Antoine de Padoue

Jean-Baptiste.  Jusque 1443 : Décoration de la vieille sacristie Saint-Laurent.  1444-1453 : Réalisation d’une statue équestre, l’Erasmo da narni, dit le Gattamelata (à Padoue où il s’installe) qui est une réplique de la statue équestre de marc-Aurèle. Il exécute également durant cette période, l’autel de la basilique Saint-Antoine.  1453 : Il serait (supposition) retourné à Florence mais reçoit de moins en moins de commandes. Il crée aussi durant cette période, des œuvres plus personnelles et

Enchantements de L'Eloquence en 1696. Charles Perrault était son « oncle », ou plutôt son cousin au 3ème degré, ils échangeait sur leurs travaux de créations. En 1696, elle fut reçue à l'Académie des jeux floraux de Toulouse et à l'Académie des Ricovrati de Padoue en 1697. En 1701, Hadelaine de Scudéry, qui a été sa tutrice lui avait légué son salon. Vers la fin de sa vie, Mlle Villandon a également travaillé comme traductrice des Épîtres Héroïques d'Ovide en 1728. A sa mort, le Journal des Savants lui

Roquentin, célibataire et écrivain de 35 ans, que la vie dégoute. Il vit à Bouville mais compte s’installer définitivement à Paris, après avoir voyagé de maintes fois dans le monde entier. Il écrit une biographie du très célèbre Marquis de Rollebon. Antoine Roquentin est dégouté de la vie, et tout ce qu’il touche lui donne ce sentiment, très désagréable, la nausée. Il rencontre l’autodidacte à la bibliothèque où il fait ses recherches, et bien qu’ayant perdu foi en l’humanité, accepte de diner avec

la France, à Amiens, et surtout à Venise, où il séjourne avec sa mère, en mai 1900, à l'hôtel Danieli, où séjournèrent autrefois Musset et George Sand. Il retrouve Reynaldo Hahn et sa cousine Marie Nordlinger qui demeurent non loin, et ils visitent Padoue[16], où Proust découvre les fresques de Giotto, Les Vertus et les Vices qu'il introduit dans La Recherche. Pendant ce temps, ses premiers articles sur Ruskin paraissent dans La Gazette des Beaux Arts. Cet épisode est repris dans Albertine disparue

d’affirmer son art. Il eut toute latitude pour concevoir une œuvre au caractère profondément novateur : à vrai dire, la première riposte cohérente, dans le domaine de la peinture, à l'autel de bronze conçu par Donatello pour la basilique Sant’Antonio de Padoue (communément appelée le Santo), ainsi qu’au reflet de celui-ci, le retable en terre cuite de Nicolò Pizzolo et Giovanni da Pisa pour la chapelle Ovetari. Pour la première fois, il eut la possibilité d’entreprendre une pala monumentale, dont il avait

tertiaire, ainsi que nombre de ses parents et membres de son entourage. Spirituellement, des mystiques comme Marguerite de Cortone et Angèle de Foligno, des poètes comme Jacopone de Todi, des savants comme Raymond Lulle, des prédicateurs comme Antoine de Padoue, incarnent l'esprit d'amour du Christ pauvre, crucifié et glorieux, objet de la contemplation de François et de Claire. Au-delà de l'Europe, à l'exemple de François, les frères partent vers les terres lointaines : le Maroc (en 1220, martyre

tentent d'affirmer leur pouvoir sur les régions avoisinantes. A Milan, ce sont la famille des Visconti qui est au pouvoir depuis la fin du XIIIème siècle. Ils contrôlent toute la plaine de lombardie et étendent leur domination jusqu'à Sienne et Padoue. La construction d'une cathédrale aussi grandiose que celle du duomo di Milano est une occasion rêvée pour les Visconti de symboliser, à travers un édifice religieux, la suprématie et le pouvoir de Milan. La Cathédrale est construite sur le site

la rennaissance. A voir: les arènes, le Castel Vecchio c la que se situe l'histoire de Roméo et Juilette de Sheakspeare. Vicence : on y va pr les palais de la rennaissance et la rothonde, la basilique Paladienne et le théâtre. Padoue : la basilique st antoine et ses canaux. Ferrane : sont château médiéval Crémone. Pavie : poir son pont couvert, le duomo (dôme) et bien sûr la CHARTREUSE = bijou de la rennaissance. Bologne : connu pr ses universités, inspiration rennaissance et la

Littérature française moderne et contemporaine : histoire, critique, théorie M. Antoine Compagnon, professeur Cours : « Morales de Proust » Le cours a porté sur l’œuvre de Proust pour une deuxième année consécutive, mais, après « Proust : Mémoire de la littérature » en 2006-2007, sur un sujet nouveau et tout autre, « Morales de Proust », sujet risqué des deux côtés : du côté de la morale, car celle-ci a été longtemps tenue pour hors-jeu dans les études littéraires, et du côté de Proust, car

10 janvier 1948 Tentazione nel convento 1949-50, jamais representé (lecture en 1995 au Teatro Franco Parenti de Milan, MES d’André Rith Shammah, avec Rosa Di Lucia) Le Lombarde MES de Gianfranco De Bosio, Compagnia del Teatro dell'Università, Padoue, Teatro Verdi, mars 1950 La Maria Brasca Feltrinelli, Milan, 1960 MES de Mario Missiroli, avec Franca Valeri, Milan, Piccolo Teatro, 17 marzo 1960 L’Arialda Feltrinelli, Milan, 1960 MES de Luchino Visconti, avec Rina Morelli et Paolo Stoppa, Rome