Antisémitisme

d’exclusion envers les israélites. L’année 1940, marque l’avènement d’un antisémitisme français basé sur la discrimination professionnelle, avec des mesures destinées à hâter le départ des Israélites étrangers, une culturelle et nationale, on assistera même à une certaine indulgence de Vichy, avec les familles d’anciens combattants juifs, ou établie en France de longue date. Tant que Vichy a les mains libres, c’est un antisémitisme catholique et national qui inspire sa politique. Le système d’exclusion

Céline publie deux pamphlets très marqués par le racisme, soit Bagatelle pour une massacre et l'école des cadavres. Il commente : “ Je viens de publier un livre abominablement antisémite. ” Ces livres connaissaient un énorme succès, il y étalais un antisémitisme radical, mais également un désir de 'créer' une armée franco-allemande et une apologie Hitlérienne qui n'aurait aucune visée sur la France, il dit, en parlant d'Hitler, qu'il “serait son pote”. Suite a la défaite et l'occupation de la France, Céline

régimes. L’Europe va mal alors il faut trouver un responsable. Les juifs deviennent alors un bouc émissaire puisqu’ils sont d’une race à part qui à des caractères ineffaçables, tel que le goût de l'argent et le mépris du patriotisme. Le terme antisémitisme est une traduction de l’allemand Antisemitismus, mot inventé en 1879 par le journaliste Wilhelm Marr dans un pamphlet antijuif. Ce terme est impropre pour exprimer l’hostilité au peuple juif puisque le mot sémite ne s’applique qu’à des langues

leur patrie ancestrale ; que des Juifs achetèrent des terres et commencèrent à y établir la communauté juive; qu’ils rencontrèrent une opposition violente et grandissante de la part des Arabes palestiniens, opposition provenant sans doute de leur antisémitisme inhérent ; que les sionistes furent alors obligés de se défendre ; et, que d’une manière ou d’une autre, cette situation a perduré jusqu’à aujourd’hui. Le problème avec cette explication, c’est qu’elle est tout simplement fausse. Nous allons

nationalistes des journalistes, écrivains, dessinateurs des hommes politiques 2. Quels sont les arguments des "antidreyfusards" ? la défense de l’armée passe avant tout : il faut éviter d’affaiblir la France un juif est un traître en puissance => antisémitisme Le rôle de la presse. 1. Quelle est la tendance générale de la presse ? Elle est antidreyfusarde 2. En dehors des grands quotidiens nationaux, que peut-on dire de tous les autres titres des journaux ? Ce sont des journaux d’opinion

personnages affreusement mutilés, Pragerstrasse en est un exemple. Dix dresse ici un bilan de la guerre : il évoque un passé douloureux et mortifère (les mutilés), un présent fait d’indifférence (les passants sans visage), un avenir inquiétant (antisémitisme, extrême droite, dictature) En effet, la Première Guerre mondiale accouche du fascisme (défini par une réaction contre la gauche, la violente normale, le nationalisme, un pouvoir fort). Ce courant politique d’extrême droite naît en Italie avec

Orléanistes, antiparlementaire. * Droite nationaliste : antilibérale, antiparlementaire (il dénonce une instabilité ministérielle), antisémite et xénophobe Antisémitisme = hostilité aux juifs définis biologiquement et no par leurs traditions religieuses (ce qui le distingue de l’antijudaïsme hérité du Moyen Age chrétien). Cet antisémitisme comporte plusieurs aspects : racisme, déicide, apatrides, usuriers. * Républicains modérés favorables à un pouvoir exécutif fort La Gauche : * Radicaux :

le monde et ont suscité de multiples manifestations et actes de violence. De même, au XIXe siècle, lors de l’affaire Dreyfus, nombreuse furent les caricatures du « juif » et derrière ces dessins qui se voulaient humoristiques se révélaient un antisémitisme profond au sein d’une partie de la société. Derrière l’humour se cache souvent la haine. L’humoriste Dieudonné illustre parfaitement cet argument. Ses sketchs portent sur les religions et aborde avec mauvais goût des thèmes très sensibles voire

émouvante, parce que, dit Schmidt : « Elle montre comment, après la guerre, les hommes ont voulu signifier que l'holocauste est fratricide. Si Hitler a du sang juif, il s'est tué lui-même. » Deuxième erreur : concevoir qu'il y a chez Hitler un : « antisémitisme original. » Hitler a lui-même tenté dans Mein Kampf d'y faire croire. Mais en réalité, les témoignages le prouvent : « Hitler ne fut pas antisémite avant 1918, pas antisémite avant d'avoir « besoin de l'être ». Sa jeunesse fourmille de compagnonnages

suivantes, une primauté de l’état et du chef sur l’individu, un parti unique NSDAP (parti nazi), une volonté de créer un homme nouveau avec le modèle Aryen (élite des races), des dispositifs et effectifs militaires considérables(SS, Gestapo…), un antisémitisme officiel et règlementaire, et une ségrégation de plus en plus importante qui va se terminer par l’extermination des races dites « inférieures ». Il convient également de préciser de quelle façon ce système va rompre la société civile. En effet