Antirétroviral

l’épidémiologie, la physiopathologie, les manifestations cliniques et les modes évolutifs de l’infection par HIV (B). 20, 45, 77, 94, 96, 101, 147, 164, 199, 202, 203, 291, 295, 303, 314, 330, 334, 343 2.18.5. Connaître les cibles de la thérapeutique antirétrovirale actuelle et les perspectives en exploration (B), 85 2.18.6. Connaître les bases virologiques des différents examens utilisés pour le diagnostic et le suivi thérapeutique des sujets infectés par HIV (B), 4 2.18.7. Connaître leurs indications

1998-1999 : 51) Les nouvelles combinaisons d’agents antirétroviraux constituent des traitements 100 à 1000 fois plus efficaces que les premières thérapies. Elles permettent de réduire rapidement l’incidence des infections opportunistes, de prolonger la vie des personnes et d’améliorer leur qualité de vie. Toutefois, malgré leur succès, ces médicaments ne sont pas miraculeux, et reste l’apparition de résistances nouvelles aux antirétroviraux ainsi que la présence d’effets secondaires sérieux. (Lambert

9 % de la population globale en 2003 à 85 % en 2008. * 310 millions d'enfants ont été vaccinés – soit 4 fois le nombre d'enfants aux États-Unis. * Près de 2 millions d'adultes et d'enfants infectés par le VIH ont reçu des traitements antirétroviraux. * Achat et/ou distribution de 813 millions de préservatifs pour la prévention du VIH et des maladies sexuellement transmissibles. * 23 000 établissements de soins construits, rénovés ou équipés, et 1,8 million d'agents de santé formés pour

à 14 ans – CIBLE 6.B - D’ici à 2010, assurer à tous ceux qui en ont besoin l’accès aux traitements contre le VIH/sida • Indicateurs – 6.5. Proportion de la population au stade avancé de l’infection au VIH ayant accès à des médicaments antirétroviraux – CIBLE 6.C - D’ici à 2015, avoir maîtrisé le paludisme et d’autres maladies graves et commencer à inverser la tendance actuelle • Indicateurs – – – – – 6.6. Incidence du paludisme et taux de mortalité dû à cette maladie 6.7. Proportion

carrière…) après votre hospitalisation ? -Souhaitez-vous fonder une famille ? (si pas déjà fait)candidose, cancer, pneumonie…) ? - metier suite a son infection…) - consomme-t-il des substances illicites (drogues, injections…) - prend t-il ses ttt antirétroviraux - - connait-il les conséquences du VIH sur son organisme ? - gere-t-il son ttt? - loisir et centre d’interet? - comment vivez vous votre maladie? -Le patient sera capable de … à l’issu de l’éducation thérapeutique (gestuel / auto-soins): ● comprendre

il est recommandé d’associer un traitement par amikacine (15 mg/kg/j) ou par moxifloxacine (400 mg/j), compte tenu de sa bonne activité in vitro sur les mycobactéries. N.B. : La rifabutine a de nombreuses interactions avec le traitement antirétroviral nécessitant des adaptations de doses et dosages plasmatiques. Traitement d’entretien (ou prophylaxie secondaire) Il repose sur l’association de clarithromycine (1 g/j) et d’éthambutol (15 mg/kg/j). L’azithromycine (600 mg/j) est une alternative

Infections à mycoplasme 1008 William M. McCormack 160 Infections à Chamydia 1011 Walter E. Stamm SECTION 11 MALADIES VIRALES : GÉNÉRALITÉS 161 Virologie médicale 1019 Fred Wang/Elliott Kieff 162 Chimiothérapie antivirale (hors médicaments antirétroviraux) 1027 Lindsey R. Baden/Raphael Dolin SECTION 12 INFECTIONS DUES AUX VIRUS À ADN 163 Virus herpès simplex Lawrence Corey 164 Infections à virus varicelle-zona Richard J. Whitley 165 Infections à virus d’Epstein-Barr, dont la mononucléose infectieuse

programmes de lutte contre le VIH/SIDA. Certains de ces fonds colossaux sont consacrés à l’achat de milliers de préservatifs pour assurer la protection des populations humaines ayant une activité sexuelle. D’autres sont octroyées à la subvention des antirétroviraux (ARV) capables de maintenir, le plus longtemps en vie, les personnes séropositives. Quand elles ne sont pas utilisées à ces fins, les ressources financières sont allouées soit à la recherche scientifique en vue de trouver un vaccin 19 capable

d’une négociation en continu. La première étape de la négociation consiste à choisir ensemble le projet de soins qui convient le mieux au patient, à C. TOURETTE-TURGIS, M. REBILLON. «Accompagnement et suivi des personnes sous traitement antirétroviral». Paris, Comment dire, 2001, 139 pages. Médecin (question ouverte) : Que savez-vous sur les traitements qui existent pour la maladie d’Alzheimer ? Patient ou aidant : Mais la maladie d’Alzheimer est incurable. Il n’y a rien à faire ! Médecin

2000 avec, notamment, la création du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose, ainsi que le Plan d’urgence du président américain pour le sida (PEPFAR). Ces évolutions ont rendu possible l’extension de l’accès aux antirétroviraux (ARV) à partir de premières initiatives « pilotes » menées à la fin des années 1990, notamment sous l’égide de l’ANRS, au Sénégal et en Côte d’Ivoire, visant à montrer les défis multiples mais surtout les bénéfices en termes de santé publique