Antithéisme

L'apathéisme L'apathéisme est le terme qui désigne le manque d'intérêt envers la croyance en Dieu ou autres divinités. Le terme a été créé par le journaliste américain Jonathan Rauch dans les années 2000 sous sa forme anglaise apatheism. C'est un mot-valise formé des mots apathie d'une part et de athéisme ou théisme d'autre part. Le terme s’applique à la fois au théisme ainsi qu’à l’athéisme et peut être qualifié d’indifférence religieuse. Un apathéiste peut être à l'origine croyant ou

négation de l’autorité de l’homme sur l’homme et revendique dans le même esprit l’anticapitalisme qui est la négation de l’exploitation de l’homme par l’homme. Il est aussi anti-étatisme signifiant la négation du gouvernement de l’homme par l’homme et antithéisme, la négation de l’adoration de l’homme par l’homme. Dans ces écrits, l’on remarque trois principales théories. Proudhon prône l’autogestion fédéraliste dite encore « anarchie positive ». Celle-ci combine un travaillisme pragmatique (ou réalisation

sociales Il n'est pas facile de traiter un sujet comme l'athéisme. Un peu de vocabulaire au départ ne peut pas faire de tort à personne. Le dictionnaire, lorsqu'il parle de Dieu, utilise des mots comme théisme, déisme, athéisme, antithéisme, agnosticisme. Vérifions le sens de chacun de ces mots usuels. Le théisme (du grec theos) est la doctrine qui admet l'existence d'un Dieu unique et personnel comme cause transcendante du monde. Il ne faut pas confondre ce mot avec le mot

Fiches de philo (TS) Samuel MIMRAM 1999-2000 Table des matières 1 Divers déïsme : pose l’existence d’un D. créteur et guarant de la morale, de l’ordre social. Refuse les religions créées historiquement. antithéïsme : le mot de D. ne sert à rien ← ne représente rien. essence : nature, définition. concept : terme précisémt défini jusqu’à ce qu’on ne puisse plus le confondre avec un autre. notion : terme non défini clairement, ambigu, plurivoque. idée : idéal vers lequel nous voulons tendre ; repésentation

religions, de toutes les Églises. Selon lui, « Dieu est un être essentiellement anti civilisateur, antilibéral, antihumain ». Il pense que la religion s’oppose au développement humain. Mais Proudhon refuse d'être classé comme athée : il se proclame antithéisme. En lui subsiste un idéaliste pensant que les idées mènent le monde. L’influence de Pierre-joseph Proudhon La relation Marx-Proudhon Karl Marx est un grand bourgeois intellectuel, alors que Proudhon est un

1917, les libertés pour les minorités religieuses ont survécu pendant quelques années, puis, le stalinisme a dirigé sa politique répressive à l'encontre des religions. L'Union soviétique et les autres états communistes ont à partir de là promu un antithéisme d'État et se sont opposés aux religions, recourant parfois à violence contre elles selon Soljenitsyne[51] . En 1967, le dictateur albanais Enver Hoxha, alors au gouvernement, annonça la fermeture de toutes les institutions religieuses dans le pays

son être dans la masse » ? Il est, à présent, plus clair que le sectarisme intellectuel n’est pas toujours du côté que l’on pense. Bien plus qu’un pur athéisme, s’installe dans le continent de l’africain ce « homme incurablement religieux », un antithéisme, et plus précisément un antichristianisme, un rejet de Dieu dont le principal aboutissement est « l’écrasement de la personne humaine ». Tout ce qu’on attend de l’Africain ? LE SILENCE ! Ne plus pouvoir s’exprimer, ne plus se poser la question

une ironie suffisante ou une critique moqueuse de ces philosophies serait vite déçu, il découvrira plutôt une étude approfondie, un « tableau historique », une sorte de généalogie de ces nihilismes nés des excès du rationalisme moderne. Athéisme, antithéisme, antichristianisme : de Nietzsche à Comte, en passant par Marx ou Feuerbach, le même rejet de Dieu comme point de départ et, comme aboutissement, selon le cardinal, un égal écrasement de la Personne humaine : voilà en quelques mots la conclusion

est la tendance naturelle de l’univers, la fédération, et l’ordre même des atomes ». Derrière ces principes assez vagues, Bakounine et Kropotkine, développent un triple rejet : 1 Un rejet de la religion : C’est un antithéisme absolu : « Si Dieu existait, il faudrait le faire disparaître » Bakounine 2 Un rejet de l’autorité : selon étymologie an arkhê : An → privatif, Arkhê→ commandement =absence d’autorité