Antisémitisme

d’utiliser pour une besogne de mort cette opinion qu’on a pervertie, jusqu’à la faire délirer. C’est un crime d’empoisonner les petits et les humbles, d’exaspérer les passions de réaction et d’intolérance, en s’abritant derrière l’odieux antisémitisme, dont la grande France libérale des droits de l’homme mourra si elle n’en est pas guérie. C’est un crime que d’exploiter le patriotisme pour des œuvres de haine...» (Extraits de «J’Accuse ! Lettre au Président de la République», L’Aurore

(en allemand : Nationalsozialismus), est l'idéologie politique du NSDAP, parti politique fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler[1],[2],[3],[4]. Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme biologique et antisémitisme[5]. Cette vision du monde reprenait la division hiérarchique de l'espèce humaine en races, hiérarchie au sommet de laquelle elle situait la « race aryenne ». Par extension, le terme nazisme désigne le régime politique inspiré de cette idéologie

droit du sang, à savoir « Pour être citoyen il faut être de sang allemand », et l’antisémitisme « Aucun juif ne peut donc être citoyen ». La nationalité est donc non pas définie par des critères juridiques, mais par des critères biologiques. Cet antisémitisme n’est également pas défini par la confession, qui importe peu, puisqu’il était considéré à l’époque par certains comme scientifique. Pour autant, le génocide n’est pas encore prévu à cette époque. Le NSDAP était également discriminatoire envers les

« Le camelot, et sa gouaille haineuse, apparaissent précisément comme la miniature symbolique et l’anticipation du nazisme »[6]. Dans son œuvre, Cohen conçoit une troisième forme d’exemplarité. Il parvient à dépasser l’antagonisme judaïsme / antisémitisme pour les confondre dans la catégorie humaine. Cohen veut prouver que les juifs et les antisémites ne sont pas dissociables et donc que la haine envers les juifs est absurde. Le titre de l’œuvre, Ô vous, frères humains, est tiré de La ballade

religion catholique était celle qui unifiait la France. Et si on veut un pays fort il faut qu’il soit unifié. Solution : religion catholique qui avait auparavant unifié le peuple. Maurras était pourtant athée, il s’est reconvertit a sa mort. - Antisémitisme : haine du juif - Idée de centralisation de la France qui se fait durant la Révolution. Toutes les décisions se font à Paris et sont ensuite appliqué dans les Provinces. C’est la conséquence pure de la monarchie traditionnelle. Le but de l’action

forme de contestation, il leur inculque les valeurs de la discipline et de l’obéissance afin de forger un « homme nouveau ». Cependant, malgré ces quelques points communs, on retrouve des idéologies propres à chaque totalitarisme : Racisme et antisémitisme en Allemagne, seul « la race des Seigneurs » est acceptée face à la race dite « inférieure » qui allie les judéo-bolcheviques. Les régimes hitlérien et mussolinien développent très tôt une politique extérieure agressive (Une spécificité que l’on

1933, Hitler, chef du Parti national-socialiste, devient chancelier. Deuxième partie ➢ Hitler, arrivé au pouvoir légalement, met en place un Etat totalitaire. ➢ Un Etat raciste = idéologie raciste (supériorité de la « race aryenne », antisémitisme > lois de Nuremberg, 1935) (Doc.2 + connaissances personnelles). ➢ Hitler veut constituer un empire réservé aux « aryens » = « espace vital ». Il a donc des visées expansionnistes (Doc.2 et 3 + connaissances personnelles) > il réarme l’Allemagne

Hindenburg est réélu président. Incendie du Reichstag. Hitler devient chancelier d’Allemagne. Hitler obtient les pleins pouvoirs Autodafés en Allemagne Hitler est à la fois chancelier et président après la mort d’Hindenburg. IV) Définitions 1) Antisémitisme : est le nom donné de nos jours à la discrimination, l'hostilité ou les préjugés à l'encontre des Juifs. 2) Pogrom : d'origine russe, il désigne un assaut, avec pillage et meurtres, d'une partie de la population contre une autre. 3) Diaspora :

hab ich immer gesagt, dann sind sie wie der Jud.“ p. 15. Cette tirade est dite par l’aubergiste qui rajoute qu’il n’a rien contre Andri mais qu’il n’aurait pas souhaité le prendre comme apprenti. Le soldat est celui qui clame le plus fort son antisémitisme et qui cherche continuellement querelle à Andri. Andri : „Wieso bin ich feig?“ Soldat : „Weil du Jud bist“. p. 22 L’antisémitisme se fait de plus en plus sentir. Un piquet est construit dans le village. Pour Andri ? On le suppose. Mais seul le

encadrant la société, notamment les Églises protestantes. Niant le concept de l’égalité des individus et prétendant que les Aryens constituent une race supérieure, dont les Allemands sont l’émanation la plus pure, Hitler met en place un véritable antisémitisme d’État, avec les lois de Nuremberg (1935), qui culmine avec la « Nuit de cristal » en 1938, ouvrant la voie aux pogroms et aux camps de concentration. Ses succès en politique étrangère impressionnent favorablement le peuple allemand, dont il s’assure