne pas donner d’explications et inverse le rapport cause/conséquence, au lieu de faire un autodafé pour punir les coupables, on arrête des sois disants « coupables » pour faire un autodafé pour « arrêter de faire trembler le

Montesquieu, L’Esprit des lois Montesquieu = philosophe des Lumières Double énonciation du texte : 1/ En apparence un esclavagiste odieux : défense de l’esclavage 2/ En réalité Montesquieu : dénonce l’esclavage - antiphrase ! Problématique : Comment Montesquieu ridiculise-t-il l’argumentation esclavagiste ? Comment la présentation ironique des arguments de l’adversaire les détruit en fait automatiquement ? (En quoi s’agit-il d’une parodie de discours argumentatif) |Plaidoyer apparent

d’Orgon semble réunie pour subir tous ensemble leur triste sort. Ils se savent trahis, condamnés et vaincus par l’imposteur : Rage d’Orgon : ch. lex. de la trahison (traître, scélérat, trahison, imposteur…)Rage de Cléante : antiphrase V 1869 Colère de Marianne : antiphrase V1873 Trame de la pièce, leitmotiv résumé par l’exclamation d’Élmire V1885 Orgon laisse éclater l’infamie de Tartuffe en lui reprochant son retournement contre son bienfaiteur avec la question rhétorique V1877 Tartuffe, insolent

ordre des mots de la phrase etc. En voici quelques unes : - Les figures de la substitution (l' expression attendue est remplacée par une autre) : métaphore, euphémisme, synecdoque, métonymie, antiphrase, périphrase... - Les figures de l' opposition (s' appuient sur un contraste) : antithèse, oxymore, antiphrase... - Les figures de l' amplification (il y a insistance, exagération) : hyperbole, gradation, anaphore... - ou, au contraire, les figures de l' atténuation : euphémisme, litote... - Les figures

le perçoit sous un état différent. D’un coté, avec Nelligan, l’inspiration et la perception qu’il a de l’amour se fait ressentir au niveau physique. Nous pouvons voir dans cette antiphrase la description d’un amour d’un point de vu physique « Elle est hautaine et belle, et moi timide et laid »(l.5). Dans cette antiphrase, on oppose les termes «belle » et « laid », On fait un rapprochement entre ces deux termes opposés pour montrer de façon évidente la différence au niveau physique de l’homme amoureux

Emploi d'une hyperbole « rien n'était si beau » Énumération d'instruments de musique et champ lexical de la musique. Utilité de la guerre (métaphore médicale) b- Un traitement ironique de la guerre qui montre le point de vue de l'auteur Les antiphrases : Voltaire dénonce atrocité de la guerre. Oxymores : « boucherie, héroïque » + « héros » Les euphémismes : «  à peu près », « quelques » déshumanisation : vie qui ne vaut pas grand chose. C- Un tableau réaliste et pathétique de la guerre Détails

titre de baron est l’un des plus bas dans l’échelle de l’aristocratie ó le baron est prétentieux car il se fait appeler monseigneur, or ce titre est réservé aux évêques, aux ducs et aux princes. ó ironie : « un des plus puissant » l. 11 = antiphrase et hyperbole B) Une puissance illusoire Le discours de Voltaire est faussement valorisant. L’éloge apparente est en fait une ironie de Voltaire. ó« son château avait une porte et des fenêtres » l. 12 = signe de puissance ƒ ironique car tous

l’avenir ou irréel du présent * A travers présentatif « voici » l.1, et la 1ère pers, Montesquieu se fait avocat. L’argumentation est mise en place avec les arguments esclavagistes. * Il prend don le pt des esclavagistes * L9 à 10 : - antiphrase * termes hyperboliques qui insistent * Champ lex de la spiritualité : «esprit » ; «dieu » ; « âme » * Opposition « bonne »/ « noir » : argument religieux (absurdité) * Opposition « esprit ; âme » diff de « corps » Un essai ironique :

à ma vue ;/ Voilà par quels exploits il sut se couronner » (v.14-15) Anaphore du présentatif « voilà » Surenchère, amplification du portrait cruel de Pyrrhus esquissé par Andromaque. « exploits » : ironie (antiphrase) d’Andromaque. Le mot « exploits » désigne par une antiphrase douloureuse l’atrocité de ses crimes. Ce serait à ce monstre qu’Andromaque devrait sacrifier la mémoire des siens. -Ce portrait de Pyrrhus fait de lui l’incarnation de la cruauté impitoyable qui a décimé la famille