Antithèse

La composition de chaque sonnet met en évidence le thème majeur. Chez Louise Labé, les deux quatrains peuvent être perçus comme les symptômes de l'amour et les deux tercets comme ses conséquence. Ainsi, elle compare l'amour à une maladie. Les antithèses telles "Je me brûle et me noie" ou encore "je sèche et je verdoie" traduisent l'étendu symptomatique tandis que dans les tercets, l'effet de conséquence de l'amour est exprimé par la personnification de l'amour qui vise à mettre en évidence l'impuissance

conforte l’homme dans le malheur • Le divertissement : ANTITHESE du bonheur • Démonstation oratoire : bouillonement futile La mort et la maladie nous attendent au bout (l. 19/20) - Divertissement : « buit » , « pénible », « peines ».. qui détourne l’homme de l’éssentiel • Accumulation : « jeu chasse guerre charge » • Procédé anaphorique « ce n’est pas.. mais » - Le divertissement n’apporte pas le bonheur. - S’oublier soi-même • Antithèse oppose le repos et l’agitation (« misérable » « consoler

devait pas les entendre,· Antithèse entre « y répondre » et « ne pas les souffrir » = opposition entre une réponse possible à la déclaration du DN, par l’aveu de sentiments réciproques // et le refus de toute réponse, le rejet du duc. ni témoigner qu’elle les prît pour elle. Elle croyait devoir parler et croyait ne devoir rien dire . · Même procédé : antithèse entre deux attitudes opposées

opposées (= pensée fonctionnant par confrontation) ■ 3 parties : je pose (thèse), j'oppose (antithèse), et je compose (synthèse) ou dépasse l'opposition ■ (au besoin, voir anthologie, p. 257) Le plan dialectique : une structure de plan pour discuter ■ On confronte les éléments favorables à un point de vue (thèse) et les éléments défavorables au même point de vue (antithèse), puis on prend position (synthèse). ■ NOTE : L’antithèse peut aussi être une nuance à ce qui a été

-on qui marque la surdité. b) Une passion violente -Passion destructrice au vers 690 : "j'ai langui" montre qu'elle est déprimée, "j'ai séché" montre son assèchement, la perte de sa vie et le terme "feux" est l'image du feu qui la brûle. De +, antithèse avec « larmes » opposé à « feux ». -Passion qui l'emporte sur la raison → voc de la folie « toute sa fureur.» renforcée car fin de vers et -e muet à « toute » ; « ni que du fol amour qui trouble ma raison ». -Elle veut échapper à cette passion

caractérise ce que ressent le lecteur à la lecture d’un texte. A un registre correspond un type d’émotion. tragique champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la passion désespérée, figures de style (de l'opposition en particulier: antithèses, oxymores etc.), thème du dilemme tragique. Niveau de langue généralement soutenu. terreur et pitié à l’égard du héros soumis à son destin qui le mène irrémédiablement à la mort. pathétique champ lexical de l'émotion,

mène à la maladie, à la mort La joie est impossible Les distractions sont vaines Il n’y a pas de guérison possible (v. 13-14) L’oubli l’emporte sur le réconfort du souvenir (v. 15 à 18) Procédés Comparaison : poète / roi d’un pays pluvieux Antithèses : riche / impuissant ; jeune / très-vieux Accumulation d’activités distrayantes : gibier, faucon, peuple, bouffon, dames d’atour = impossibilité de joie, de distraction Comparaison : lit / tombeau Métaphore et oxymore : « jeune squelette »

qui s'enchainent différemment. La première antithèse entre vivre et mourir paraît extrêmement choquante : « Je vis, je meurs » (v.1). En effet, la vie et la mort sont toutes deux des conditions extrêmes. Ensuite, Labé montre la façon dont elle est "morte" en employant des métaphores hyperboliques : « je me brûle et je me noie » (v.1), mais là encore, ces deux manières de périr ne s’accordent pas car le feu ne brûle pas dans l’eau. L’abondance des antithèses dans le poème : « Je vis, je meurs » (v.1)

vis, je rougis, je pâlis à sa vue : antithèse rougir/pâlir V. 276 : Je sentis tout mon corps et transir et brûler : antithèse transir (=transpercer en parlant du froid)/ brûler V. 288 : J’offrais tout à ce dieu que je n’osais nommer : périphrases désignant H. V. 289-290 : Je l’évitais partout. Ô comble de misère ! Mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père. : antithèse éviter/retrouver V. 293 : pour bannir

 » « tous les hommes » : c’est une antithèse. « Tous les hommes ensemble sont à son égard comme s’ils n’étaient point » : c’est une hyperbole. « n’étaient point » : verbe être au sens d’exister « point » : néant (qui n'existe plus). La deuxième idée : Gnathon est comparé à l’animal. L’inhumanité de Gnathon est résumée par sa façon de manger. « Non content de … » : préparation d’une hyperbole. « il occupe lui seul celle de deux autres » : c’est une antithèse. « il oublie » : c’est une ironie